Activités scientifiques

Appel à projets GELFUC 2017- Recherche contre le cancer

En 2017, le GEFLUC Paris – Île-de-France répartit, à l’occasion de son Assemblée Générale Ordinaire annuelle, des subventions de recherche sélectionnées par son Conseil Scientifique Régional. Ces subventions sont destinées à la recherche contre le cancer au sein de laboratoires académiques de la région Île-de-France et concernent des projets entrant dans le cadre de la cancérologie expérimentale ou clinique.

Deux types d’aides sont proposés :

1- des subventions de 20k€, exclusivement dédiées aux frais de fonctionnement et à l’achat de petits équipements,

2- des subventions de 50 k€ consacrées au financement ou au co-financement d’un équipement, ou à l’installation d’une nouvelle équipe.

Si vous désirez déposer une demande de subvention, veuillez prendre connaissance des consignes ci-dessous et vous trouverez également les deux documents à télécharger nécessaire à la création de votre dossier.

Constitution du dossier

Les consignes et l’ordre des chapitres doivent être scrupuleusement respectés lors de la constitution de votre dossier. Tout manquement ou omission entraînera le refus systématique du dossier.

  1. Remplir la fiche suivante : Demande-de-subvention-GEFLUC-2017

Elle doit figurer en tête de votre dossier et comporter : titre du projet, nom et adresse du demandeur, statut, intitulé complet du laboratoire ou de l’unité, adresse complète, e-mail, téléphone.

Ce document doit être impérativement joint à votre dossier. N’utilisez que ce document. Toute autre fiche sera refusée.

Tous les éléments doivent être exhaustifs car ils permettront le cas échéant de vous joindre et de vous transmettre nos éléments. Seule l’adresse que vous indiquerez sera prise en compte. Nous n’adresserons aucun courrier ou envoi à une autre adresse. Toute information incomplète, manquante ou erronée sera éliminatoire

2. Résumé grand public (25 lignes maximum)

Rédiger un résumé de vulgarisation de votre projet destiné au grand public. Le langage doit-être adapté et compréhensible par tous.

3. Projet de recherche (2 pages maximum en français et/ou en anglais).
Rédiger votre projet en incluant la méthodologie. Il doit être particulièrement ciblé, original et novateur. Les justifications permettant de situer le domaine de recherche doivent être mentionnées. Le signataire du projet doit être le demandeur !

4. Mini-CV (1 page maximum).
5. Présentation de l’équipe et de ses membres (chercheurs, techniciens…).

La composition de l’équipe de recherche, ainsi que sa place au sein d’un laboratoire ou institut, doivent être présentées avec exactitude. Il est nécessaire d’identifier le statut des membres de l’équipe. Indiquez le pourcentage de temps consacré au projet par chaque membre de l’équipe.

Pour les doctorants, préciser l’année de la première inscription en Thèse et le financement. Pour les personnels non-statutaires (post-doctorants, ITA…), préciser l’origine et la durée du financement.

6. Liste des publications des 3 dernières années par les participants au projet.
7. Liste des publications du demandeur sur le sujet.
8. Moyens financiers annuels (privés et publiques) de l’équipe.
Pour l’année précédente ainsi que pour l’année en cours (obtenus et demandés) : montants détaillés alloués et demandes en cours (sources institutionnelles, caritatives et privées).

Ces moyens doivent être impérativement détaillés et justifiés.

9. Budget prévisionnel (TTC) d’utilisation de la subvention.

Le devis prévisionnel doit être chiffré et détaillé avec pièces justificatives pour le matériel.

Si la subvention doit prendre partiellement en charge un matériel lourd, un montage financier précis doit être présenté, sans aléas, sur les diverses participations de ce montage. Les frais de gestion ne sont pas autorisés.

10. Rapport scientifique de la subvention précédente.

Joindre les articles dans lesquels la contribution financière du GEFLUC est remerciée.

Annexe : Rapport financier (à joindre au dossier papier uniquement).

Joindre un exemplaire papier des justificatifs comptables avec copies des factures conformes au devis prévisionnel de la dernière subvention allouée par le GEFLUC.

11. Joindre un RIB.

Fourni par l’agent comptable de votre structure.

12. Joindre le document d’engagement GEFLUC : Document-dengagement-GEFLUC-2017

Il doit être signé et daté par le chercheur (demandeur de la subvention), par l’agent comptable de votre structure ainsi que par le responsable de la structure (directeur, président, délégué…).

