Appels à communication

Appel à manifestation d’intérêt – Le droit et la justice face aux circonstances sanitaires exceptionnelles liées à la pandémie de COVID-19 – 13/11/2020

La Mission Droit et Justice et l’InSHS s’associent pour lancer cet appel à manifestation d’intérêt sur les thématiques suivantes :

  1. Acceptation des risques et mise en cause de la responsabilité des décideurs : un équilibre à nouveau questionné par la crise sanitaire de la COVID-19  
  2. Restrictions des libertés et acceptabilité sociale 
  3. Les limitations d’accès aux cours et tribunaux en France : une multitude de conséquences 
  4. Sortie de crise et transition écologique et solidaire : quel rôle pour le droit et la justice ? 

Les propositions sont attendues pour le 13 novembre au plus tard.

Les manifestations d’intérêt doivent être envoyées à l’adresse suivante : ami2020.cnrs-mrdj@gip-recherche-justice.fr

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Appel à contribution « Soulèvements sociaux : destructions et expérience sensible de la violence » – 26/10/2020

La revue Socio lance un appel à contribution sur le thème « Soulèvements sociaux : destructions et expérience sensible de la violence ».

Le dossier est coordonné par Pauline Hachette (université Paris 8) et Romain Huët (université Rennes 2).

Les intentions de contributions (titre, résumé de deux pages et bibliographie) doivent être envoyées à Socio avant le 26 octobre 2020.

Les articles devront être remis pour le 15 mars 2021 .

Consulter le texte complet de l’appel :


Soulèvements sociaux : destructions et expérience sensible de la violence

Problématisation générale : soulèvements sociaux et recrudescence des violences

Depuis 2010, des contestations d’ampleur ont agité bon nombre de contextes nationaux. Si elles renvoient à des situations et des enjeux politiques à chaque fois spécifiques, il existe des expériences partagées et des récits concordants entre eux. Aux ressources argumentatives classiques (lutte contre la précarité, l’injustice, les inégalités économiques, etc.), s’ajoute une revendication à l’élargissement des orientations du vivre, des formes de vie (Macé, 2016), en somme à une transformation existentielle des manières d’être (Didi-Huberman, 2016). Ce retour du registre culturel, éventuellement romantique, dans la scène politique interroge tant du point de vue de ce qu’il dit de notre époque que dans sa capacité à tracer un avenir, des perspectives dans l’organisation du monde et dans le dépassement des contingences capitalistiques.
Les soulèvements contemporains se singularisent également en tant qu’ils ont tendance à s’accompagner à un moment ou à un autre de violences plus ou moins grandes. En France, les émeutes, manifestations sauvages et débordements s’observent dans de nombreuses manifestations (ZAD, contre la « loi Travail » ou Parcoursup, mouvement des gilets jaunes, etc.).
À l’échelle internationale, l’année 2019 a également été marquée par une recrudescence des pratiques émeutières (Chili, Liban, Bolivie, Irak, Hong Kong, etc.). Durant cette année particulièrement agitée, l’Algérie fait exception. Cette recrudescence de la violence, généralement de faible intensité inquiète en particulier devant le constat d’une rupture des pratiques de délibération et d’une incapacité du système démocratique à faire face à la montée des postures radicales, à l’impatience populaire, et aux accès de colère voire de rage. L’expérience américaine de mai-juin 2020, dans le contexte des protestations contre la violence et le racisme policiers montre que l’intensité de la violence peut s’élever considérablement .
Deux questions centrales guident alors ce dossier : pourquoi le recours à la violence et à la destruction matérielle attire-t-il au point que nombreux sont ceux qui y prennent aisément une part active ? Et, seconde question, politique : que dit la généralisation des pratiques de violence et de l’agir destructif de notre époque et des attentes existentielles qui se nichent en leur creux ? En d’autres termes, que disent ces phénomènes sur notre époque, sur les attitudes qui se développent face au monde et sur la façon dont les révoltés s’y prennent pour le domestiquer ?


