Mobilités des uns, confinements des autres

Le troisième confinement annoncé ce mercredi 31 mars par Emmanuel Macron a notamment pour effet de vider encore un peu plus le mot de son sens. Son omniprésence participe au brouillage des réalités sociales les plus triviales tant « le confinement » renvoie à des processus moins homogènes, moins nouveaux et moins figés que ce que son martèlement laisse croire. C’est notamment le cas avec deux grandes questions remises sous le feux des projecteurs par la pandémie : la question sociale et la question écologique.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Retour en haut