Les dossiers doivent être adressés sous forme d’un document unique, intitulé « Nom du demandeur_GEFLUC_2017 », au format PDF, par mail à l’adresse suivante : gefluc.chercheurs@gmail.com

 

Un exemplaire papier complet sera également adressé par courrier postal à l’adresse suivante :

GEFLUC

42 rue Denis Papin

94200 IVRY-SUR-SEINE

 

Informations relatives aux subventions

Il est précisé que le nombre de subventions consécutives attribuées au même demandeur pour un sujet de recherche, est limité à trois. Ceci dans le but d’éviter une pérennisation des subventions et ce quel que soit le niveau scientifique des projets.

Le Gefluc Paris – Île-de-France est une association à but non lucratif et à ce titre, aucun frais de gestion ne pourra être prélevé sur les subventions allouées.

Les études cliniques ou mixtes entrant dans le champ de la loi Jardé ne pourront, si elles sont retenues, être subventionnées qu’après accord d’un comité de protection des personnes qui se prêtent à la recherche biomédicale.

Les subventions ne peuvent être versées qu’à des organismes officiels (CNRS, INSERM, universités…) situés en Île-de-France et en aucun cas à une association ou en nom propre.

Les fonds éventuellement attribués ne peuvent être utilisés pour la rémunération du personnel, l’octroi d’une bourse, pour des frais de mission ou de congrès ou des frais de gestion.

Les dépenses non-conformes au devis prévisionnel sont susceptibles de faire l’objet d’un remboursement au GEFLUC.

Nous vous demandons de bien vouloir respecter scrupuleusement ces recommandations sous peine d’irrecevabilité.

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Journée de lancement DIM « Matériaux anciens et patrimoniaux » – 24/03/2017

La journée de lancement du Domaine d’intérêt majeur (DIM) Matériaux anciens et patrimoniaux rassemblera les membres du réseau francilien, qui se consacre à l’étude des matériaux anciens. Elle se tiendra le 24 mars, de 9h à 13h, au Grand Amphithéâtre du Muséum national d’Histoire Naturelle.

L’inscription est gratuite mais obligatoire.

Cette journée a pour objectif de présenter le projet scientifique et ses axes de recherche, de même que les types d’actions envisagées en matière de communication et de valorisation. L’appel à projet 2017-1 fera l’objet d’une session spécifique.

Le réseau du DIM MAP est composé de près de 80 laboratoires et de plus de 600 chercheurs. Une vingtaine d’entreprises et de musées, de même que les trois SATT (sociétés d’accélération du transfert de technologies) franciliennes y sont aussi associés.

L’originalité du DIM MAP repose sur sa forte dimension pluridisciplinaire (physique, chimie, informatique, biologie, histoire, histoire de l’art, archéologie, sciences des textes). Il intègre les acteurs économiques et sociaux du monde du patrimoine et de sa valorisation.

Programme

8h45       Accueil

9h15      Ouverture et mots de bienvenue

  • Stéphanie Thiébault, CNRS, Directrice de l’Institut Écologie et Environnement
  • Jean-Denis Vigne, MNHN, Directeur de la Recherche
  • Pierre-Cyrille Hautcoeur, EHESS, Président (sous réserve)
  • Représentant IDF (sous réserve)
  • Présentation de la journée, Margareta Tengberg

9h45      Présentation du projet scientifique et des axes du DIM Matériaux anciens et patrimoniaux

  • Présentation du projet scientifique, Loïc Bertrand
  • Présentation des axes par les porteurs d’axes :
    • Objets : provenance, chaînes opératoires, pratiques, Isabelle Sidéra et Philippe Dillmann
    • Analyses en toute sécurité, Jean-Paul Itié et Laurence de Viguerie
    • Altération et conservation, Laurianne Robinet et Mandana Saheb
    • Fossiles et témoins de vie ancienne, Isabelle Rouget et Julien Gargani
    • Signal, calcul et statistiques, Serge Cohen, Agnès Desolneux et Dan Vodislav
    • Paléo-environnement et taphonomie, Christiane Denys et Dominique Blamart
    • Usages, archives et réflexivité, Cynthia Colmellere et Pauline Lemaigre-Gaffier
    • Matériaux d’artistes et matérialité des œuvres, Charlotte Guichard et Isabelle Pallot-Frossard

10h30    Echanges et questions

10h45    Pause

11h15     Conférence invitée : Matériaux du passé et interdisciplinarités au présent

Jean-Paul Demoule – Professeur émérite, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

12h00   Présentation de l’appel à projet 2017-1, Etienne Anheim

12h30    Echanges et questions

12h45    Valorisation socio-économique, Sophie David

13h00    Conclusions

 

Informations pratiques

Grand Amphithéâtre du Muséum National d’Histoire Naturelle
Jardin des Plantes
57 rue Cuvier
75005 ParisAccès en transports en commun
Bus : Lignes 24, 57, 61, 63, 67, 89 et 91, arrêt Gare d’Austerlitz
Métro : Ligne 5, Gare d’Austerlitz – Ligne 7, Jussieu – Ligne 10, Jussieu/Gare d’Austerlitz
RER : C, Gare d’Austerlitz
L’inscription est gratuite mais OBLIGATOIRE. Cliquez ici.

