« La santé mentale ne doit pas servir de prétexte à des choix contraires aux objectifs sanitaires »

TRIBUNE. Il n’est pas prouvé que l’impact psychiatrique d’un confinement strict de quelques semaines serait plus important que celui de « la prolongation de demi-mesures de restriction », explique, dans une tribune au « Monde », le chef de service en psychiatrie Antoine Pelissolo.

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