Activités scientifiques

Sélection : critères, normes, finalités

Sélection : critères, normes, finalités (18-SEM-08)

Porteurs

  • Julien GARGANI (Centre d’Alembert, Université Paris-Saclay)
  • Alexia JOLIVET (EST, Université Paris-Saclay)

Résumé

Mode de fonctionnement optimisé de toutes les organisations ou mode de gestion en situation de pénurie ? Processus rationnel pour obtenir des résultats interprétables ou contingence ayant pris place dans l’auto-organisation des espèces ? Comment fonctionne la sélection et existe-t-il des alternatives à la sélection ? Nous réfléchirons sur les critères de sélection, qu’ils soient automatisés ou non, et au delà nous interrogerons l’impact de ce mécanisme sur le fonctionnement de nos disciplines scientifiques, sur l’établissement des normes, et sur l’organisation de nos sociétés. Pour cela le Centre d’Alembert fera intervenir des collègues de différents domaines dans le cadre de ce séminaire : STAPS, économie, informatique, biologie, physique, science de l’éducation.

(Mise à jour le 19 avril 2024)

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(PR)2ÉMATIQUE

Perceptions des Risques et PRÉvention des MAladies à TIQUEs (23-ma-06)

Porteurs

  • Marc LÉANDRI (UMI SOURCE, UVSQ)
  • Emmanuelle AUGERAUD-VÉRON (Bordeaux School of Economics, Université de Bordeaux)

Résumé

Ce projet vise à contribuer à l’élaboration de politiques publiques efficaces de prévention contre les maladies vectorielles à tiques (MVT) par une compréhension approfondie des déterminants de protection individuelle contre ce risque sanitaire émergent. Pour assoir son approche interdisciplinaire One Health économie/épidémiologie/écologie, (PR)2ÉMATIQUE bénéficie d’un solide réseau construit dans le cadre du projet exploratoire Émergence 2020 Santé Globale et Maladie de Lyme qui a identifié les pistes de recherche les plus prometteuses autour de cet enjeu de santé publique. D’un point de vue empirique, le consentement à payer des usagers récréatifs des forêts françaises pour diminuer la présence de tiques et son lien avec les perceptions subjectives du risque seront étudiés. Ces préférences seront croisées avec des données écologiques pour analyser les biais à prendre en compte dans les instruments de prévention. Le rôle de l’aversion au risque sera observé par une expérience contrôlée en laboratoire et le fardeau économique de ces maladies en France sera estimé à partir de données originales. Nous poursuivrons l’exploration des fondements conceptuels d’un des modèles essentiels en santé publique : le Health Belief Model (HBM) à l’aune de la théorie économique du risque. Cette analyse à la frontière des disciplines posera les bases d’un modèle économique capable de caractériser des politiques optimales d’information pour améliorer la prévention au sein d’une population hétérogène dans ses perceptions d’un risque sanitaire, au-delà du cas des MVT.

(Mise à jour le 04 juin 2024)

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Sciences, croyances, frontières et pensée critique dans l’enseignement des sciences

Sciences, croyances, frontières et pensée critique dans l’enseignement des sciences

Porteurs

  • Magali GALLEZOT (UR EST, Université Paris-Saclay)
  • Abdelkrim HASNI (CREAS, Université de Sherbrooke)
  • Laurence MAURINES (UR EST, Université Paris-Saclay)

Résumé

Dans un contexte de remise en question des savoirs académiques, en particulier scientifiques, et de confusion entre différents registres de discours, la dimension épistémologique de l’enseignement des sciences reçoit aujourd’hui une attention croissante. Les textes ministériels appellent par exemple à distinguer ce qui caractérise un savoir scientifique d’une croyance, à appréhender le périmètre des sciences, à entrer dans une relation scientifique au monde en mobilisant entre autres une pensée critique. Les attendus associés à cette dimension épistémologique sont souvent peu explicités et opérationnalisés par les programmes d’enseignement et de formation. Sur le plan de la recherche, elle reste source de questionnements. Ce workshop vise à soutenir le développement de travaux sur les sciences et les croyances dans l’enseignement scientifique et l’éducation à la pensée critique.

