juin 2021

Centre international de recherche sur l’environnement et le développement (CIRED)

Centre international de recherche sur l’environnement et le développement (CIRED)

Unité mixte de recherche (UMR) : 8568
Tutelles : CNRS, École des Ponts, AgroParisTech, CIRAD, l’École des hautes études en sciences sociales
Discipline : Économie

Présentation :  Le laboratoire CIRED étudie comment les modes de régulation économique et le monde de la technologie structurant nos activités et notre environnement s’organisent. Les 3 axes de recherches principaux sont  :

  • l’axe « Systèmes et leurs dynamiques – villes, énergie, usage des sols » étudie les conditions du lien qu’il peut y avoir entre environnement et développement de différents secteurs,
  • l’axe « Trajectoires intégrées d’éco-développement » étudie comment des économies, à l’échelle nationale ou globale, concillent enjeux d’environnement et enjeux de développement,
  • l’axe « Conditions de mise en Å“uvre des trajectoires d’éco-développement » se concentre sur les enjeux distributifs et renégociation de contrat social.

Directeur d’unité : Franck LECOCQ, lecocq@centre-cired.fr 
Référente communication : Estelle CARCIOFI, carciofi@centre-cired.fr 

Site internet : http://www.centre-cired.fr

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Centre d’économie de l’ENS Paris-Saclay (CEPS)

Centre d’économie de l’ENS Paris-Saclay (CEPS)

Tutelles : ENS Paris-Saclay, Université Paris-Saclay
Discipline : Économie

Présentation : Le laboratoire CEPS utilise des méthodes avancées en matière de formalisation mathématique et de recours aux données statistiques pour répondre aux grandes questions de l’analyse économique. 

Directeur d’unité : Olivier BOS, olivier.bos@ens-paris-saclay.fr
Gestionnaire : Akiko AZZOPARDI, akiko.azzopardi@ens-paris-saclay.fr

Site internet : https://www.ceps-paris-saclay.fr/

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APPEL À MANIFESTATION D’INTÉRÊT RnMSH – HS3PE-CriSE

Appel à manifestation d’intérêt (AMI) proposé par le Réseau national des MSH dans le cadre du dispositif HS3PE-CriSE- Crises sanitaires et environnementales – Humanités, sciences sociales, santé publique.

Le Réseau national des Maisons des Sciences de l’Homme (RnMSH) lance un appel à manifestation d’intérêt (AMI) dans le cadre de l’accompagnement de la coordination nationale sur les crises sanitaires et environnementales initiée par le CNRS et l’Inserm HS3PE-CriSE.

Voir l’information sur le site internet du RnMSH

La coordination nationale HS3PE-CriSE (Crises sanitaires  et  environnementales – Humanités, sciences sociales, santé publique) vise à faire émerger des initiatives structurantes dans le domaine en SHS et en santé publique autour de la recherche sur la Covid-19 mais aussi sur les thématiques plus larges des crises sanitaires et environnementales, avec pour objectif de favoriser les collaborations intra SHS mais également entre le domaine SHS et les autres sciences.

Périmètre de l’appel à manifestation d’intérêt

Le RnMSH lance un appel à manifestation d’intérêt dont l’objectif est d’apporter un soutien à des projets émergents ou structurants en relation avec les thématiques « crises  sanitaires  et  environnementales« , englobant des recherches allant donc potentiellement au-delà de la crise liée au Covid-19 et incluant éventuellement des disciplines hors SHS.
Le financement apporté par le RnMSH doit permettre d’impulser une dynamique aboutissant, dans la mesure du possible, à une réponse à un AAP de plus grande envergure.

Candidature à l’appel à manifestation d’intérêt : critères d’éligibilité, modalités, calendrier

Porteur

Le projet, porté par un personnel scientifique permanent du domaine des SHS rattaché à une institution publique française, doit être validé par la direction de la MSH du site à laquelle le porteur ou la porteuse du projet est rattaché.e.