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Workshops 2017 – Axes de recherche – MSH Paris-Saclay

Dans la continuité des échanges du 27 janvier 2017, la MSH Paris-Saclay organise un workshop pour chaque axe de recherche.

 

Axe 1 : Le pouvoir des algorithmes

date à définir

programme à venir

 

Axe 2 : La culture de la nature

Jeudi 27 avril 2017

pour accéder au programme : Programme Workshop Axe 2

 

Axe 3 : La nature de la culture

Mercredi 17 mai 2017

pour accéder au programme : Programme Workshop Axe 3 V.2

 

Axe 4 : La santé de demain

vendredi 31 mars 2017

pour accéder au programme : Programme Workshop Axe 4

 

Informations pratiques

Les workshops se tiendront à l’ENS Paris-Saclay, salle Renaudeau (bâtiment Laplace), de 9h30 à 17h30.

Accéder à l’ENS Paris-Saclay, cliquez ici

 

L’inscription est OBLIGATOIRE auprès de christine.benichou@universite-paris-saclay.fr

 

 

 

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Séminaire « Conflit et territoires : Analyser les relations paradoxales entre conflit et participation » – 28/03/2017

L’objectif du séminaire mensuel Conflits et Territoires est de permettre d’engager la discussion sur la question des conflits liés à l’espace, et tout particulièrement sur la place des conflits dans la construction et la gouvernance des territoires.

Le séminaire a lieu tous les derniers mardi du mois. L’accès est gratuit.

La séance du 28/03/2017 (13h30-15h30) sera animée par Patrice MELE, géographe (UMR CITERES, CNRS, Université de Tours)

Analyser les relations paradoxales entre conflit et participation

Tout se passe comme si les sociétés contemporaines étaient marquées à la fois par la généralisation de situations de conflits et par la multiplication de dispositifs d’information, de concertation ou de participation. L’observation de situations concrètes fait apparaître des relations complexes et souvent paradoxales entre conflits et processus de participation. D’un côté, la participation est censée déclencher ou bien élargir les conflits et elle est souvent crainte par les élus et les porteurs de projet qui redoutent de possibles effets négatifs liés à l’ouverture des processus de décision. De l’autre, la participation est considérée comme un instrument pour réduire ou même éliminer les conflits et donc pour soustraire le terrain aux mouvements radicaux. A partir de travaux menés dans le cadre d’un projet de recherche international portant sur la localisation des infrastructures de traitement des déchets et de la coordination avec Luigi Bobbio d’un numéro de Participations, cette intervention proposera une réflexion sur l’analyse des relations paradoxales entre conflit et participation dans le domaine des choix publics territoriaux.

Informations pratiques

Lieu : Agro Paris Tech – salle Delage

16 Rue Claude Bernard

75005 PARIS (Métro Censier Daubenton)

 Inscription libre mais obligatoire : torre@agroparistech.fr

 

 

 

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Appel à projets – Études Stratégiques et prospectives – Ministère de l’Intérieur

Le ministère de l’Intérieur propose un co-investissement pour la réalisation d’études stratégiques et prospectives en affaires intérieures et de sécurité.

Le Centre des Hautes Études du Ministère de l’Intérieur (CHEMI) pilote, en lien avec les directions générales du ministère, cet appel à projets pour le compte du Conseil de la stratégie et de la prospective présidé par le ministre de l’intérieur, et du Comité des études présidé par le secrétaire général du ministère de l’Intérieur.

Thèmes de l’appel à projets

  • Thème 1 : La gouvernance des territoire
  • Thème 2 : La sécurité publique et la sécurité des flux
    • Approche économique de la sécurité
    • Liens entre prévention de proximité et évolution de la délinquance
    • Relation police/population
  • Thème 3 : Les enjeux de la sécurité civile
  • Thème 4 : La coopération internationale et européenne de sécurité
  • Thème 5 : La modernisation et la transformation numérique des organisations
  • Thème 6 : Les libertés publiques et la cyber sécurité
  • Thème 7 : Transversalité des ressources humaines

Calendrier prévisionnel

  • 8 mars 2017 : Ouverture de l’appel à projets et début de la réception des dossiers
  • 12 avril 2017 : Clôture de l’appel à projets et début des expertises sur les dossiers
  • Début mai 2017 : Réunion du jury de classement des projets sur le Campus du CHEMI
  • 15 mai 2017 : Sélection des projets retenus par le 4e Comité des études
  • Fin mai 2017 : Rédaction des conventions et lettres de commande
  • Mai à octobre 2017 : Production des études
  • Octobre-novembre 2017 : Livraison et réception des études produites

Données financières

Chaque projet sera financé ou co-financé à hauteur de 15 000 à 50 000 €.