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RwandaMAP2020

RwandaMAP2020 (Mémoires, Archives, Patrimoines). Connaître le génocide des Tutsi : le chercheur à l’épreuve des traces de l’extermination

Porteurs

  • François ROBINET (CHCSC, UVSQ)
  • Ornella ROVETTA (Centre de Recherche Mondes Modernes et Contemporains, Université Libre de Bruxelles)
  • Hannah GRAYSON (Rwandan Stories of Change, University of Stirling)

Résumé

Lancé officiellement en avril 2018 dans les locaux de la MSH Paris-Saclay par une cinquantaine de chercheurs français et étrangers, le projet RwandaMAP a permis la constitution d’un réseau de recherche international sur les traces (mémorielles, archivistiques, patrimoniales) du génocide des Tutsi du Rwanda. Ce collectif ambitionne de relever une série de défis posés aux sciences humaines et sociales (pertes, dégradations ou destructions de certaines traces ; profusion de données, d’archives et de travaux scientifiques ; abondance de témoignages et de récits de natures diverses) qui rendent indispensable la création de dynamiques collectives profondes et durables d’enrichissement des savoirs sur le génocide des Tutsi appuyées sur le recours aux outils numériques de la recherche en humanités.

L’équipe a travaillé depuis 2018 à l’identification des lieux et acteurs de la production des savoirs sur le génocide dans le but de proposer aux chercheurs trois outils dressant une cartographie inédite de 30 ans de travaux consacrés au génocide des Tutsi : 1/ un guide en ligne des lieux d’archives et de documentation ; 2/ une bibliographie collaborative ; 3/ un annuaire des chercheurs. Cette démarche s’accompagne de l’écriture collective de textes de réflexion sur les pratiques de recherche, sur l’usage de certaines sources, sur le recours par les chercheurs aux archives nativement numériques.

Outre la mise en ligne de la plateforme numérique RwandaMAP, l’année 2023-2024 verra également la publication d’un dossier scientifique accueilli par la revue Matériaux pour l’histoire de notre temps ainsi que la présentation, au printemps 2024, d’une exposition nomade sur les traces du génocide des Tutsi à La Contemporaine de Nanterre puis au Rwanda.

En savoir plus sur le projet

Bibliographie

Rémi Korman, Géraldine Poels, François Robinet, Jérôme Thièvre « #Kwibuka 25. Documenter la fabrique numérique des mémoires du génocide des Tutsi du Rwanda », Mémoires en jeu, Association Mémoire des signes – Editions Kimé, 2021, p. 59-67.

Rémi Korman, François Robinet, « Collecter — RwandaMAP (Mémoires, Archives, Patrimoines) », Mémoires en jeu, Association Mémoire des signes – Editions Kimé, 2021, https://www.memoires-en-jeu.com/actu/collecter-rwandamap-memoires-archives-patrimoines/

Rémi Korman, François Robinet, « Des usages des collections numériques de presse pour écrire l’histoire du génocide des Tutsi du Rwanda », in Digitised Newspapers A New Eldorado for Historians?, Berlin, De Gruyter, 2023, p. 173-191, 2023.

François Robinet, « RwandaMAP. À La Recherche Des Traces De l’extermination : enrichir Les Savoirs Sur Le génocide Des Tutsi », Revue d’histoire Contemporaine De l’Afrique, 2023, https://doi.org/10.51185/journals/rhca.2023.stc02.

Comité de pilotage

Violaine Baraduc (EHESS), Philippe Denis (University of KwaZulu Natal), Philibert Gakwenzire (University of Rwanda), Catherine Gilbert (Newcastle University), Darius Gishoma (University of Rwanda), Hannah Grayson (University of Stirling), Rémi Korman (Université Catholique d’Angers), Florence Rasmont (Université libre de Bruxelles), François Robinet (Paris-Saclay University / UVSQ), Ornella Rovetta (Université libre de Bruxelles).

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Animation lmmArch3D

Animation ImmArch3D - Explorer des matériaux du patrimoine avec une approche immersivIE (22-EM-05)

Porteurs

  • Loïc BERTRAND (PPSM, ENS Paris-Saclay)
  • James AUGER (CRD, ENS Paris-Saclay)

Résumé

Le projet ImmArch3d a réuni les sciences du design et du patrimoine pour créer un environnement immersif d’exploration de données d’imagerie 3D. Le projet a abouti à un premier prototype fonctionnel, basé sur des technologies existantes, permettant
 l’exploration immersive d’objets archéologiques de petite taille, avec une attention particulière portée à l’interaction humain–machine et entre humains pendant le travail d’exploration des objets, sur la base de scénarios réels d’utilisation dans la recherche, l’enseignement et la diffusion de la science.