Critères privilégiés par le Comité d’évaluation

Seront privilégiés les projets pluri et interdisciplinaires, impliquant des chercheurs rattachés à plusieurs MSH, innovants et/ou structurants d’un point de vue thématique et/ou méthodologique, avec une ouverture internationale. Seront privilégiés également les projets « incubés » au sein des MSH, s’appuyant sur les plateformes et ressources des MSH (dispositifs d’appui et d’accompagnement, plateformes technologiques, d’expertise de données…).

Le projet ne doit pas forcément répondre à l’ensemble des critères mais au minimum à un ou deux de ces éléments.

Enfin, les projets souhaitant postuler doivent s’engager à respecter les principes de la science ouverte (plan de données de la recherche CNRS 2020).

Les porteurs des projets doivent prendre contact dès que possible avec les directions des MSH concernées pour les informer de leur projet et obtenir leur validation pour le dépôt de celui-ci.

Les projets sélectionnés recevront un financement de 18 mois (10/2021 – 03/2023) d’un maximum de 20 000€.
Les dépenses financées ne peuvent concerner que des missions, du fonctionnement, de l’équipement et des prestations de services/CDD courts en lien avec le projet. Aucune indemnisation de stagiaire de Master ne pourra être financée. Aucun frais de gestion ne pourra être prélevé.

Calendrier

Lundi 7 juin : lancement de l’AMI.
Lundi 9 juillet à minuit : date limite de dépôt des projets avec validation de la MSH, via la signature du formulaire de dépôt de soumission (cf le texte de l’appel disponible au télechargement).
13 juillet : retour aux porteuses et porteurs.
Octobre 2021 : transfert des moyens financiers.

Appel complet & formulaire de soumission

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Appel à contributions – terrains & travaux

Les sciences sociales de la sexualité :
classement, socialisation, politisation

Appel à contributions pour dossier thématique
Date de clôture : 1er octobre 2021

Depuis la fin des années 1990, le développement des travaux en sciences sociales sur la sexualité dans l’espace francophone s’est accéléré, comme en témoigne la parution régulière de numéros de revue sur le sujet(1) — sans commune mesure néanmoins avec ce qu’il se passe outre-Atlantique, où l’institutionnalisation des « sexualities studies Â» demeure bien plus importante. En 2001, terrains & travaux consacrait ainsi son deuxième numéro aux « Sexualités déviantes / sexualités militantes Â». Les coordinateurs du numéro notaient que la thématique du numéro s’était « naturellement imposée Â», et que la légitimité de l’enquête en sciences sociales sur la sexualité n’était plus à discuter. Ces dernières années, les travaux en sciences sociales portant sur la sexualité se sont multipliés et le milieu académique leur est de plus en plus favorable, notamment à travers la place croissante faite à cet objet par les laboratoires de sciences sociales, l’augmentation du nombre d’articles, de numéros spéciaux de revues et de livres, mais aussi les nombreuses conférences qui y sont consacrées.

En s’intéressant aux « perversions Â», à l’homosexualité ou à la prostitution, les recherches sur la sexualité ont très tôt placé les normes et les déviances au cÅ“ur de leurs questionnements. Peu à peu – notamment en raison d’impératifs de santé publique nécessitant de mieux connaître les comportements sexuels – ces études se sont institutionnalisées, et ont progressivement intégré une perspective de genre. Ce contexte d’émergence des travaux sur la sexualité façonne la manière dont elle est appréhendée. C’est en effet bien plus récemment que des pratiques « ordinaires Â» (par exemple l’hétérosexualité) ont été reconnues comme des objets scientifiques légitimes et saisis par des méthodes qualitatives et ethnographiques. De nouvelles perspectives de recherche sont apparues, portant par exemple sur le désir et le plaisir, en particulier des femmes, ou encore sur les modalités de la sexualité « en ligne Â». Pour le dire autrement, la recherche ne s’intéresse plus uniquement aux « risques Â» de la sexualité.

