Le «nous sommes en guerre» du chef de l’Etat est maladroit : la rhétorique de l’ennemi invisible n’a pas toujours été innocente. Il est aussi anachronique, car il renvoie à un imaginaire du XXe siècle.
Le «nous sommes en guerre» du chef de l’Etat est maladroit : la rhétorique de l’ennemi invisible n’a pas toujours été innocente. Il est aussi anachronique, car il renvoie à un imaginaire du XXe siècle.