Appel à communication

Appel à Communication Revue L’Homme & et la Société « Présence de Mai 68 » – 31/05/2018

Nouvel appel à communications

La revue L’Homme et la Société prépare un numéro spécial international sur Mai 68, regroupant des textes toutes disciplines confondues.

Il ne s’agira pas de se retourner vers le passé avec nostalgie, mais au contraire de montrer comment cet événement a informé les cinquante années qui ont suivi. Les contributions devront être compatibles avec la ligne éditoriale de la revue, à savoir un parti-pris théorique rigoureusement anti naturaliste et un projet politique d’auto-émancipation récusant la logique paternaliste de l’émancipation.

Consulter le texte complet de l’appel : http://calenda.org/433620

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Appel à communications « Question(s) de méthode – La pluralité méthodologique dans les sciences sociales de l’Asie du Sud » – 9/04/2018

Dans le cadre du workshop qui se déroulera à l’ENS Paris-Saclay le 28 mai prochain, un appel à communications est lancé :

 

Question(s) de méthode – La pluralité méthodologique dans les sciences sociales de l’Asie du Sud

Ce workshop est consacré à la réflexivité des méthodes employées dans l’étude des sociétés sud-asiatiques. Nous appelons les jeunes chercheurs en sciences sociales engagés
dans des terrains en Asie du Sud à questionner la pertinence des méthodologies employées dans leurs recherches. Les interventions auront pour objet d’interroger avant tout la
spécificité des méthodes mobilisées par rapport à leur appartenance disciplinaire, de tester l’intérêt des approches mixtes et d’examiner les apports et les limites de méthodes
innovantes, comme celles apportées par le « Big Data ». Si ces questions sont régulièrement discutées au sein des sciences sociales, elles sont rarement directement associées à une
zone géographique en particulier, qui fait pourtant émerger des difficultés propres dans la collecte et le traitement des données, et qui seront abordées au cours de cette journée. Ce
workshop sera organisé par la Maison des Sciences de l’Homme Paris-Saclay en collaboration avec le GREThA et s’inscrit dans les réunions annuelles de l’Association
Jeunes Études Indiennes (AJEI).

Consulter le texte complet de l’appel : AJEI – MSH Paris Saclay workshop FINAL

Calendrier :
– 9 Avril 2018 : date limite de soumission du titre et du résumé de la communication
(3000 signes maximum, espaces compris)
– 23 Avril  : retour des organisateurs
– 14 Mai 2018 : date limite de l’envoi de la communication rédigée

Toutes les soumissions sont à envoyer à : ateliers.ajei@gmail.com

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Appel à contribution « Déployer les études de genre en économie politique ? » – 16/05/2018

La Revue de la régulation. Capitalisme, institutions, pouvoirs, créée à l’initiative de l’association Recherche & Régulation, est soutenue par la Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord, par l’Institut des Sciences humaines et sociales du CNRS, ainsi qu’un réseau de centres de recherche.  Elle vise à fournir un lieu d’expression pour les analyses qui s’inscrivent dans la filiation des recherches régulationnistes, et plus largement institutionnalistes, ainsi que pour les chercheurs qui souhaitent en débattre, en économie et au-delà. Elle a pour vocation d’alimenter une discussion large avec les autres sciences sociales : sociologie économique, histoire, sciences politiques, gestion etc.

Appel à contribution de la Revue de la régulation. Capitalisme, Institutions, Pouvoirs

La Revue de la Régulation souhaite stimuler de nouvelles réflexions sur l’apport de la notion de genre en économie politique. Les contributions pourront s’inscrire dans les 4 axes suivants.

1-Investiguer au prisme du genre de nouveaux champs de la discipline économique

2- Proposer de nouveaux regards sur des champs ayant déjà et souvent donné lieu à publications

3-Contribuer aux développements de l’économie politique et des approches hétérodoxes, en particulier régulationnistes, à partir de la notion de genre

4-Last but not least, étudier la fabrique (genrée) des économistes et de leur attention (ou non) aux études de genre

 

Consulter le texte complet de l’appel : http://journals.openedition.org/regulation/12343

 

Contact :

Cécile Lefèvre, Cerlis, Université Paris Descartes et Ined, cecile.lefevre@parisdescartes.fr

Thomas Lamarche, Ladyss, Université Paris Diderot thomas.lamarche@univ-paris-diderot.fr

 

Soumissions :

Les personnes intéressées devront envoyer un résumé (entre 1 000 et 2 000 mots) + principales références bibliographiques pour le 16 mai 2018 aux adresses suivantes cecile.lefevre@parisdescartes.fr thomas.lamarche@univ-paris-diderot.fr Regulation@revues.org.

Les résumés retenus par le comité de rédaction donneront lieu à des articles qui pourront être rédigés en français ou en anglais et ne devront pas dépasser 10 000 mots/60 000 caractères.

Ils devront être remis au plus tard le 31 août 2018.

Les normes de publication sont consultables sur le site de la revue.