Étudier la sexualité en sciences sociales passe aujourd’hui par le terrain, bien loin d’un ensemble de recherches – par exemple certains travaux sur la prostitution ou la pornographie – qui s’en abstenaient sous des prétextes de scientificité et veillaient bien plus à moraliser qu’à observer.

L’objectif de ce dossier thématique de terrains & travaux est de réunir des articles permettant de rendre compte des développements actuels du champ. Il s’agit de montrer comment les sciences sociales se saisissent de la sexualité et de quelles manières elles contribuent au développement du savoir sur les sexualités, mais aussi ce que les travaux sur la sexualité font aux sciences sociales – en d’autres termes : de quelles manières les travaux sur la sexualité réinterrogent-ils des concepts, des raisonnements et des sujets phares de ces disciplines ?

Le numéro réunira des articles empiriques de sciences sociales s’appuyant sur des méthodes tant quantitatives que qualitatives, sans limitation d’aires géographiques ou de périodes historiques. Les articles proposés devront s’inscrire dans au moins l’un des trois axes suivants :

  • Classement

Ce premier axe vise à interroger les classements scientifiques, professionnels, militants ou profanes dont la sexualité fait l’objet. Si au XIXe siècle les « perversions Â» sexuelles, par exemple, ont fait l’objet de classements médicaux qui, pour certains, perdurent, à l’époque contemporaine prolifèrent sur la sexualité des discours et des catégories parfois contradictoires. Les articles pourront s’intéresser, sans restriction, aux orientations, identités, émotions, représentations ou pratiques sexuelles, tant celles considérées comme ordinaires, voire « banales Â» que celles qui sont minoritaires et parfois qualifiées de « déviantes Â». Il s’agit d’examiner comment les catégories portant sur la sexualité circulent entre les différents espaces sociaux et nationaux, ainsi que les rapports de pouvoir – en particulier, mais pas uniquement, de genre – qui président à ces circulations. Quelles sont les logiques et les limites de ces classements ? Comment expliquer leur succès plus ou moins important ? Comment rendre compte de l’émergence de nouvelles catégories sexuelles (asexualité, polyamour, etc.) ? Comment se fait le passage de la description d’une pratique sexuelle à sa catégorisation scientifique (construction des notions de « première fois Â», de « violence sexuelle Â», etc.) ?

  • Socialisation 

L’apport des sciences sociales aux études sur la sexualité inclut la compréhension de la manière dont sont transmises les normes, les valeurs, les représentations et les pratiques qui l’entourent. Cela s’accompagne d’une mise en évidence des instances de socialisation avec lesquelles les individus interagissent et qui sont donc susceptibles de transmettre des dispositions et des capitaux (l’école, la famille, les pairs, les médias, les partenaires, etc.). Qui sont les personnes, les groupes et les sources qui permettent de comprendre ce qui est autorisé, ce qui est interdit ou ce qui procure du plaisir ? Quelle est la place du corps dans ces processus, et quelles modalités concrètes d’incorporation donnent-ils à voir ? Comment se sont-ils modifiés dans le temps ? Et quelles variations peut-on mettre en évidence d’une aire géographique à l’autre ? Il serait intéressant alors de se focaliser sur les temps et les occasions de socialisation et, plus généralement, sur les conditions de socialisation et sur la manière dont est contrôlée l’acquisition de dispositions, en examinant notamment les différentes instances de socialisation (primaire ou secondaire) et les moments de socialisation à la sexualité, qu’ils soient formels ou informels, en face à-face ou en ligne. Une attention toute particulière pourra être portée au genre de la socialisation à la sexualité, mais également aux socialisations secondaires, notamment à l’âge adulte (par exemple après une rupture), ainsi qu’à leurs agents (partenaires, pairs ou encore produits culturels, comme la pornographie).

