Au risque industriel, les récits médiatiques préfèrent les catastrophes. Elles ont ceci de médiatiquement intéressant de suivre une logique événementielle plus « facile » à raconter que le risque qui, lui, relève de ce qui n’est pas encore arrivé. Ces récits amalgament les notions de danger et de risque, et participent à « construire » des territoires définis par l’imaginaire de la catastrophe.