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Appel à contribution Revue Française de Gestion – 15/12/2020

La Revue Française de Gestion lance un nouvel appel à contribution sur le thème :

Problématisation et pensée complexe en sciences de gestion

Rédacteurs invités :

Régis Meissonier, MRM, Université de Montpellier

Florence Rodhain, MRM, Université de Montpellier

Jérémi Sauvage, LHUMAIN, Université Paul Valéry

Ousama Bouiss, Université Paris-Dauphine

Date limite de soumission : 15 décembre 2020

Alors que depuis des décennies, les futurologies projetaient des catastrophes mondiales à partir des dégradations climatologiques et écologiques présentes, le Covid-19 a démontré une fois de plus la difficulté pour la plupart des décideurs à envisager et accepter l’imprévisible et la complexité. En ce qui concerne les sciences de gestion, force est de constater que les chercheurs ont fait partie des grands absents au sein des commissions scientifiques, des instances en charge de gérer la crise sociale et économique, ou encore des plateaux TV et des radios qui ont alimenté les débats aux heures de grande écoute. Ce n’est pas la première fois qu’un constat du genre peut être établi et questionne le rôle effectif de notre discipline alors que la pérennité des entreprises et des organisations est en jeu. Notre responsabilité éthique et sociale nous invite – encore et toujours – à une réflexion quant à la manière avec laquelle la discipline s’empare des grands problèmes de sociétés, cherche à les comprendre, puis crée des connaissances considérées comme valides afin d’aider à la prise de décision. Pour ce faire, il nous revient d’être attentif aux conditions de production de ces connaissances, en particulier à l’illusoire neutralité axiologique du chercheur : la connaissance ne peut être aveugle à ses conditions de production et d’énonciation.

Consulter l’appel :

Cliquer pour accéder à Appel_Problematisation_et_pensee_complexe.pdf

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Appel à communications – colloque « Des sources aux SIG : des outils pour la cartographie dans les humanités numériques » – 30/09/2020

« Des sources aux systèmes d’information géographique : des outils pour la cartographie dans les humanités numériques »

Organisation

MSH Paris Saclay

Laboratoire DYPAC UVSQ Paris-Saclay

Laboratoire DAVID UVSQ Paris-Saclay

Plateforme Géomatique de EHESS


Depuis plusieurs années, différentes disciplines des sciences humaines et sociales comme l’histoire, la littérature, l’anthropologie sociale, la sociologie, l’archéologie ont renouvelé l’usage de la cartographie, utilisant des nouvelles approches tant théoriques, que méthodologiques et techniques.

Sources anciennes et moderne, archives, cartes et plans, iconographie, photos de terrains et satellites,  etc. sont le matériel de base utilisés pour appréhender une compréhension de phénomènes et de systèmes complexes que sont des comportements humains variés : interactions entre acteur sur le territoire, migrations et regroupements, choix d’implantation et évolution de villes, influences entre l’homme et son milieu, etc.). 

Aujourd’hui, la masse de données devient telle qu’il devient difficile de filtrer ce qui est utile pour une recherche de ce qui ne l’est pas. Outre qu’elles soient souvent spatiales et/ou temporelles, leur particularité repose sur leur non-homogénéité, leurs lacunes, leurs sources multiples et mutlilangues, à la fois qualitatives et quantitatives, non structurées. On parle de big data dans le champ particulier que sont les humanités numériques.

Lors de ces deux jours de colloque, nous souhaitons interroger les différentes manières d’utiliser la cartographie, les SIG, l’analyse spatiale, le web sémantique dans les sciences humaines et sociales, en partant de l’exploitation et l’extraction des sources, l’intégration en bases, l’analyse de ces données et enfin leur valorisation.

Le colloque s’organisera selon quatre thématiques principales :

AXE 1 Gérer, collecter et stocker les données géographiques

AXE 2 Création et utilisation d’outils pour la géomatique et l’analyse spatiale

AXE 3 Cas d’études de la cartographie et des SIG dans les SHS

AXE 4 Nouvelles données, nouvelles pratiques, nouveaux outils ?