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Appels à communications « La défaillance d’entreprise : vers une approche multidimensionnelle » – 15/04/2018

La défaillance d’entreprise : vers une approche multidimensionnelle – 15 juin 2018 à la MRSH (Caen)

(…) Au-delà des causes (pour quelles raisons certaines entreprises échouent-elles et d’autres non ?) ou encore des conséquences (quelles sont les conséquences que peut avoir l’échec de l’entreprise sur les entrepreneurs ?), toutes les contributions à dimension empirique ou théorique, quantitatives ou qualitatives, sur le thème de la défaillance des entreprises (petites, moyennes ou grandes) et des entrepreneurs peuvent être proposées telles que celles liées aux thèmes suivants (liste non-exhaustive) :

• Identification des déterminants de la faillite/des difficultés des entreprises,
• Défaillance et structure financière,
• Relation entre gestion (gouvernance, gestion des ressources humaines, …) et défaillance,
• Survie et accompagnement,
• Mécanismes et instruments de prévention des difficultés des entreprises,
• Transmission d’entreprise et défaillance,
• Coûts et conséquences de la défaillance,
• Politiques de ressources humaines et risque d’entreprise,
• Relation entre les caractéristiques du dirigeant et la défaillance des PME,
• études de cas de faillite (points de vue économique et/ou juridique),
• Souffrance de l’entrepreneur en situation de liquidation.

Calendrier :

  • 15 avril 2018 : envoi des propositions de communication sous la forme d’un résumé (rédigés en français ou en anglais) d’environ 500 mots accompagné de trois à cinq mots clés et de(s) code(s) JEL à l’adresse électronique suivante : nabil.khelil@unicaen.fr en copie à xavier.bredart@umons.ac.be
  • 15 mai 2018 : décision d’acceptation ou de refus.
  • 01 juin 2018 : date limite des inscriptions

Plus d’informations : https://businfailure.sciencesconf.org/

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Appel à communication / Revue Terrains & Travaux « Le gouvernement urbain des corps » – 2/10/2017

Le gouvernement urbain des corps : action publique locale de santé et conduites corporelles

Appel à contributions pour dossier thématique
Date de clôture de l’appel : 2 octobre 2017


Télécharger l’appel au format PDF

Traditionnellement dévolue à l’État, l’action publique de santé n’échappe pas aux processus de territorialisation et de pluralisation. Le gouvernement des corps qu’elle vise et qu’elle produit convoque ainsi une pluralité d’acteurs qui opèrent sur diverses scènes locales (hôpitaux, écoles, associations et équipements sportifs, espace public, logements, prisons, zones de rétention, etc.) Les modalités de production de ce gouvernement public des corps, qui va des actions de prévention à des formes plus contraignantes de surveillance ou de contrôle, se trouvent alors transformées par les processus de décentralisation et de déconcentration de l’action publique, en matière sanitaire et sociale notamment.

Ce dossier de terrains & travaux entend interroger les effets de ces changements d’échelles de l’action publique, en analysant ce que l’échelle urbaine produit sur le gouvernement des corps. Observe-t-on un renforcement du contrôle de certains destinataires de l’action publique ou, au contraire, un relâchement de ce dernier ? Ces interventions locales s’appuient-elles sur de nouvelles techniques de gestion des conduites corporelles ? Comment sont-elles perçues et reçues par les populations concernées ? Font-elles naître de nouvelles formes de résistances ou des modes d’appropriation inédits de la part de ces populations ? Reposant sur des données empiriques issues d’enquêtes de terrain, les propositions pourront porter sur 3 axes principaux de questionnement relatifs à la définition, à la mise en œuvre et aux effets de cette action publique.

1. Secteurs et champs d’intervention
Qu’elle se déploie à l’échelle des « quartiers prioritaires » des villes ou gagne progressivement l’ensemble du territoire des métropoles, l’action publique de santé contribue activement au gouvernement urbain des corps. Nombreuses sont les villes qui se dotent ainsi d’ambitieux programmes d’éducation à la santé, de plans volontaristes de lutte contre les addictions ou la sédentarité, d’actions de sensibilisation à la qualité nutritionnelle ou bien encore de schémas de développement des mobilités et des usages physiques d’un espace public désormais pensé comme « convivial », « partagé », « interactif » ou « participatif ». Il s’agira donc ici de s’interroger sur les recompositions que connaissent, au niveau local, les domaines d’intervention publique qui contribuent au gouvernement urbain des corps. Quels sont les secteurs investis et les champs d’intervention privilégiés ? Comment s’articulent les niveaux d’intervention, devenus plus nombreux et potentiellement concurrents ? Les textes proposés pourront notamment analyser comment, entre négociations d’échelles, jeux de domination et défenses des prés carrés, les luttes institutionnelles visent à faire advenir la « bonne » échelle locale de coordination et de régulation des conduites corporelles visées.