Informations et dossier de candidature

Pour accéder à l’appel à projets dans son intégralité : Appel à projets 2017 Etudes stratégiques et prospectives

Pour accéder au formulaire de candidature :

 

 

 

 

 

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Appel à projets/bourses franco-américain – Thomas Jefferson Fund

L’appel à projet 2017 du Thomas Jefferson Fund est un nouveau programme lancé par l’Ambassade de France aux Etats-Unis et la fondation FACE, avec le soutien du MENESR.

Il vise à encourager et soutenir la collaboration des jeunes chercheurs français et américains les plus prometteurs et à promouvoir les projets innovants de recherche conjointe.

Jusqu’à neuf projets collaboratifs franco-américains seront sélectionnés. Chaque projet sélectionné recevra un montant maximum de $ 20,000 sur deux ans.
Les candidatures sont acceptées dans les trois domaines suivants :

  • Sciences pour la Société (projets interdisciplinaires STIM-SHS)
  • Sciences humaines et sociales (SHS)
  • Science, Technologie, Ingénierie, Mathématiques (STIM)

La priorité sera donnée aux projets les plus innovants incluant de la mobilité transatlantique, des activités de recherche collaborative, l’organisation commune d’ateliers et de conférences, la publication conjointe d’articles et la participation de doctorants.

Les bourses couvriront les frais de mobilité entre la France et les Etats-Unis (voyage, hébergement et repas), une partie du coût des conférences conjointes, et des frais de publications communes.
Les chercheurs partenaires sont encouragés à obtenir un co-financement en nature ou en espèce auprès de leur institution ou d’autres sources de financement afin de pouvoir couvrir les autres types de dépenses nécessaires à la bonne exécution de leur projet de recherche conjoint.
Les dossiers de candidature doivent être soumis conjointement par un chercheur français et un chercheur américain en début de carrière, avec un poste permanent ou semi-permanent au sein d’un
établissement de recherche ou d’enseignement supérieur en France et aux Etats-Unis.

Calendrier

  • Les dossiers de candidatures pour des projets conjoints doivent être soumis avant le 9 avril 2017 (Minuit, EST)
  • La liste des lauréats sera publiée en juin 2017
  • Les projets retenus pourront démarrer dès juillet 2017

Pour plus d’informations

  • en français, cliquez ici
  • en anglais, cliquez ici

Contact : thomasjeffersonfund@ambafrance-us.org

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Call for paper – 25th International Colloquium of Gerpisa – 14-16/06/2017

Never before has the automotive industry has been involved in so many revolutions at once: the EV revolution, the digital and autonomous car revolution, the new mobility revolution, the industry 4.0 revolution. Forecasts from authoritative agencies announce that in the very near future the car as we have come to know it until the beginning of the XXI century – privately acquired and owned, personally driven, propelled by an internal combustion engine and manufactured by human beings – will cease to exist, replaced by electric, autonomous, connected mobility services produced in highly automated and flexible factories.

Carmakers and automotive traditional suppliers do not contest these views: they rather portray themselves as the future providers of these new services and technologies. Several reports suggest that if they don’t (or even if they do), other actors, ranging from GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) to others ICT (Information and Communication Technology) and “social network” firms and start-ups, will take the control of this new digital value chain.

Yet, if one looks at the 91 millions of cars produced worldwide in 2015, an all time record, it is hard to see many traces of these on-going and upcoming revolutions. Indeed, never before in the history of mankind were so many conventional, ICE propelled and privately owned and driven cars produced by the traditional players of the automotive industry.

The problem with disruptive innovations is that they are supposed to start small, before becoming dominant. But how to know in advance if we are dealing with true radical changes or passing fashions? How to properly characterise their dynamics in order to assess what is actually happening rather than what “should” be happening or “will” be happening? More precisely, what are the economic, technological, institutional, political and social conditions that would allow these radical changes to take place and diffuse? Companies like Tesla and Uber do appear as successful disruptive players, pushing forward fully electric cars, new mobility services and autonomous cars, but their impact is still very small and one may question how long they can survive if their losses grow (much) faster than their revenues? More generally, what are the “business models” that sustain these radical transformations, for instance, not only for EV production and sale, but also for the building of the required charging infrastructure, and the provision of the batteries and the electricity in the amount and at the price required to support a fast and large diffusion?