Pour plus d’information http://psig.huma-num.fr/colloque-sources-aux-sig/

Modalités de contribution

Les propositions de communications de 3000 signes maximum sont à envoyer à avant le 18 septembre 2020 à l’adresse : 

colloquesourcesig2020@uvsq.fr

Mise en ligne : 18 juin 2020

Deadline auteurs : 30 septembre 2020

Retour aux auteurs : 15 octobre 2020

Dates de la conférence : 14 & 15 décembre 2020

Les participations en visio sont envisagées pour les participants et pour le communicants.

Un appel à publication sera mis en place à la suite du colloque

Programme prévisionnel :

1 journée – Ouverture à la MSH Saclay

1 journée à la FMSH Paris Raspail

Comité d’organisation

Citlalli Dominguez (DYPAC UVSQ)

Davide Gherdevich (DYPAC UVSQ)

Eric Mermet (EHESS)

Comité scientifique

Citlalli Dominguez (DYPAC UVSQ)

Davide Gherdevich (DYPAC UVSQ)

Eric Mermet (EHESS)

Anne Rochebouet (DYPAC UVSQ)

Zoubida Kedad(DAVID UVSQ)

Laurent Costa (CNRS-MAE Nanterre)

Carmen Brando (EHESS)

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Appel à contributions – Revue Terrains & Travaux – 15/11/2020

LA RAISON MODÉLISATRICE

Appel à contributions pour dossier thématique
Date de clôture (étendue) de l’appel : 15 novembre 2020
Télécharger l’appel au format PDF

Ce dossier thématique ambitionne d’étudier une forme de technologie ayant connu un essor majeur à partir du début du XXe siècle : la modélisation. Pensée au XIXe siècle comme une « mathématisation du réel », elle consistait à formaliser des phénomènes physiques ou sociaux afin de les rendre lisibles et prévisibles. Au croisement des savoirs et des sciences les plus pointus, du social, de l’économique et du politique, la modélisation a connu une expansion considérable depuis la Seconde Guerre mondiale et encore davantage à partir des années 1970. Elle se développe alors dans une grande diversité de secteurs : l’astrophysique, l’environnement, la guerre, la finance, la santé, la chimie, la démographie, la justice. Elle est la marque d’un régime de connaissance singulier et technicisé dépassant les seuls processus de quantification ou de catégorisation, car elle permet de traiter un grand nombre de données qu’elle organise selon un jeu d’hypothèses lui-même inscrit dans des théories pré-établies. Son pouvoir de simplification et sa capacité à mettre en scène des futurs possibles ont permis à la modélisation de devenir un instrument d’action publique, par exemple dans le domaine des politiques économiques, climatiques ou agricoles. En intégrant des objectifs à atteindre (croissance, limitation du réchauffement, production agricole) dans des scénarios qui préjugent de leur caractère réalisable et des chemins (pathways) pour y arriver, les modèles sont devenus des supports incontournables de la fabrique des politiques publiques. Ils sont particulièrement mobilisés comme des outils d’anticipation des futurs entre lesquels il s’agit alors d’arbitrer dans des contextes caractérisés par une forte incertitude – comme l’illustre la crise sanitaire du coronavirus. Les nouvelles capacités calculatoires et les « big data » viennent encore renforcer les possibilités de la modélisation, qui gagne de nouveaux objets et de nouveaux mondes sociaux, y compris les sciences sociales elles-mêmes.

Ce numéro propose de regrouper des travaux issus de différentes disciplines (sociologie, philosophie, histoire, démographie, géographie, anthropologie, humanités numériques, etc.) étudiant le développement de la modélisation dans une diversité de domaines et permettant de documenter les conditions (économiques, épistémiques, politiques) de son efficacité (coordination, gouvernementalité, performativité), mais aussi ses effets de cadrage et de sélection des problèmes. La modélisation a été étudiée comme un outil de « médiation » entre les données et la théorie scientifique, comme un intermédiaire entre la décision politique présente et les futurs qualifiés de souhaitables, et possède à ce titre une efficacité qu’il convient de continuer à explorer. Mais elle repose sur une forme de confinement, voire d’opacité, qui rend le plus souvent les savoirs qu’elle cristallise hermétiques à la controverse – même si certains modèles visent précisément la transparence, offrant des prises à la vérification, voire au débat. En effet modéliser n’est pas seulement calculer, c’est aussi définir les paramètres d’un problème, impliquer un cours des choses, des questionnements, des possibles et, a contrario, en invisibiliser d’autres. Sorte de « boîte noire », les modèles nécessitent des professionnel·le·s spécialisé·e·s pour les développer et les faire fonctionner ou organiser un débat autour des prospectives modélisées, autant de « mondes sociaux » qui restent encore à étudier dans bien des domaines. La modélisation a aussi son économie imbriquée, entre autres, dans celle des données.