(Mise à jour le 21 juin 2024)

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Appel à contributions pour terrains & travaux : Rétribuer, inciter, dédommager

Appel à contributions pour terrains & travaux : "Rétribuer, inciter, dédommager : les compensations financières et matérielles dans les enquêtes"

INFORMATIONS

La revue terrains & travaux, accompagnée par la MSH Paris-Saclay, lance un appel à contributions pour son dossier thématique : « Rétribuer, inciter, dédommager : les compensations financières et matérielles dans les enquêtes ».

Date de clôture de l’appel : 16 février 2024

Télécharger ici l’appel au format PDF

Présentation de l'appel

Alors que l’argent a longtemps été un impensé dans la pratique de l’enquête en sciences sociales, de nombreuses recherches questionnent aujourd’hui ses multiples usages, ses significations, ses effets, mais aussi ses frontières avec d’autres formes de rétributions matérielles. Plusieurs expressions existent pour qualifier ces pratiques diversifiées : payer, rétribuer, rémunérer, inciter ou « incentiver », dédommager, compenser, fidéliser, remercier les enquêté·es. On peut aussi penser aux nombreuses pratiques de don ou contre-don engagées à ces mêmes fins et qui ont une dimension matérielle : offrir un café, payer des services (course en taxi, location d’un logement, repas au restaurant…) ou offrir les siens (woofing par exemple). Pourtant, peu de travaux ont été menés à ce jour pour proposer une réflexion collective, systématique et pluridisciplinaire sur ces pratiques.

Au-delà des enquêtes en sciences sociales, la rétribution des enquêté·es est également un enjeu dans d’autres domaines académiques, en sciences du vivant par exemple. Elle l’est aussi dans le cas de la recherche clinique, et c’est par ailleurs une pratique à l’œuvre dans des univers professionnels lucratifs plus éloignés de la production scientifique (enquêtes marketing…). Il semble dès lors intéressant d’examiner aussi la rencontre entre ces différentes pratiques, issues d’univers variés, en étudiant les conditions de circulation ou de cloisonnement des pratiques de rétribution d’un univers à l’autre, ainsi que les modalités et les effets de leur appropriation.

Dans cette perspective, ce numéro de terrains & travaux entend réunir des contributions en sciences sociales consacrées aux incidences de l’argent et des autres rétributions matérielles sur les situations d’enquête. Il rassemblera ainsi non seulement des contributions de nature méthodologique et épistémologique (dans lesquelles les auteurs et autrices mettront au cœur de l’analyse leur propre expérience réflexive de la rétribution des enquêté·es), mais aussi des contributions originales à partir de recherches prenant ces diverses enquêtes pour objet.

Les propositions attendues pour ce dossier présenteront de manière problématisée les circulations d’argent et d’autres biens matériels à destination des personnes participant aux enquêtes quantitatives et qualitatives. Il s’agira, sur la base de matériaux empiriques explicitement présentés et intégrés à la démonstration, d’examiner les implications méthodologiques, analytiques, éthiques, voire sociales de ces rétributions. Ces implications peuvent renvoyer à un ou plusieurs des axes suivants.

1. Rétribuer pour recruter

Un premier axe renvoie à ce que l’annonce d’une rémunération fait au recrutement des enquêté·es. Dès lors que la rémunération des enquêté·es se pratique dans les univers lucratifs (enquêtes de consommation, démarchages commerciaux…) ou dans ceux de recherche appliquée (études cliniques…), une question devient de plus en plus prégnante dans des mondes traditionnellement moins familiers de cette pratique : faut-il dédommager des enquêté·es pour garantir un bon taux de participation à l’enquête ? Est-ce d’autant plus nécessaire qu’on cherche à avoir accès à certains groupes fortement précarisés, à faibles revenus ou difficiles à joindre ? Inversement, dans quelle mesure la rétribution des enquêté·es présente-t-elle le risque d’introduire des biais dans leur recrutement ?

