Olivier Beaud : « Si les gouvernants ont failli face à la crise sanitaire, la solution de la plainte pénale n’est pas la bonne »

TRIBUNE. Vingt-huit plaintes pénales visent les ministres en exercice, les accusant d’avoir mal géré l’épidémie. Ces procédures affaiblissent la responsabilité politique et relèvent d’un « populisme pénal », estime Olivier Beaud, professeur de droit public, dans une tribune au « Monde ».

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