– Comprendre la mobilité urbaine: via un observatoire numérique unique de la mobilité, appréhender les pratiques de la mobilité (loisirs, accès aux services publics, travail…), les impacts positifs et négatifs sur les populations dans le respect de leur diversité (usages et qualité de vie, mobilité choisie ou subie, santé, situations de handicap), le lien entre mobilité et activités professionnelles (mobilité du travail, commerce et livraison, espaces de co-working, télé-travail, … ), les usages multimodaux et les besoins et impacts économiques, énergétiques et environnementaux.

– Permettre une gouvernance agile et coordonnée des moyens et infrastructures de mobilité, permettre la gestion des alertes et des congestions de modes de déplacement, permettre l’information et l’interaction avec les usagers, et enfin la coordination temporelle et spatiale des activités des territoires.

– Permettre une adaptation à moyen et long termes des équipements, infrastructures et services de mobilité offerts aux usagers en fonction de leur spécificité et de l’évolution de leurs besoins et usages. Il s’agira d’interagir dynamiquement avec les citoyens pour des actions de sensibilisation et de formation et pour co-construire, à travers cette intelligence collective (I.C.), de nouveaux services et usages qui seront tout d’abord validés par simulation et retour d’expérimentations.

Les problèmes de recherche inhérents à ces objectifs ne peuvent être abordés que par le prisme de l’interdisciplinarité, en particulier entre Sciences Humaines et Sociales et Sciences informatiques, en particulier dans le contexte de la ville numérique.

(Mise à jour le 15 juillet 2024)

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