Il pourra s’agir ici de réfléchir également à la question de la rétribution des enquêté·es en la liant étroitement à l’examen des caractéristiques des enquêtes (pourquoi la rémunération paraît-elle plus ajustée à certains types d’enquêtes qu’à d’autres ?). On pourra aussi réfléchir à la façon dont la rétribution est pensée pour résoudre certaines difficultés identifiées par les concepteurs des enquêtes, qu’il s’agisse de difficultés matérielles (comment faire transiter de telles rétributions ?), de difficultés symboliques (comme s’affranchir de la souillure de l’argent ?), ou encore de difficultés légales (comment rétribuer sans salarier ?). C’est ainsi qu’on examinera le marquage social de la rétribution à travers la forme qui lui est donnée (bons cadeaux, chèques, dons en nature…). Enfin, on pourra étudier ici comment les pratiques de rétribution s’articulent avec d’autres leviers incitatifs déjà mobilisés (portée de la recherche sur la situation personnelle de l’enquêté·e, sens de l’intérêt public, intérêt intellectuel, moment d’introspection, etc.).

2.  Les effets sur la relation d’enquête et la qualité des données

Au-delà des effets que la rétribution peut avoir sur la structure de la population enquêtée, en accentuant par exemple la participation de certaines populations, ce deuxième axe propose d’examiner les effets de la rétribution sur la relation d’enquête et sur la « qualité » des données collectées.

Pendant l’enquête, certains échanges matériels peuvent clarifier et fluidifier les relations avec les enquêté·es. Mais ils peuvent également introduire de la gêne, des biais, porter à confusion ou encore donner prise à l’affirmation de rapports de domination entre enquêteur·trices et enquêté·es. Alors que l’effet de ces rétributions dépend des conditions sociales de la population enquêtée (on ne rétribue pas de la même manière les personnes sans domicile et les classes supérieures), comment peut-on déceler ces effets et le cas échéant, comment les enquêteur·trices composent-ils et elles avec eux ?

Ensuite, la rétribution peut modifier le rapport de l’enquêté·e à l’enquête. Les enquêté·es auraient-elles et ils, par exemple, consacré le même temps, la même énergie sans dédommagement prévu ? Se seraient-elles et ils autrement impliqué·es, appliqué·es ? Peut-on constater une accentuation de la désirabilité sociale, poussant l’enquêté·e à la dissimulation ou à la modification des informations fournies ? Il apparaît donc nécessaire de s’interroger aussi sur ce que la rétribution produit sur les motivations et sur le contenu des réponses apportées par les enquêté·es. Peut-on ainsi parler d’un contexte de professionnalisation de la condition de l’enquêté·e ? Si l’on rétribue le temps que ceux-ci consacrent à l’enquête, cette participation ne serait-elle pas assimilée à une relation salariale ou commerciale ? Et dans quelle mesure les rétributions monétaires altèrent-elles le consentement et la libre participation des enquêté·es ?

3. Quelles spécificités du monde académique ?

Le risque de biais de recrutement comme celui de l’altération de la qualité des données concernent a priori toutes les enquêtes, qu’elles émanent du monde académique ou des autres secteurs (sondages, marketing…). À cet égard, les deux premiers axes de l’appel seront déjà l’occasion d’interroger les spécificités du monde académique dans la prise en considération de ces enjeux.

Par ailleurs, le recours aux dédommagements pose de manière impérative la question du financement des enquêtes. On pourrait donc réfléchir, d’abord, en termes de différence de moyens entre ceux dont dispose la recherche publique et ceux dont bénéficient les instituts privés de sondages ou les enquêtes d’opinion financées par certain·es acteur·rices du monde économique. Quel est le modèle économique de ces organismes privés ? La pratique de la rémunération est-elle compatible avec les contraintes financières du monde scientifique ? Est-il à la portée de toutes et tous ou est-il l’apanage de projets de recherche de grande ampleur bénéficiant de financements importants ? Quel serait, si le recours aux rétributions venait à se développer, le devenir des recherches de moindre envergure ou plus faiblement dotées, comme c’est le cas par exemple des thèses ? Quel serait ainsi l’impact plus général de ces pratiques sur la demande et les sources de financement ainsi que sur l’organisation de la recherche ? 

De telles considérations conduisent donc à réfléchir aussi aux effets plus structurels que peut avoir l’essor de ces pratiques sur le champ académique. Dans quelle mesure la rétribution des enquêté.es, jusqu’ici souvent perçue comme contraire aux canons de la recherche en sciences sociales, mais usuelle dans d’autres domaines comme l’épidémiologie, tend-elle à s’imposer comme nouvelle norme dans les pratiques d’enquête ? Et dans ce cas, quelles sont les forces qui œuvrent en sa faveur ou, à l’inverse, les résistances qui peuvent s’exprimer et les arguments qui sont alors mobilisés ?