Les contributions attendues devront documenter empiriquement les activités de modélisation et leurs effets sociaux : il s’agit à la fois de comprendre la prolifération d’une rationalité modélisatrice dans différents espaces, mais également d’en souligner les fragilités, et d’étudier les conflits qu’elle suscite et les usages différenciés qu’en font les acteur·rice·s. Les articles proposés pourront s’attacher à explorer particulièrement, mais non exclusivement, les axes de problématisation suivants, allant des espaces technoscientifiques de la confection des modèles aux espaces de controverses, en passant par les champs de la maintenance et des usages :

  1. La fabrique des modèles. Si les modèles eux-mêmes, ou certains de leurs résultats, ont vocation à circuler, il importe d’identifier les lieux où ils sont élaborés et les acteurs s’engageant dans leur production. Du champ académique à celui des entreprises et des cabinets de conseil en passant par des agences parapubliques et l’administration centrale, l’étude de la genèse des modèles permet de documenter les savoirs à partir desquels ils sont élaborés, les dynamiques professionnelles à l’œuvre dans leur confection, les motifs qui président à leur diffusion ou à leur confinement. On pourra ainsi notamment se demander dans quelle période, et quel contexte, émerge la nécessité de modéliser (et de prévoir par la modélisation), et documenter l’histoire de la modélisation pour un objet d’étude donné. Qui sont les modélisateur·rice·s, à quelles communautés professionnelles appartiennent-ils·elles, quelles tensions leurs interventions peuvent-elles engendrer dans les espaces au sein desquels ils·elles interviennent ?
  2. Définir les futurs et leurs valeurs. Supports de scénarios prospectifs, les modèles peuvent donner à voir, à « imaginer », ce qui est à venir, et proposent d’arbitrer entre ces différents futurs. Ils associent des considérations ontologiques (quelles entités et quelles dimensions d’un problème doivent être prises en compte ?), des hypothèses scientifiques chargées d’assurer la légitimité du résultat, un ensemble de paramètres et de données empiriques, et des projections normatives (quelles sont les actions à mettre en œuvre ?). En ouvrant la boîte noire de la modélisation, il est possible de comprendre comment les conventions opèrent, mais aussi comment certains modèles intègrent dans leurs calculs des visions du futur (scénarisation épidémiologique ou des catastrophes, etc.), et enfin les manières dont les savoirs économiques et financiers s’y greffent (calcul coûts-bénéfices, hypothèses sur l’offre et la demande). Une attention aux savoirs et au « design » technologique de ces modèles permettrait d’éclairer ces dynamiques de formation des futurs au présent, c’est-à-dire non en tant qu’ils seraient mécaniquement performatifs, mais en tant qu’ils donnent à voir un état actuel des savoirs et des cadrages dominants pour un problème donné.
  3. Un marché des modèles ? Les articles pourront également explorer les enjeux marchands liés aux modèles et aux infrastructures qui les soutiennent, au croisement des infrastructure studies, de la sociologie économique et des science and technology studies (STS). On pense ici aux questions liées aux big data et aux marchés de la production mais aussi du stockage, et aux questions de traitement et de circulation des données qui alimentent et rendent possibles les pratiques de modélisation. Comment les modèles fonctionnent-ils, sont-ils alimentés et entretenus ? Infrastructures plus ou moins complexes, ils nécessitent l’intervention de travailleur·euse·s souvent peu visibles qui peuvent aussi bien s’occuper de modifier certains paramètres de calcul, que nettoyer les bases de données qui leur permettent de tourner, ou encore entretenir les ordinateurs qui calculent. On pourra se demander ce que ce travail de maintenance révèle de la fragilité des modèles, et ce que les investissements que leur entretien suppose disent de la nature de ces outils. Les articles pourront aussi documenter ces questions sous l’angle de la sociologie du travail, entre hiérarchies professionnelles et « petites mains » des modèles. Enfin, les relations de concurrence entre modèles ou équipes modélisatrices, et leurs enjeux marchands et scientifiques, pourront être investigués dans cet axe.
  4. La critique des modèles. Enfin, nous invitons les contributions à développer une perspective qui nous semble sous-analysée, à savoir la manière dont la modélisation peut constituer un « piège », soit pour les professionnels qui les élaborent, soit pour ceux·celles qui les utilisent. Comme les modèles ont pour objet l’aide à la décision, leurs résultats circulent entre différentes arènes, ouvrant ainsi la possibilité de leur questionnement voire leur critique. Cet axe invite à interroger la spécificité des épreuves rencontrées par ces instruments : quelles sont les critiques dont les modèles font l’objet, et qu’est-ce que la modélisation fait à la critique ? Réclame-t-elle des registres, des preuves ou des arguments spécifiques des acteur·rice·s qui cherchent à la contester ? Nous faisons l’hypothèse que les épreuves rencontrées par les modèles engagent des disputes portant à la fois sur les savoirs et les formes de régulation politique de ce qui est modélisé. Nous encourageons enfin les contributions à documenter ce que le « big data» – qui permet une forme de « dé-théorisation » des modèles – implique en termes de possibilités de critique et de résistance.