2. Acteurs, normes et dispositifs
Bien que diversement dotés en ressources, tous les acteurs intéressés au gouvernement urbain des corps (élus et agents des villes et des métropoles, représentants des autres niveaux de gouvernement local, opérateurs des agences régionales de santé, des services déconcentrés de l’État, établissements et professionnels de santé, responsables, militants et adhérents associatifs des secteurs sanitaire, social, éducatif ou sportif, coordonnateurs de réseaux de santé, mutuelles, habitants eux-mêmes, etc.) entendent y prendre part et faire ainsi valoir leur propre représentation du problème public considéré. Le développement de ces actions à l’échelle urbaine fait ainsi, dans certains cas, apparaître des concurrences nouvelles entre acteurs ayant des conceptions différentes des dispositifs, instruments et procédures à déployer, mais aussi des « publics prioritaires » à « cibler ». Alors que la pluralité des institutions et organisations mobilisées peut poser des problèmes de coordination, ces dispositifs (ateliers santé ville, contrats locaux de santé, plans locaux de santé, centres de santé, forums citoyens, manifestations et concertations publiques en santé, etc.) constituent le point de rencontre entre des professionnels appartenant à des segments et des mondes sociaux différents, mondes correspondant à autant de discours et de pratiques spécifiques. Pourquoi et comment s’expriment ces préférences ? Quels sont les dispositifs ou techniques utilisés ? Comment se diffusent les nouvelles normes et conduites ainsi promues ? Quelles sont les professions impactées par le développement de nouveaux référentiels d’action publique ? Quels registres de justification ces différents acteurs mettent-ils en avant ?

3. Publics et effets
Ces interventions s’adressent donc à divers publics que cible l’action publique et sur lesquels les contributions sont également invitées à mettre l’accent. Elles pourront ainsi s’attacher à mettre en évidence les processus d’appropriation, de détournement ou d’évitement de l’imposition des normes du gouvernement urbain des corps observés chez les publics prioritairement visés. Dans quelle mesure, en particulier, ces derniers cherchent-ils à résister à l’action publique ainsi instituée et parviennent-ils à le faire ? En tenant compte des objectifs visés, des dispositifs mis en œuvre et des réactions des populations concernées, les propositions pourront enfin analyser dans quelle mesure, dans un contexte bien souvent contraint budgétairement, cette action publique locale contribue à réduire, à renforcer ou à déplacer les inégalités sociales et territoriales en matière de santé, d’accès aux soins et, plus généralement, de qualité de vie et de bien-être. Les propositions peuvent intégrer les acquis de la sociologie, de la science politique, de l’anthropologie, de la géographie et de l’histoire, en s’intéressant à la situation contemporaine ou en privilégiant la longue période. Les terrains investis peuvent porter sur le cas français, ou le dépasser pour prendre en considération des contextes étrangers, et engager des analyses internationales comparées. La revue accueille également des notes critiques s’inscrivant dans le thème du dossier.

Les articles, de 50 000 signes maximum (espaces, notes et bibliographie compris) et les notes critiques, de 30 000 signes maximum, doivent être accompagnés de 5 mots-clés et d’un résumé de 150 mots (en français et en anglais), ainsi que d’un titre en anglais. Ils devront parvenir sous forme électronique aux coordinateurs du dossier avant le 2 octobre 2017 aux adresses suivantes :

  • Marina Honta : marina.honta[at]u-bordeaux.fr
  • Jean-Charles Basson : jean-charles.basson[at]univ-tlse3.fr
  • Milena Jaksic : milenajaksic[at]gmail.com
  • Olivier Le Noé : olivier.le_noe[at]u-paris10.fr

Les consignes relatives à la mise en forme des manuscrits sont consultables sur le site de la revue :
http://tt.hypotheses.org/consignes-aux-contributeurs/mise-en-forme

terrains & travaux accueille par ailleurs des articles hors dossier thématique (50 000 signes maximum), qui doivent être envoyés à :

  • Hovig Ter Minassian : hovig.terminassian[at]univ-tours.fr
  • Vinciane Zabban : vinciane.zabban[at]gmail.com

Pour plus de détails, merci de consulter le site de la revue : http://tt.hypotheses.org

Appel à communication / Revue Terrains & Travaux « Le gouvernement urbain des corps » – 2/10/2017 Lire la suite »

Appel à communication : Colloque international « Musique et sorties de guerres (XIXe-XXIe siècles) » – Montréal – 24/11/2017

Un appel à communication est lancé dans le cadre du prochain Colloque international « Musique et sorties de guerres (XIXe-XXIe siècles) » qui se tiendra à l’Université de Montréal du 18 au 20 octobre 2018.

Cet événement est organisé et soutenu par : Université de Montréal, Université Paris-Saclay (Université d’Évry-Val d’Essonne, Université de Versailles-SaintQuentin-en-Yvelines), Royal Northern College of Music, Institut de Recherche en Musicologie.