  • Politisation

Depuis les années 1970, la contestation, notamment politique, des normes en matière de sexualité (par certaines militantes féministes, les gays, les lesbiennes, les personnes trans, les personnes handicapées, etc.) est un fait marquant de l’histoire de la sexualité. Elle s’est traduite par des changements juridiques, mais aussi des évolutions dans les attitudes et les valeurs en matière de sexualité, qui coïncident avec le développement des travaux en sciences sociales sur la sexualité. Comment les luttes liées à la sexualité s’articulent-elles avec – ou accompagnent-elles – le développement des recherches menées en sciences sociales sur la sexualité ? De quelles manières la recherche, en dénaturalisant la sexualité et le genre et en dévoilant les normes qui l’entourent, a-t-elle contribué et contribue-t-elle encore aux mobilisations politiques autour de la sexualité ? Quelle est la portée des luttes pour les droits sexuels et pour les droits des « minorités sexuelles Â» ? Qui sont les acteurs/actrices de ces luttes ? Comment en décrire les dynamiques et stratégies politiques ? Peuvent-elles être conçues dans le strict cadre de la sexualité ou ont-elles forcément des portées politiques plus générales ?


Les contributions s’appuieront sur des enquêtes empiriques soigneusement documentées, précisant les terrains investigués et les méthodes adoptées (archives, documents, entretiens, observations ethnographiques, questionnaires…). Les articles, de 50 000 signes maximum (espaces, notes et bibliographie compris), accompagnés d’un résumé de 150 mots et de 5 mots-clés en français et en anglais, devront parvenir sous forme électronique (format Word, cf. indications ci-dessous pour la mise en forme des textes) aux coordinateur·trice·s du numéro avant le 1er octobre 2021 aux adresses suivantes :

  • Pierre Brasseur : brasseurph [at] gmail.com
  • Milena JakÅ¡ić : milenajaksi [at] gmail.com
  • Cécile Thomé : thome.cecile [at] gmail.com

Les consignes relatives à la mise en forme des manuscrits sont consultables sur le site de la revue : http://tt.hypotheses.org/consignes-aux-contributeurs/mise-en-forme

terrains & travaux accueille par ailleurs des articles hors dossier thématique (50 000 signes maximum), qui doivent être envoyés à :

  • Vincent-Arnaud Chappe : vincent-arnaud.chappe [at] ehess.fr
  • Élise Palomares : elise.palomares [at] univ-rouen.fr
  • Milena JakÅ¡ić : milenajaksic [at]gmail.com

Pour plus de détails, merci de consulter le site de la revue : http://tt.hypotheses.org


(1) Outre un numéro de terrains & travaux (« Sexualités déviantes / sexualités militantes », n° 2, 2001/1), on peut citer, de façon non exhaustive et au cours des vingt dernières années, différents numéros de revues consacrés à des aspects variés de la thématique : Actes de la recherche en sciences sociales (« Sur la sexualité », vol. 128, 1999) ; Ethnologie française (« Sexualités négociées », vol. 43, 2013/3) ; Clio. Femmes, Genre, Histoire (« ProstituéEs », n° 17, 2003 ; « Utopies sexuelles », n° 22, 2005 ; « Érotiques », n° 31, 2010 ; « Âge et sexualité », n° 42, 2015) ; Nouvelles questions féministes (« La sexualité des femmes : le plaisir contraint », vol. 29, n° 3, 2010 ; « Morales sexuelles », vol. 35, n° 1, 2016), Politix (« Politiques sexuelles », n° 107, 2014/3) ou encore, plus récemment, la Revue française de socio-économie (« Les économies de la sexualité », n° 25, 2020). La création en 2009 de la revue interdisciplinaire Genre, sexualité & société témoigne également de la vivacité de ce champ.

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Résultats des Appels à projets MSH Paris-Saclay 2021 Vague 1 & 2

Nous avons le plaisir de vous communiquer les résultats des appels à projets lauréats des vagues 1 et 2 de la MSH Paris-Saclay.