Ce numéro réunira des articles empiriques originaux de sciences sociales (sociologie, science politique, anthropologie, économie, géographie, histoire, etc.). La mise en regard de plusieurs disciplines y sera particulièrement encouragée afin d’enrichir la réflexion sur ces usages mais aussi sur les normes scientifiques qui les bornent, parfois à des degrés divers. Dans la même perspective, les études de cas internationaux seront aussi les bienvenues.

Consignes de soumission

Les articles, de 50 000 signes maximum (espaces, notes et bibliographie compris), doivent être accompagnés de 5 mots-clés et d’un résumé de 150 mots (en français et en anglais).

Ils devront parvenir aux coordinatrices du numéro avant le 16 février 2024 aux adresses suivantes :

Les consignes relatives à la mise en forme des manuscrits sont consultables sur le site de la revue : http://tt.hypotheses.org/consignes-aux-contributeurs/mise-en-forme

terrains & travaux accueille par ailleurs des articles varia, hors dossier thématique (50 000 signes maximum), qui doivent être envoyés à :

 

[Photo : Towfiqu barbhuiya sur Unsplash]

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Workshop : Entrée à l’université en filières scientifiques : croyances et contrats
28 septembre 2023

Workshop : Entrée à l'université en filières scientifiques : croyances et contrats

Informations

Le jeudi 28 septembre 2023 (8h-16h) a lieu à l’ENS Paris-Saclay (salle 1B26) le workshop « Entrée à l’université en filières scientifiques : croyances et contrats ».

Le taux d’échec important en première année montre la nécessité de recherches éclairant les causes de cet échec, de manière à y remédier. Nous faisons l’hypothèse que des écarts existent entre les croyances des enseignant.es et des étudiant.es au sujet des pratiques d’étude et d’enseignement favorisant les apprentissages en première année d’université, et que ces écarts sont sources de difficultés pour les étudiant.es. Nous faisons aussi l’hypothèse que des différences de croyances apparaissent selon le genre. Nous souhaitons identifier les croyances au niveau spécifique d’une discipline scientifique comme à un niveau générique.

Lors de ce workshop, des enseignant.es-chercheur.es de différentes disciplines se rencontreront pour échanger sur les approches théoriques et méthodologiques pouvant éclairer ce problème.

Participation sur invitation uniquement

Programme

Horaires finaux : 8h30 – 16h30

Programme final

Workshop : Entrée à l’université en filières scientifiques : croyances et contrats
28 septembre 2023
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Appel à articles de La Nouvelle Revue du Travail : Le travail, espace politique

Appel à articles de La Nouvelle Revue du Travail : Le travail, espace politique

INFORMATIONS

La Nouvelle Revue du Travail (NRT) diffuse un nouvel appel à articles accessible ici.

Le thème donné est :
Le travail, espace politique
, corpus coordonné par Carlotta Benvegnù, Paul Bouffartigue, Saphia Doumenc et Baptiste Giraud.

La limite d’envoi des propositions d’article est fixée au 19 janvier 2024.

Merci d’envoyer vos propositions à cette adresse (uniquement) : nrtravail@gmail.com

Retrouvez l’appel dans sa version PDF.

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Recrutement : Chargé·e de partenariat et valorisation (MSH Paris Nord)

Recrutement : Chargé·e de partenariat et valorisation (MSH Paris Nord)

Informations

La MSH Paris Nord recrute au poste de chargé·e du partenariat et de valorisation en CDD.

Le/la chargé·e du partenariat et de la valorisation aura pour mission de proposer, concevoir et mettre en œuvre les opérations de partenariats et de valorisation de la MSH Paris Nord (50%) et du GIS Démocratie et participation (50%).

Le poste est à pourvoir pour le 1er septembre.

Date limite de candidature : mercredi 19 juillet 2023
Lieu de travail : MSH Paris Nord, La Plaine Saint-Denis, métro 12 Front Populaire
Quotité de travail : temps complet
Rémunération : entre 2280 et 2890€ brut mensuel selon expérience
Niveau d’études souhaité : Niveau 6 – (Bac+3 ou 4)

>> Détails de l’annonce et pour candidater

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