La signature d’un traité de paix ne coïncide pas nécessairement avec la fin de la guerre. Telle est l’hypothèse qui gouverne la notion de « sortie de guerre » développée par les historiens depuis le début des années 2000. À rebours de l’histoire diplomatique traditionnelle, les travaux sur les sorties de guerre interrogent le retour à la paix dans une perspective dynamique, en tant que processus complexe superposant différentes temporalités. Les traces des conflictualités, qui continuent d’agir sur les sociétés une fois la paix signée, sont envisagées sous quatre angles:
1) la réouverture des frontières et du retour des soldats, prisonniers et exilés;
2) la recomposition de l’image de l’ennemi;
3) la mémoire des conflits;
4) la « démobilisation culturelle ».

 

Cette dernière notion permet de mettre en évidence les différents rythmes de la sortie de guerre, de l’apaisement des violences physiques et symboliques à la poussée de l’idéal pacifiste en passant par la réhabilitation de l’ennemi et du deuil.
Si l’art est parfois interrogé dans ces travaux, la musique en est absente. Or, la transition entre guerre et paix peut également être observée à travers les restructurations du monde musical et la production d’œuvres. La création, les pratiques et les sociabilités musicales, la consécration de nouveaux répertoires ou la reprise d’œuvres symboliques ont pu faciliter les processus de démobilisation culturelle ou, au contraire,  les freiner. Le colloque « Musique et sorties de guerres » propose de combler ce vide historiographique.

Tous les sorties de conflits froids ou chauds, internationaux et civils, qui ont scandé l’actualité pourront donc être abordés, ainsi que tout type de musique (musique savante, populaire, folklorique, etc.). Une attention particulière sera portée aux études s’appuyant sur des œuvres musicales spécifiques.

Télécharger le texte complet de l’appel : appel-a-communication-musique-et-sorties-de-guerres

 

Modalités :

Les propositions de communication (300 mots maximum), ainsi qu’un résumé abrégé (150 mots maximum) et une présentation de l’auteur(e) (150 mots maximum), doivent être soumis électroniquement avant le 24 novembre 2017 en utilisant le formulaire en ligne disponible à l’adresse suivante:

https://goo.gl/forms/KsQ0zxH1Jj5ak6Yd2

Les langues de ce colloque sont le français et l’anglais.

Dans le cadre de ce colloque, un workshop « Musique et sorties de guerres à l’époque contemporaine : art, propagande et diplomatie » aura lieu le 12 janvier prochain à la MSH Paris-Saclay.

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Appel à communications – Colloque CIST « Représenter les territoires » – 31/08/2017

4ème colloque international du Collège international des sciences du territoire ( CIST )

Représenter les territoires
22 & 23 mars 2018

 

Après trois colloques qui ont successivement cherché à fonder les sciences du territoire, à en dépasser les fronts et frontières, notamment en termes de collaborations interdisciplinaires, et enfin à explorer la demande sociale territoriale, le 4e colloque du CIST vise à mobiliser les sciences territoriales pour aborder la question des représentations. L’objectif du colloque, organisé en 17 sessions, est de se saisir de cette approche des territoires par les représentations et de déterminer ce qu’elle apporte à l’analyse des territoires, d’un point de vue théorique, méthodologique et empirique.

Dates importantes

  • Date limite de soumission des propositions de communication : 31 août 2017, exclusivement via le site internet du colloque cist2018.sciencesconf.org [ATTENTION : cette date limite ne sera pas repoussée]
  • Réponse du comité scientifique aux auteur.e.s : fin octobre 2017.
Contact :
Marion Gentilhomme
Consultez le texte complet de l’appel

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Appel à communication – Colloque « La créativité des territoires » – 5-6/11/2017

Le Colloque international interdisciplinaire  est organisé par l’Université Ferhat Abbas Sétif 1 (UFAS1), en partenariat avec le CHCSC (UVSQ Paris-Saclay) et l’Institut Charles Cros, France.

Il est placé sous le Haut patronage du Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Scientifique de l’Algérie.

Principes et questionnements

Si l’on admet que le développement territorial durable permet la production de richesses nouvelles, le développement des ressources locales et la préservation de l’environnement à l’attention des générations futures, l’humain, dans son travail, son comportement, ses jeux, ses récits fondateurs et les dimensions multiples de ses besoins, demeure au cœur de la transmission des compétences. Les sciences humaines et sociales sont au cœur de ces dimensions d’apprentissage : l’être humain explore grâce à leurs apports, la diversité et les potentialités des territoires qu’il traverse et où il vit. En effet, un paysage porte l’empreinte de savoirs culturels et techniques séculaires en amont des avancées technologiques récentes. Ces avancées restent dans les formations supérieures longues, trop souvent enseignées sans pensée de l’environnement ni perspective globale de la collectivité. Pourtant, la connaissance du terrain est indispensable aux études relatives à la gouvernance et à la gestion territoriale, dans une relation étroite à la géographie, à l’histoire, mais aussi à la culture de ses habitants et à l’imaginaire social porté par eux.