The Call for Papers asks for submissions that examine if and how these “revolutions” are taking place. The contributions may also question the pertinence and relevance of these disruptive “revolutions” for understanding the actual on-going transformations of the automotive sector in mature and emerging markets. More generally, we welcome papers that explore how electric cars, electric mobility, new services and applications, autonomous vehicles, digital cars, automotive big data and factories of future are promoted, conceived, developed, implemented and diffused, and how they impact and transform the market and production of vehicles, the transport of goods and persons, and the work and employment of people in the automotive and transport sectors.

We are calling for empirical and/or conceptual studies focusing on these as well as other questions raised by the present “disruptive” “revolutions” expected to deeply transform the global automotive industry and, more generally, the field of transportation and mobility. Amongst these, the themes of our previous international programme on the structuring/restructuring of the global automotive industry remain important. In particular, do these, as other transformations in the automotive industry, sustain globalization through regional integration, FDI and further development of the global value chains? Or are we witnessing the beginning of a de-globalization process triggered, for instance, by “disruptive” political changes as Brexit and the election of Donald Trump as the president of the US?

Papers developing historical perspectives on all these issues are welcome. They could focus for instance on previous technological and product revolutions in the automotive sector, on the social and political construction and use of forecasts by governments and consultants, on the role of trade integration and/or protectionism for the development of the automotive sector in mature and emerging countries, and on previous more or less successful, aborted or forgotten “revolutions”.

This call for papers is organized in five major themes of research that structure our on-going international programme on “The new frontiers of the global automotive industry”.

We also draw your attention to the special issue of the international journal IJATM that will be based on a selection of the best papers presented during the colloquium, including the winner of the young author’s prize, and to the special sub-theme on the future of work in collaboration with the International Labour Organization.

1. Embedding the automobile in societal contexts: new services, new uses, new integrated mobility systems, new business models (Bruce Belzowski, Alex Covarrubias, Bertha Vallejo) – click here to get more information
2. New technologies: sustainable mobility or new brave world (Giuseppe Giulio Calabrese, Roberto Marx) – click here to get more information
3. Production models and strategies, new locations and restructuring of value chains: between incremental and disruptive innovation (Tommaso Pardi, Vincent Frigant, Thomas Klier) – click here to get more information
4. Employment and labour relations: between segmentation and convergence (Jorge Carrillo-Viveros, Martin Krzywdzinski, Tommaso Pardi) – click here to get more information
5. Public policies – national and regional clusters: between path dependency/inertia and structural change (Bruno Jetin, Sigfrido Ramirez) – click to get more information

Guidelines

In order to submit a proposal click under the dedicated link below the chosen theme. Proposals should range between 500 and 1000 words. They should present the outline of the research question (Purpose), the methodology (design), the main results (Findings) and their practical implications.

The procedure to submit final articles will be sent by email following the proposal acceptation. Final articles should range between 5000-7000 words (excluding figures, tables and references) in order to be considered for the IJATM special number. High-quality articles which exceed 7000 words will be also considered.

Deadline for proposals : 31st of March 2017

Deadline for final papers : 31st of May 2017

IJATM special issue

The International Journal of Automotive Technology and Management (IJATM) published by Inderscience publishes each year a special issue based on a selection of the most relevant papers presented during the GERPISA yearly colloquium. One or two papers from young authors will also be published in this special issue. An evaluation committee, composed of members of the GERPISA’s international steering committee, will assess the papers during the colloquium (young authors and others).

The criteria of the assessment are based on the relevance of the topic inquired, the presentation and the accuracy of the results, the quality of the methodological work, and the review of the literature. A variety of work in the field of social sciences (history, management, economics, sociology, geography, political science, etc.) dealing with automobile industry is welcome.

After the decision of the GERPISA’s steering committee, the selected papers will be refereed through a double-blind process, and then published in a special issue of the International Journal of Automotive Technology and Management. We are looking forward to reading your papers and attending your presentations.

Gerpisa Young Author Price

The Young Author’s Prize of GERPISA, consisting of the publication of the winning paper in a special issue of IJATM and a 1500 € reward, aims at recognizing the work of young researchers on topics related to the automobile industry, encouraging them to develop their enquiries on automobile industry.

