André Comte-Sponville : « J’ai la sensibilité triste et l’intelligence joyeuse »

Je ne serais pas arrivé là si… Hanté par le suicide de sa mère, le philosophe évoque l’attrait qu’exerce sur lui la spiritualité, la mort de son premier enfant, la perte de ses illusions gauchistes et le choix de la philosophie comme moyen de consolation.

André Comte-Sponville : « J’ai la sensibilité triste et l’intelligence joyeuse » Lire la suite »