La tripartition des études supérieures en Licence /Master & Doctorat permet aujourd’hui d’offrir une véritable lisibilité des formations et occasionne, de ce fait, des coopérations scientifiques internationales fructueuses. Toutefois, le système LMD est confronté à la diversité territoriale, dans un contexte de restructuration des opérateurs économiques, qui peuvent se délocaliser très rapidement. Cette situation inédite conduit pour exemple au Maghreb, à un chômage élevé des cadres, dans une situation paradoxale qui crée de la défiance politique et peut fracasser, à terme, les structures démocratiques d’enseignement qui œuvrent pour une ouverture sociétale. Pour y pallier, les apprentissages de terrain doivent être développés au même titre que la recherche, dans des modalités épistémologiques et éthiques attentives à l’évolution des métiers. Ces évolutions appropriées doivent s’effectuer dans une relation attentive aux apports des sciences humaines, en écoute du terrain et de la créativité sociale. C’est dans la diversité des territoires que les innovations sont qualifiées dans une logique d’usage prospective, au-delà du court terme des inventions. Les combinaisons les plus réussies de la coopération sont celles où différents acteurs du terrain peuvent susciter et stimuler un « vivre ensemble » de leurs savoirs, leurs savoirs faire et leur créativité.

Au-delà des compétences sectorielles liées à l’innovation, dont l’enseignement supérieur est traditionnellement dépositaire, l’université a donc besoin de comprendre et d’enseigner des savoirs culturels et sociaux et reconsidérer les apports des disciplines connexes (géographie, histoire, sociologie, anthropologie mais aussi littérature et arts) dans leurs multiples expressions de lien (oralités, écritures, images & sons). Les sciences humaines œuvrent en effet en interdiscipline et permettent, dans une relation à la globalité des perceptions humaines, de construire le présent dans une pensée durable.

Ces mutations ont peu été prises en compte dans les enseignements universitaires technologiques, qui doivent à l’avenir, sous peine de conduire les étudiants au chômage, de penser l’humain et le paysage comme des ressources inventives corrélées, dans leurs expressions et la résistance de leurs savoirs de vie. De fait, et particulièrement dans les territoires cloisonnés, tant par leur géographie physique que par leur organisation socio administrative, l’attention doit être accordée aux ressources locales et à la collaboration entre les acteurs. La qualité des expériences, la diversité des savoirs et l’autonomie des formations sont parties liées.

Cette coopération de l’enseignement et du terrain peut permettre un développement autonome conjoint des acteurs économiques ou, dans sa partie impensée, conduire, au contraire, à leur dépendance sociétale. Comment s’exprime-t-elle au niveau d’un territoire donné ? Comment développer une écoute pragmatique de l’environnement, dans son histoire, ses potentialités et ses expériences ? Les études de cas présentées lors de ce colloque s’attacheront particulièrement aux initiatives, qui mettent en valeur des coopérations inventives, dans une relation culturelle de respect, où les universités, les citoyens et les territoires ont un rôle à jouer.

Dans ces dynamiques mutuelles d’apprentissage, la relation fondamentale à l’humain concerne tout aussi bien les acteurs institutionnels que le marché, les producteurs et les usagers. Dans un esprit de dialogue, mais aussi d’anticipation des besoins et des expressions culturelles de la collectivité, l’université doit s’attacher à valoriser des expériences interdisciplinaires et collaboratives qui enrichissent les propositions classiquement raisonnées des « sciences dures ». Le questionnement sur l’évolution du LMD doit inclure, de ce fait, des propositions alliées, prospectives et comparatives, qui valorisent la diversité des territoires et des bassins d’accueil des étudiants.

Au cœur de ces mutations structurelles, les étudiants, confrontés à des offres multiples (ou paradoxalement restreintes), doivent pouvoir, à terme, exercer leurs choix de métiers au travers des passerelles ouvertes vers une société en mouvement. Une société « durable » sollicite les initiatives au-delà des disciplines initiées lors des études spécialisées : elle convoque les compétences de chacun, dans les domaines désormais conjugués de la citoyenneté, de la responsabilité civile et de l’attention à l’environnement. Le développement d’un pays ne repose pas uniquement sur des compétences techniques sectorisées, mais sur des capacités de penser de façon globale les modes de vie du quotidien. La bonne gestion des sociétés exige, au-delà des modélisations nécessaires, des capacités inventives d’écriture et d’imagination par le geste. Cet imaginaire mobilisé par les récits et les savoirs faire, est le socle d’une pensée prospective ancrée sur le réel et ses possibilités. Pour toutes ces raisons, les sciences humaines et sociales sont au cœur du développement territorial, dans un dialogue renouvelé avec les innovations technologiques importées ou locales. Elles mettent en garde contre l’obsolescence des savoirs universitaires purement techniques et évitent ainsi l’isolement ou l’enfermement des étudiants dans des spécialisations trop fixistes. Pour exemple, les formations courtes, de type Institut Universitaire Technologique, à l’écoute des métiers du futur, sont des viviers d’expériences réussies, qui mobilisent ensembles professionnels, créatifs et chercheurs. Mobilisant des « savoirs de frontières », elles participent du « bien commun» de la pédagogie et, de fait, de la recherche.

