L’économie du secteur culturel est caractéristique de ces économies d’externalités généralisées : la valeur ajoutée générée par les activités artistiques est certes loin d’être négligeable mais elle mesure de façon très incomplète la valeur globale produite par ces activités. La crise en cours souligne combien manque un alambic efficace qui fasse remonter une partie de cette valeur vaporeuse jusqu’aux artistes.