Les articles, de 50 000 signes maximum (espaces, notes et bibliographie compris) et les notes critiques, de 30 000 signes maximum, doivent être accompagnés de 5 mots-clés et d’un résumé de 150 mots (en français et en anglais). Ils devront parvenir sous forme électronique aux coordinateur·rice·s du numéro avant le 15 octobre 2020 aux adresses suivantes :

  • Henri Boullier : h.boullier@gmail.com
  • Lise Cornilleau : lise.cornilleau@sciencespo.fr
  • Jean-Noël Jouzel : jeannoel.jouzel@sciencespo.fr
  • Pierre-André Juven : pierre-andre.juven@cnrs.fr

Les consignes relatives à la mise en forme des manuscrits sont consultables sur le site de la revue : http://tt.hypotheses.org/consignes-aux-contributeurs/mise-en-forme

terrains & travaux accueille par ailleurs des articles hors dossier thématique (50 000 signes maximum), qui doivent être envoyés à :

  • Vincent Arnaud-Chappe : vincent-arnaud.chappe@ehess.fr
  • Milena Jaksic : milena.jaksic@gmail.com
  • Élise Palomares : elise.palomares@univ-rouen.fr

Pour plus de détails, merci de consulter le site de la revue : http://tt.hypotheses.org

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Appel à communication Congrès ARAMOS 2020 – 15/06/2020

Cet appel est lancé dans le cadre du 8e congrès de l’Association de Recherche Appliquée au Management des Organisations de Santé (ARAMOS), qui se tiendra les 13 et 14 octobre 2020 au MESRI.

L’innovation organisationnelle et managériale en santé : Cadre théorique, analyse d’impact sur les pratiques professionnelles et l’organisation des soins.
Attentes particulières sur les retours d’expérience de la gestion de crise Covid 19

Innovation managériale, innovation organisationnelle, les termes ne manquent pas en appui de cette nouvelle tendance qui s’affirme dans le secteur de la santé. L’article 51 constitue une illustration de la mobilisation des pouvoirs publics dans le domaine.

Du point de vue de la recherche en management, ce sujet offre de nombreuses opportunités comme :

  • la définition conceptuelle de l’innovation managériale ou organisationnelle dans le champ de la santé
  • une analyse visant à préciser le contenu de ces innovations
  • l’apport d’éléments de preuve de leur valeur-ajoutée sur la qualité des soins, le contrôle des coûts, l’expérience des patients, ou la satisfaction des professionnels…

Télécharger l’appel à communication

Dépôt des communications et Inscriptions sur https://aramos.sciencesconf.org

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Appel à contributions Thématiques COVID-19 – « Cahiers Droit, sciences et technologies » – 15/07/2020

Les « Cahiers Droit, sciences et technologies » lancent leur appel à contribution pour le numéro 11 (sortie 1er novembre 2020). Date limite de soumission : 15 juillet 2020.