De fait, les communications attendues lors de ce colloque interpellent les attentes et les mutations de la société civile, dans la diversité des axes historiques des formations. Les communications attendues peuvent puiser dans les expérimentations telles que : écritures créatives, jeux de rôles, théâtre, arts plastiques, sciences cognitives, etc., dans la mesure où ces expériences sont corrélées avec un dialogue interdisciplinaire. Le cadre du LMD a connu des aménagements divers selon les expériences nationales et régionales. Une écoute toute particulière sera accordée aux propositions qui mobilisent des équipes aux observatoires différents, ainsi qu’aux expériences où le monde universitaire est associé à des initiatives alternatives. Ces expériences doivent pouvoir faire évoluer les formations universitaires dans les dimensions d’un développement durable imaginatif, attentif à la créativité des territoires.

 

Les axes privilégiés de ce colloque interdisciplinaire

Axe 1 : l’université et les territoires, expériences et enseignements croisés.

Axe 2 : place et enjeux des sciences humaines dans les formations professionnelles.

Axe 3 : outils innovants et potentialités créatives du développement universitaire.

Axe 4 : aménagement du territoire, environnement et recherche collaborative.

 

Calendrier de l’appel à communications

  • Les propositions de communication (formats Word et PDF, police Geogia, taille 12), accompagnées d’un résumé d’une page (2500 signes) et d’un bref CV, sont à adresser par mail à : sylvie.dallet@uvsq.fr et oussama.kharchi@univ-setif.dz, ainsi que déposées sur le site Internet dédié au colloque http://www.univ-setif.dz/OCS/CTEFD avant le 22 mai 2017.
  • Les réponses aux propositions seront envoyées au plus tard, le 15 juin 2017.
  • Les textes complets des communications retenues doivent être transmis au plus tard le 7 septembre 2017 sur des modalités précisées sur le site internet dédié.

 

Comité d’organisation scientifique international et partenariats

  • Hafid Aourag, Physique (DGRSDT/MESRS, Algérie)
  • Sylvie Brodziak, Lettres et Histoire (Université de Cergy-Pontoise, France)
  • Sylvie Dallet, Arts, Histoire (CHCSC-UVSQ Paris-Saclay et Institut Charles Cros, France)
  • Abdel-Madjid Djenane, Économie (UFAS1, Algérie)
  • Noureddine Ghouali, Automatisme (DGEFS-MESRS, Algérie)
  • Gerhard Gobsch, Mécanique et optique (Université Technologique Ilmenau, Allemagne)
  • Oussama Kharchi, Architecture et Urbanisme (IAST, UFAS1, Algérie)
  • Pina Lalli, Sciences de l’Information et Sciences Politiques (Université de Bologne, Italie)
  • Mohamed El Hadi Latreche, Électronique (Université Constantine 2, CRUEst, Algérie)
  • Yannick Lebtahi, Arts, Sciences de l’Information & de la Communication (U. Lille 3, France)
  • Didier Mulnet, Écologie, Développement Durable  et Éducation (ENSP, U. Clermont-Ferrand, France)
  • Élie Yazbek, Audiovisuel (Université Saint-Joseph de Beyrouth, Liban)

 

Comité d’Organisation (Sétif)

  • Abdelmalek Douibi, Plasturgie (UFAS1)
  • Daoud Harzallah, Biologie (UFAS1)
  • Nadjet Kamel, Informatique (UFAS1)
  • Noureddine Messahel, Économie (UFAS1)
  • Brahim Zaarour, Finances (UFAS1)
  • Benachour Lilia, Informatique (UFAS1)

 

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Appel à sessions – Colloque CIST – 22-23/03/2018

Après trois colloques qui ont successivement cherché à fonder les sciences du territoire (CIST2011), à en dépasser les fronts et frontières (CIST2014), notamment en termes de collaborations interdisciplinaires, et enfin à explorer la demande sociale territoriale (CIST2016), le 4e colloque du CIST vise à mobiliser les sciences territoriales pour aborder la question des représentations. L’objectif du colloque est de se saisir de cette approche des territoires par les représentations et de déterminer ce qu’elle apporte à l’analyse des territoires, d’un point de vue théorique, méthodologique et empirique.

Issues de champs disciplinaires divers, notamment de la psychologie, les analyses portant sur les représentations se sont diffusées dans l’ensemble des sciences humaines et sont abordées dans des acceptions très variées par les géographes, les sociologues, les historiens ou les spécialistes de sciences juridiques et politiques. Tant le concept de territoire que celui de représentation sont donc à même, du fait de leur polysémie, de permettre de croiser différentes thématiques, méthodes et disciplines.