Requirements to submit a paper proposal for the young author’s prize:
1. Master, Ph.D. students, post-doc, etc. (no full-time associate professor, professor or researcher) needs to be less than 37 years old (papers co-authored with a senior researcher will not be assessed);
2. Paper based on the analysis (whether theoretical, methodological, or empirical) of the automobile industry (topics have to cover one of the five themes of the colloquium);
3. Presentation of the paper during the 25th international colloquium, Paris, 14th of June – 16th of June 2017;
4. Submission online (for one of the 5 above-mentioned themes, specifying that the papers are for the prize), and email (name, date of birth, nationality, status, University, topic, abstract) to Giuseppe Calabrese (giuseppe.giulio.calabrese@ircres.cnr.it), and Tommaso Pardi (tpardi@gerpisa.ens-cachan.fr) before the 31st of March 2017 for the proposal and the 31st of May 2017 for the final paper.

For more information

Géry Deffontaines, GERPISA – gery.deffontaines@ens-cachan.fr

Tommaso Pardi, CNRS-IDHES, GIS GERPISA – tommaso.pardi@ens-cachan.fr

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Journée « Le printemps des Sciences Humaines et Sociales, une belle dynamique » – 20/03/2017

Au cours des dernières années, la place des sciences humaines et sociales (SHS) a significativement évolué dans les sociétés où elles ont pris le devant de la scène, devenant de nouvelles ressources pour comprendre et agir sur les évolutions du monde.
L’Alliance ATHENA a porté et connu des avancées décisives pour les SHS. Ses membres ont poursuivi et amplifié le déploiement de grandes infrastructures numériques, ils ont conforté, sur l’ensemble du territoire, des Maisons des Sciences de l’Homme destinées notamment à encourager les collaborations interdisciplinaires et internationales. Cette dynamique a été soutenue avec
détermination par Thierry Mandon qui a lancé, en juin et octobre 2016, un plan spécifique de soutien aux sciences humaines et sociales.
Cette journée explore les grands ressorts de cette dynamique. Elle est aussi l’occasion d’inaugurer de belles réalisations : la plateforme Fund it d’information sur les appels d’offres internationaux et le portail de l’ANR dédié aux appels d’offre nationaux. La cartographie de la recherche sur l’éducation et le rapport sur les transformations des universités françaises, commandés par Thierry Mandon, lui seront remis, contribuant à la visibilité de secteurs éminemment transversaux.

Programme

09h00 Accueil par Jean-François Balaudé, Président de l’Université Paris Nanterre et Président de l’Alliance ATHENA

09h15 Introduction Thierry Mandon, Secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et la Recherche

09h30 Inauguration de la plateforme Fund it et du portail de l’ANR consacré aux appels d’offre nationaux

Olivier Bouin, directeur du Réseau Français des Instituts d’Études Avancées, Yves Fort, directeur des opérations scientifiues de l’ANR et Julien Ténédos, chef de projet de la plateforme Fund it

9h45 La recherche sur l’éducation et les systèmes d’enseignement, les évolutions en questions : remise de la cartographie des recherches et du rapport sur les transformations des universités françaises

Sophie Fermigier, chargée de mission MENESR, Olivier Rey, responsable de l’unité Veille & Analyses de l’Institut français de l’Éducation – ENS de Lyon et Françoise Thibault, déléguée générale de l’Alliance ATHENA

10h30 Quelques réflexions sur les SHS

Bertrand Jouve, président du Réseau national des MSH

10h40 L’ANR, une nouvelle impulsion pour les SHS

Lionel Obadia, responsable du département SHS de l’ANR

11h00 L’appel à manifestation d’intérêt destiné à favoriser l’insertion professionnelle des diplômés des sciences humaines et sociales des établissements d’enseignement supérieur
Simone Bonnafous, directrice générale de l’enseignement supérieur et l’insertion professionnelle

11h30 Les tiers lieux à l’université

Benjamin Gentils, chargé de projet innovation (CCI 77) et entrepreneur, et Antoine Burret, auteur de Tiers-lieux. Et plus si affiintés, FYP Éditions, docteur en sociologie.

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Informations pratiques

Adresse de l’événement :

Université Paris Nanterre – Bâtiment Max Weber

200 avenue de la République
92001 Nanterre Cedex

Pour accéder à l’Université Paris Nanterre : cliquez ici

Pour télécharger le programme : cliquez ici Programme Printemps SHS

 

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Journalistes, des salariés comme les autres ? Représenter, participer, mobiliser – Petits déjeuners Durkheim – 24/02/2017

La deuxième séance des Petits déjeuners Durkheim 2017 s’est tenue le 24 février 2017 dans les locaux de la bibliothèque Durkheim (ENS Paris-Saclay) et a été consacrée à l’ouvrage de Camille Dupuy : Journalistes, des salariés comme les autres ? Représenter, participer, mobiliser (Presses universitaires de Rennes, 2016).

