TRIBUNE. La crise sanitaire est porteuse de grands maux immédiats, mais pourrait, à terme, aboutir à un grand bien, ou au moins à un moindre mal, analyse le philosophe Jean-Claude Monod dans une tribune au « Monde ».
TRIBUNE. La crise sanitaire est porteuse de grands maux immédiats, mais pourrait, à terme, aboutir à un grand bien, ou au moins à un moindre mal, analyse le philosophe Jean-Claude Monod dans une tribune au « Monde ».