Toutes les formes de « représentations » sont mobilisables dans le cadre de ce colloque : concepts, idées, schèmes, cartes, textes, images fixes ou animées, bases de données, vecteurs multimédias mobilisés dans le cadre de la construction, de l’aménagement et de la transformation des territoires. De même, les sources peuvent puiser dans une large gamme : des enquêtes, des entretiens, des biographies, des témoignages, des documents juridiques, politiques ou culturels, des plans, des programmes, des projets ou des rêves, des productions artistiques, des supports publicitaires, ludiques ou militants, des œuvres canoniques ou bien des traces fugaces sur les réseaux sociaux, etc. L’essentiel sera de pouvoir convoquer un matériau empirique susceptible d’apporter des réponses aux débats scientifiques portant sur la question du rôle des représentations dans la territorialisation des sociétés.

Aussi, les différents termes, présentés ci-dessous, ne doivent pas être entendus comme des cadres stricts pour les propositions de session, mais comme des illustrations des différents sens que l’on pourra donner au thème du colloque, « représenter les territoires ».
– Information territoriale;
– Représentations et pratiques territoriales;
– Cartographie et géomatique;
– Représentations numériques;
– Normes territoriales et représentations politiques;
– Projet et constructions de territoires;
– Communication et gouvernance territoriale;
– Maillages et élections;
– Cartes mentales;
– Territoires vécus, territoires perçus;
– Images et imaginaires territoriaux;
– Constructions identitaires des territoires;
– Modélisation des territoires et simulation;
– Inscription territoriale des parcours;
– Esthétiques, sensibilités et affects territoriaux;
– Symboliques, mémoires et patrimonialisation des territoires;
– Mise en paysage des territoires;
– Représentation et devenir des territoires.

Calendrier prévisionnel

  • 14 avril 2017 : date limite de soumission des propositions de session, à envoyer exclusivement par email, à l’adresse suivante : cist2018@sciencesconf.org
  • courant mai 2017 : réponses du comité scientifique
  • fin mai-fin août 2017 : appel à communications, exclusivement via le site internet du colloque cist2018.sciencesconf.org
  • fin octobre-fin novembre 2017 : sélection finale et montage du programme

 

Modalités de réponse

Chercheur.se.s, enseignant.e.s-chercheur.se.s, jeunes chercheur.se.s et doctorant.e.s peuvent proposer une session.

Les propositions devront comprendre :

  • un titre, éventuellement un sous-titre;
  • une présentation de problématique (entre 180 et 250 mots);
  • les types de communications attendues (théories, méthodes, terrains, résultats).

Ces trois premiers points devront être rédigés en français et en anglais. Ils serviront à rédiger l’appel à communication pour les sessions sélectionnées.

Les points suivants pourront être rédigés dans l’une ou l’autre langue :

  • les pistes de valorisation potentiellement envisagées (publications, partenariat, élargissement de réseaux);
  • des individus, équipes ou laboratoires visés, dans ou hors CIST, en fonction des travaux déjà menés (des références bibliographiques récentes peuvent être précisées);
  • un bref CV des co-animateurs de sessions (1/2 page).

 

Modalités d’évaluation des propositions

Les sessions proposées seront évaluées par le conseil scientifique du colloque qui comprend les membres du conseil scientifique du CIST élargi à des personnalités spécialistes de la question des représentations des territoires. Les propositions de sessions seront évaluées selon les critères suivants :

  • la cohérence avec la thématique générale du colloque;
  • l’ouverture à la pluridisciplinarité.

Seront par ailleurs valorisées :

  • les sessions co-animées par des porteurs appartenant à différentes structures, disciplines, courants, etc.;
  • l’ouverture de la session à des contributions internationales.

Appel à sessions – Colloque CIST – 22-23/03/2018 Lire la suite »

Appel à communication – 7e colloque international ALIENTO – MSH Lorraine

7e Colloque International ALIENTO
(Analyse Linguistique et Interculturelles des ÉNoncés sapientiels brefs et de leur Transmission Orient/occident/occident/orient)
ANR 13-BSH3-0009-01
Circulation des textes sapientiels : similarités, divergences, implication
Résultats du projet et présentation de la plateforme de consultation de la base de données ALIENTO
Nancy/Lunéville – Paris 16-19 octobre