Autour de Florent Le Bot, PRAG, Université Evry-Val-d’Essone , les échanges ont notamment réuni :

Arthur Jatteau, Chercheur associé, IDHES (UMR 8533 – CNRS/Université Paris 1/Université Paris 8/Université Paris 10/ENS Paris-Saclay/ Université Evry-Val-d’Essonne)

Anaïs Henneguelle, Doctorante, IDHES (UMR 8533 – CNRS/Université Paris 1/Université Paris 8/Université Paris 10/ENS Paris-Saclay/ Université Evry-Val-d’Essonne)

Hiromasa Suzuki, Professeur, Université de Waseda, Chercheur associé, IDHES (UMR 8533 – CNRS/Université Paris 1/Université Paris 8/Université Paris 10/ENS Paris-Saclay/ Université Evry-Val-d’Essonne)

Lowell Turner, Professeur, Cornell University

Claude Didry, Directeur de recherche, Centre Maurice Halbwachs (UMR 8097 – CNRS/ENS/EHESS)

Christian Bessy, Directeur de recherche, IDHES (UMR 8533 – CNRS/Université Paris 1/Université Paris 8/Université Paris 10/ENS Paris-Saclay/ Université Evry-Val-d’Essonne)

Nathalie Barnault, Bibliothécaire, Bibliothèque Durkheim (ENS Paris-Saclay), Les Petits déjeuners Durkheim

Stefano Bosi, Directeur de la Maison des Sciences de l’Homme Paris-Saclay (USR 3683 – CNRS/Université Paris-Saclay).

 

Retrouvez les vidéos de la séance :

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Journée d’études « Action collective et action publique » – 20/04/2017

La question des politiques publiques a longtemps été abordée principalement sous l’angle de l’offre par les décideurs, dans le prolongement du modèle weberien du commandement et du contrôle par l’Etat, dans une logique descendante. Depuis le début des années 1990, dans la logique des travaux sur la gouvernance, la question a évolué pour permettre la prise en compte de l’interaction de cette offre avec la demande des différents acteurs, à des échelles territoriales diverses, et pour l’ensemble du processus de politiques publiques (de la construction des problèmes à la mise en œuvre). Cette transformation a également été analysée en termes d’évolution des politiques publiques vers des actions publiques moins inscrites dans un programme piloté et défini par l’État.

Cette journée d’études vise à renouveler ces questionnements, en se centrant sur l’analyse du rôle de l’action collective et de la participation dans les processus de politiques publiques et de choix collectifs, en mobilisant les apports croisés de chercheurs en sociologie, économie, géographie, science politique… ce qui devra permettre aussi de clarifier et rendre plus riche l’aspect polysémique du terme d’action collective, utilisé à la fois pour analyser des processus de mobilisation et les modes de construction de l’action publique.
Il s’agira donc d’interroger la manière dont les demandes des acteurs collectifs, dans différents contextes institutionnels, organisés ou non, sont exprimées, formulées, négociées ; dont elles sont plus ou moins prises en compte dans la mise en œuvre des politiques publiques et, également, dans le contrôle de leurs résultats et leur évaluation –soit, autant de mécanismes attendus dans les pays démocratiques mais dont il pourra être intéressant aussi d’observer les formes possibles dans les pays non démocratiques.

Sans nier l’importance des processus partant du sommet de l’Etat ou des institutions supra étatiques (top down), il s’agit donc d’explorer la diversité des processus par lesquels des mobilisations se développent (bottom up), en questionnant ses effets réels et symboliques sur le contenu et le déroulement de l’action publique, dans divers contextes institutionnels, économiques et politiques. Il ne s’agit donc pas tant d’analyser les processus électoraux que les formes d’organisation et de mobilisation des acteurs, qu’elles soient structurées par les groupes de pression, auto-organisées, éphémères, durables ; et, qu’elles utilisent les outils reconnus de la participation, ou se situent en dehors des dispositifs institutionnalisés. De plus, si l’angle choisi invite à développer des réflexions sur les échelles infranationales, et les acteurs non étatiques dans les politiques publiques, les autres échelles de territoire et tous les types d’acteurs.
La réflexion sera structurée autour de trois thèmes, avec des interventions davantage ciblées sur un thème et une question transversale, posée de manière plus générale.

Premier thème : Les choix collectifs
En amont des politiques publiques, les contributions au colloque pourront porter sur les formes de persuasion, de mobilisation, de négociation, ainsi que sur les ressources mobilisées par les acteurs de l’action collective pour intervenir et participer aux processus de choix collectifs, de décisions et de mise en cohérence politique, afin de produire des actions publiques. Comment les choix collectifs émergent-ils ? Dans quelle mesure relèvent-ils de la démocratie, de quelle forme de démocratie ? Qu’en est-il dans les pays non démocratiques ?