Calendrier 2021 des appels à projets de la MSH Paris-Saclay

Vague 1

Projets Maturation :

  • « DEF19 2.0 (Dictionnaire des éditeurs français du 19eme siècle) » porté par Jean Charles Geslot (CHCSC, UVSQ), Norbert verdier (EST, Université Paris-Saclay, Centre d’Alembert) et Robolledo Dhuin Viera (CRHEC, UPEC)
  • « Chaire de design d’expérience  « soignants ».Cré ation de la chaire et lancement du premier programme » porté par Géraldine Hatchue (Agro ParisTech, Université Paris-Saclay), Gilbert Giacomoni et Jessica Séné

Projets Émergence :

  • « Développement des achats alimentaires en ligne en France : conséquences nutritionnelles et impact environnemental » porté par France Caillavet (DYPAC) et Jean-François Huneau (AgroParisTech, INRAE, Université Paris-Saclay)

Workshop :

  • « Healthcare, social sciences, and « philosophy in practice » » porté par Marta Spranzi (Equipe R2E, CESP, Inserm), Marie Gaille (Laboratoire « Sphère »), Catherine Dekeuwer (MCU, Université Lyon 3), Léo Coutellec (CESP, INSERM, Université Paris-Saclay), Bruno Falissard (INSERM, Université Paris-Saclay)
  • « L’État et le rail : Les transports ferroviaires au prisme de la puissance publique » porté par Marnix Dressen-Vagne (Printemps, UVSQ) et Jean Finez (Pacte, Université Grenoble Alpes)
  • « Séminaires de l’Ecopolien (Groupe universitaire de recherche en écologie politique francilien) » porté par Steve Hagimont (Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines) et Jeanne Gherardi-Scao (Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, UVSQ, Université Paris-Saclay)
  • « Journée d’études : L’écriture inclusive : usages, débats et mobilisations » porté par Marie Loison-Lerustre et Olivia Samuel (Printemps, UVSQ), Gwanelle Perrier (IDPS, UVSQ), François Theron
  • « Entrailles, tripes et boyaux, le ventre dans tous ses états. Antiquité, Moyen Âge, Époque Moderne » porté par Evelyne Samama (DYPAC, UVSQ), Franck Collard (Mémo, Université Paris-Nanterre)
  • « Les formes de règlementation des métiers, 4e journée d’études internationales – Les inscriptions spatiales de la règlementation des métiers (Moyen Âge et époque moderne) » porté par Catherine Kikuchi (DYPAC, UVSQ), François Rivière (IDHES, ENS Paris-Saclay)

Édition traduction :

  • Traduction du français vers l’anglais d’un article publié dans la revue Flux en 2020.
    « Conversion écologique vs dépendance automobile. Une analyse des dissonances entre attitudes environnementales et usages de l’automobile auprès de ménages populaires en zone périurbaine et rurale »
    porté par Yoann Demoli (Printemps, UVSQ)
  • « Utopia 89 Â» « Die Straße ist die Tribüne des Volkes » : Ansichten zum 4. November 1989 (La rue est la tribune du peuple : regards sur le 4 novembre 1989) porté par Laure De Verdalle (Printemps, UVSQ), Caroline Moine (Institut Max Planck, Institut Berlin) et Guillaume Mouralis (Centre Marc Bloch, CNRS)
  • « Robert Salais et l’Économie des conventions : un engagement réflexif » porté par Christian Bessy (IDHES, ENS Paris-Saclay) et Claude Didry (CMH)

Vague 2

Workshop :

  • « Parcours académiques, expériences sociales et dynamiques auto-réflexives » porté par Cynthia Colmellere et Natacha Chetcuti-Osorovitz (IDHES, ENS Paris-Saclay)
  • « Les nouveaux développements de la propriété intellectuelle » porté par Christian Bessy (IDHES, ENS Paris-Saclay) et Armelle Maze (SADAPT, AgroParisTech, Université Paris-Saclay)
  • « Héritages et usages de Rawls. Théorie de la justice 50 ans après. » porté par Rima Hawi (Cemotev, UVSQ) et Ophélie Desmons (Sciences, normes, démocratie, INSPE Paris)