Thématiques du 7e colloque

L’expérience d’ALIENTO se termine. Il est temps de montrer nos résultats en les confrontant à nos attentes de départ. Le colloque présentera la base de données mais aussi fera le point sur les avancées que nos contacts et nos dialogues au long de ces années de travail commun ont apportées : les thématiques abordées, les croisements opérés lors des colloques, workshops et journées d’étude, les orientations nouvelles, les projets similaires, les ouvertures vers l’avenir.
Pour cela nous prévoyons un colloque sur 4 jours, 2 à Nancy et Lunéville en Lorraine et 2 à l’Inalco à Paris avec 3 aspects différents :
– 4 thématiques de communications occupant 4 demi-journées ;
– 2 demi-journées de présentations et expérimentations de la base sous deux aspects différents et une demi-journée consacrée aux bases de données offrant un lien avec la base de données ALIENTO suivie d’une discussion ;
– une demi-journée de conférences au Château de Lunéville célébrant les liens de la Lorraine avec l’Espagne et l’Orient.
Nous souhaitons aborder les 4 thématiques suivantes étroitement liées :
  • Aux sources de la sagesse médiévale
  • La construction d’une sagesse commune à travers l’espace et le temps
  • Sagesses médiévales et circulation des savoirs
  • Sagesse écrite et sagesse orale
La Lorraine, l’Espagne et l’Orient
Deux des laboratoires impliqués dans ALIENTO sont en Lorraine et le projet a reçu l’aide et le soutien de la région. Nous voulons souligner que le projet ALIENTO aux préoccupations scientifiques et aux objets d’étude en apparence sans connexion avec la Lorraine est en réalité bien ancré dans son histoire. L’Espagne arabo-andalouse et la Lorrain e ne sont pas si éloignées. De 953 à 956 Jean de Vendières (Lotharingie), abbé de Gorze, est envoyé à Cordoue par Othon 1er en ambassade auprès d’Abderrahman III et il y est accueilli par l’érudit Hasday ibn Shaprut. En 1091 le Prieur Walcher de Lorraine, astronome, arrive en Angleterre où il devient prieur du monastère de Great Malvern. Il y rencontre le savant Petrus Alphonsi de Huesca (Aragon), juif converti au christianisme, qui lui apprend l’astronomie et les mathématiques arabes.
Plus près de nous, Abraham Brisac crée dans la ville de Lunéville à la fin du XVIIIè S une imprimerie hébraïque où il imprime en 1804 un te xte philosophique de Salomon Ibn Gabirol (auteur médiéval d’Espagne, XIè S .) et en 1807 le Musré ha-Philosophim 2, ouvrage sapientiel qui est l’un des textes du corpus ALIENTO. Enfin Lunéville est le lieu de naissance du grand Orientaliste René Basset qui a réuni, traduit et publié 1001 contes arabes 3, a séjourné au Maghreb et dont les deux fils nés aussi à Lunéville sont des orientalistes berbérisants. Aboubakr Chraïbi professeur au département d’arabe de l’Inalco, a republié en 2005 l’œuvre majeure de René Basset.
Nous souhaitons rappeler ces relais par trois conférences qui auront lieu au château de Lunéville et qui seront suivies d’une visite de la ville et d’un repas de gala le 16 octobre.
La sagesse en base de données
Le 7e colloque marque l’ouverture au public et la présentation aux chercheurs de la base de données ALIENTO.
Cette présentation donnera l’occasion de revenir sur les étapes du projet, ses attentes, ses réussites comme ses difficultés. Á l’ATILF (Nancy), les méthodes employées pour extraire les données à partir des textes annotés, pour obtenir les appariements d’Enoncés Sapientiels Brefs multilingues seront explicités principalement sous l’angle technique et informatique (calculs de similarité ; interface de consultation ;  plateforme évolutive…) et discutés ;
Á l’Inalco la base sera présentée sous l’angle des enjeux et des résultats. Après avoir rappelé les différentes étapes, on présentera les protocoles d’annotation auxquels on a abouti, on montrera quelles sont les ressources de la base pour les chercheurs, les différents types de requêtes qui peuvent être faits.
On expérimentera la consultation de la base et on analysera certains de ses résultats.
Le projet sera mis en perspective avec les au tres expériences de bases de données portant sur la littérature sapientielle médiévale et les proverbes contemporains ou médiévaux en plusieurs langues (français, espagnol, allemand…). Leurs articulations et leurs complémentarités seront envisagées sous l’angle technique et informatique comme sous l’a ngle linguistique et textuel. La présentation des BDD mettra l’accent sur les conver gences entre bases et avec ALIENTOet sur les développements communs possibles.
Les présentations seront suivies de discussions avec les responsables des projets, les publics concernés, les chercheurs impliqués (informaticiens, linguistes, spécialistes des textes), les éventuels
contributeurs et pourront porter sur les techniques utilisées pour arriver aux résultats, les corpus réunis, l’accessibilité, les droits d’auteur, la pérennisation des données, leur évolution, la nature des liens à établir en fonction des objectifs de chacun des projets, les enrichissements nécessaires, etc.
Les débats seront filmés, les présentations mises en ligne sur le site, Les communications et conférences publiées dans la collection ALIENTO.
Les résumés doivent être envoyés pour le 30 mars 2017 à Marie-Christine Bornes Varol et Marie-Sol Ortola.

 

Renseignements et contacts

Marie-Christine Bornes Varol
Professeur des Universités (INALCO – Paris)
CERMOM EA 4091
Porteur du projet ALIENTO
www.aliento.eu
00 33 (0) 1 40 05 98 83
varol@noos.fr
Marie-Sol Ortola
Professeur des Universités (UdL Nancy)
LIS EA 7305
Porteur du projet ALIENTO
www.aliento.eu
00 33 (0) 3 83 73 83 01
marie-sol.ortola@univ-lorraine.fr
Pour accéder à l’appel à communications dans son intégralité, cliquez ici.

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