Deuxième thème : La mise en œuvre, les processus
Les politiques publiques se mettent en œuvre dans un contexte de rapports de force, de négociations dans lesquelles l’action collective est partie prenante, à côté des décideurs, mais aussi des bureaucrates et des professionnels de l’action publique. Dans quelle mesure l’action collective influence-t-elle le déroulement voire le contenu de l’action publique, comment vient-elle la légitimer, la transformer ou la combattre ?

Troisième thème : L’évaluation, le rôle des chiffres et des indicateurs
Le discours politique et institutionnel actuel met en avant les dispositifs de contrôle et les procédures d’évaluation par les acteurs concernés. Comment et jusqu’à quel point les instruments et les outils d’évaluation prennent-ils en compte leurs attentes, leurs motivations, leurs intérêts ? Quels sont les effets concrets des évaluations participatives et leurs limites ?

Question transversale : Echelle et développement territorial
Le colloque interroge donc les différents « lieux de la décision » mais aussi l’émergence des territoires comme des acteurs des politiques publiques. Les contributions pourront ainsi se situer à un niveau multiscalaire, supra et infranational, pour analyser la montée en responsabilités de nouveaux acteurs et leurs articulations, leurs synergies, leurs difficultés, voire leurs blocages.

Programme (téléchargez le programme : programme-20-04-17)

9h : Accueil des participants

9h30 : Introduction
Laurent Willemez (directeur du laboratoire Printemps) et Jean Cartier-Bresson (directeur du laboratoire Cemotev)

9h45 à 11h30 : Table ronde « Les choix collectifs » animée par Jean Cartier-Bresson, économiste
Stefano Palombarini, maître de conférences en science économique, Université Paris 8, LED, « Election, crise politique et évolution du modèle socio-économique français »
Cécile Blatrix, professeure de science politique, AgroParisTech, CESSP, « Débat public, action collective et légitimité des décisions publiques. Le cas des Grands Projets Inutiles et Imposés » (GPII)
Caroline Chapain, Lecturer, Business School, University of Birmingham, « Quelles politiques pour les villes créatives ? »
Maxime Quijoux, chargé de recherche en sociologie, Printemps, UVSQ/CNRS, « Quand les ouvriers se saisissent des élus: le cas d’une reprise d’entreprise en SCOP en région parisienne »

Pause

11h45 à 13h : Table ronde « La mise en œuvre, les processus » animée par Maryse Bresson, sociologue
Charlotte Halpern, chargée de recherche, Sciences Po, Centre d’études européenne, « Participation et changement dans les politiques publiques »
Nathalie Pottier, maître de conférences en géographie, Cemotev, UVSQ, « L’action collaborative en appui à l’action publique : un défi lancé à la métropole parisienne pour la résilience urbaine et la gestion de crise inondation»
Matthieu Hely, professeur de sociologie, Printemps, UVSQ, « Les entreprises de l’économie sociale et solidaire sont-elles des entreprises ‘comme les autres’ ? Retour sur la loi relative à l’économie sociale et solidaire de 2014 et sa mise en œuvre »

Repas


14h15 à 15h30 : Table ronde « L’évaluation, le rôle des chiffres et des indicateurs » animée par Patrick Hassenteufel
Patrice Duran, professeur de sociologie, ENS Cachan, « Les limites de l’évaluation participative. L’exemple français »
Charlotte Boisteau, consultante en économie et politique de développement « La gouvernance de l’évaluation »
Jean Cartier-Bresson, professeur de science économique, Cemotev, UVSQ, « L’action collective et la gouvernance par le nombre ou par les nombres »

Pause

15h45 à 17h : Table ronde « Echelles et développement territorial » animée par Dalila Messaoudi, Géographe

André Torre, directeur de recherche en économie, INRA-Agroparistech, UMR SAD-APT, « Les moteurs du développement territorial »
Lilian Loubet, maître de conférences en Aménagement de l’espace et Urbanisme, Université du Havre, UMR IDEES-CIRTAI, « Recompositions des territoires et participation à la décision : l’exemple de la coopération intercommunale »
Maryse Bresson, professeure de sociologie, Printemps, UVSQ, « Les défis de la participation locale face aux recompositions du ‘central’ : l’exemple des politiques sociales territoriales»

17h : Conclusion de la journée
Patrick Hassenteufel, professeur de science politique, Printemps, UVSQ

 

Informations pratiques

Date : 20/04/2017 – 9h-17h30

Lieu : Amphithéâtre Montesquieu

Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines
5 – 7, boulevard d’Alembert
78280 Guyancourt

Inscription libre mais obligatoire  : cliquez ici

 

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