Séminaire :

  • « Médias et médiations de la gastronomie (XVIIe -XXIe siècles) » porté par Coline Arnaud, Françoise Hache Bisette et Denis Saillard (CHCSC/UVSQ), Faustine Régnier (ALISS, INRAE, Université Paris-Saclay)

Traduction :

  • Le langage non sexiste est politique, une spécificité française ? porté par Marie Loison (Printemps, UVSQ), Gwenaëlle Perrier (LISE, Conservatoire national des arts et métiers)
  • Histoire, historicité, ontologies porté par Grégory Quenet (CHCSC, UVSQ)

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Actes n° 6 – Contribution de Coline Cardi

Le gouvernement de la maternité en prison. Le cas des quartiers mères-enfants

Par Coline Cardi

Dans Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques, p. 105-120.

DOI : https://doi.org/10.52983/GIDD5376


Version numérique :


Référence de l’article :

CARDI Coline, 2020. « Le gouvernement de la maternité en prison. Le cas des quartiers mères-enfants », in Natacha Chetcuti-Osorovitz & Patricia Paperman (dir.), Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques. Séminaire (ENS Paris-Saclay, du 16 octobre 2017 au 14 mai 2018), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 105-120. Mis en ligne le 24/11/2020. DOI : https://doi.org/10.52983/GIDD5376

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Actes n° 6 – Contribution de Camille Lancelevée

Hommes dangereux, femmes vulnérables ? Stéréotypes de genre et santé mentale en milieu carcéral

Par Camille Lancelevée

Dans Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques, p. 85-103.

DOI : https://doi.org/10.52983/TXPY1305


Version numérique :


Référence de l’article :

LANCELEVÉE Camille, 2020. « Hommes dangereux, femmes vulnérables ? Stéréotypes de genre et santé mentale en milieu carcéral », in Natacha Chetcuti-Osorovitz & Patricia Paperman (dir.), Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques. Séminaire (ENS Paris-Saclay, du 16 octobre 2017 au 14 mai 2018), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 85-103. Mis en ligne le 24/11/2020. DOI : https://doi.org/10.52983/TXPY1305

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Actes n° 6 – Contribution de Myriam Joël

Les femmes impliquées dans des violences sexuelles sur mineur·e·s : un terrain hors-norme, indicible et troublant

Par Myriam Joël

Dans Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques, p. 67-83.

DOI : https://doi.org/10.52983/HSAH7158


Version numérique :


Référence de l’article :

JOËL Myriam, 2020. « Les femmes impliquées dans des violences sexuelles sur mineur·e·s : un terrain hors-norme, indicible et troublant », in Natacha Chetcuti-Osorovitz & Patricia Paperman (dir.), Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques. Séminaire (ENS Paris-Saclay, du 16 octobre 2017 au 14 mai 2018), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 67-83. Mis en ligne le 24/11/2020. DOI : https://doi.org/10.52983/HSAH7158

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Actes n° 6 – Contribution de Philippe Artières

Les biftons. L’incroyable corpus des prisonnières

Par Philippe Artières

Dans Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques, p. 49-65.

DOI : https://doi.org/10.52983/TQZA6278


Version numérique :


Référence de l’article :

ARTIÈRES Philippe, 2020. « Les biftons. L’incroyable corpus des prisonnières », in Natacha Chetcuti-Osorovitz & Patricia Paperman (dir.), Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques. Séminaire (ENS Paris-Saclay, du 16 octobre 2017 au 14 mai 2018), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 49-65. Mis en ligne le 24/11/2020. DOI : https://doi.org/10.52983/TQZA6278

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