Les thématiques suivantes, liées à la crise sanitaire Covid-19 sont privilégiées : Covid-19 et expertise scientifique (organisation, liens avec la décision, etc.) ; Covid-19 et décision publique en situation d’incertitude ; Covid-19, essais cliniques et éthique clinique ; Covid-19 et pistage des individus.

Consulter l’appel ICI

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Appel à contributions COVID-19 – L’économie dévoilée par la crise pandémique

Cet appel à contributions est conjointement lancé par la Revue de la régulation et la European Association for Evolutionary Political Economy (EAEPE). Il vise à engager le débat au-delà de l’actualité immédiate et à valoriser les compétences d’analyse des chercheuses et chercheurs qui s’inscrivent dans la filiation des recherches hétérodoxes et pluralistes en sciences économiques et sociales.

Consulter l’appel ICI

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Appel à contributions RFG « Le management des industries créatives » – 30/04/2020

Le management des industries créatives

Rédacteurs invités :

Thomas Paris, CNRS (GREGHEC) & HEC Paris

David Massé, i3,Télécom Paris, Institut polytechnique de Paris

Date limite de soumission: 30 avril 2020

Au cours des dernières décennies, les industries créative sont suscité un intérêt croissant dans les sociétés occidentales,depuis l’introduction dela notion au début des années 2000 (Caves, 2000; DCMS, 2001). Des secteurs comme la musique, la gastronomie, l’édition, le design, la publicité, la mode, le spectacle vivant, l’artisanat, l’architecture… deviennent aujourd’hui exemplaires à certains égards et les pratiques managériales de ces entreprises font l’objet d’une attention grandissante de la part du monde académique, politique et des entreprises. Traditionnellement, ces industries ont été étudiées à travers leurs caractéristiques communes. Les travaux de Caves (2000) ont contribué à la caractérisation de ces industries à travers l’appellation de « creative industries » qui met en évidence des régularités dans l’organisation, les problèmes et les réponses apportées de ces différents secteurs.

Texte complet de l’appel :

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Appel à participation – Doct’ilien « Des idées pour le transport, la mobilité et la ville » – 5/12/2019

Pour sa première édition, les doctorants de Paris-Saclay, de toutes disciplines, vous transporteront à travers leurs sujets de recherche dans la ville de demain

« Le transport, la mobilité et la ville » est une préoccupation commune à tous : citoyens, étudiants, collectivités, entreprises et chercheurs.

Venez participer au festival Doctilien qui met ce sujet au cœur de sa première édition sur le plateau de Saclay.

Votre participation peut prendre plusieurs formes :

Vous êtes doctorants de l’Université Paris-Saclay :

Venez confronter vos sujets de recherche aux attentes des entreprises, des citoyens et du territoire, lors de la première édition du DOCT’ILIEN, qui se tiendra le jeudi 5 décembre 2019. C’est l’occasion pour vous d’être challengé par des professionnels du secteur à travers un hackathon, mais aussi de pitcher vos idées lors de la Table Ronde.

A l’occasion de votre participation, nous vous proposons 2 formations : le brief créatif et la prise de parole.

Vous pourrez valoriser cette expérience dans le cadre des formations transverses et des parcours « carrières de docteurs ».

Les inscriptions sont possibles sur ADUM en suivant le lien suivant :

http://www.adum.fr/psaclay/formations.pl?mat=217885

Votre sujet de recherche, quel que soit votre discipline, peut contribuer aux réflexions sur ce sujet. Vous serez sollicités pour venir échanger avec les différents acteurs qui vont vous challenger sur vos travaux. Pour vous préparer vous serez accompagnés par une formation adaptée à l’événement.

Inscription à l’événement :

https://www.eventbrite.fr/e/billets-doctilien-73433069287?aff=DOCTILIEN

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