Ce 12 mai sera remis au Premier ministre un rapport sur les conséquences de la crise sanitaire sur les classes les plus pauvres de la société. Par la qualité et la diversité de ses contributions, il prend à contre-courant les polémiques récentes sur le fossé entre les sciences sociales et le discours politique. Ce document met en lumière, sans misérabilisme, la violence qui s’abat sur toutes les dimensions de leurs conditions de vie, tendant au pouvoir un miroir cru des réalités sociales vécues par ceux d’en bas.