Annulé / Séminaire Les Libertés numériques – 2/04/2020

Jeudi 2 avril 2020 – Les points d’équilibre des libertés numériques – Amphi Guizot

La régulation suppose toujours une articulation entre des intérêts opposés. La protection du droit d’auteur sur les plateformes de partage de vidéos illustre l’antinomie entre deux droits d’égale valeur juridique, le droit de propriété et la liberté d’expression. L’articulation entre la liberté du commerce et de l’industrie et la protection des consommateurs ou des concurrents impose aussi une régulation des activités numériques, notamment en matière d’algorithmes de recommandation ou de prix.

Penser les points d’équilibre implique aussi de déterminer les conditions de la bonne communication entre les personnes et les systèmes numériques, à la fois chargés de nous informer et de recueillir notre consentement.

  • Mélanie Clément-Fontaine, Professeure à l’UVSQ Université Paris-Saclay, directrice du Laboratoire DANTE : Les droits de propriété intellectuelle
  • Laurence Devillers, Professeure en Intelligence Artificielle, Sorbonne Université, LIMSI-CNRS : Les interactions humains-robots
  • Jean-Christophe Roda, Professeur, Université Lyon 3 : concurrence et numérique

Inscription ici.

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Annulé / Séminaire Médias et médiations de la gastronomie – 17/03/2020

La quatrième séance de la saison 2019-2020 du séminaire «  Médias et médiations de la gastronomie (XVIIe-XXIe siècles) »

se tiendra : Mardi 17 mars 2020, de 17h à 19h30

 à la Maison de Balzac  (47, rue Raynouard – Paris 16e)

Elle aura pour thème :

ECRIRE LA GASTRONOMIE (2)

Au programme de cette séance :

Joëlle PAGES-PINDON (Université La Sorbonne Nouvelle – Paris 3),
La cuisine de Marguerite Duras : les mots du corps

Geneviève SICOTTE (Université Concordia, Montréal),
L’idée du « populaire » dans la gastronomie québécoise : un parcours littéraire


Entrée libre dans la limite des places disponibles

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Annulé / SÉMINAIRE DU CENTRE D’ALEMBERT – 25/03/2020

Séminaire itinérant du Centre d’Alembert
« Qu’est-ce qu’un fait établi ? Comment se trompe-t-on ? »

Séance 4 : Qu’est-ce qui fait preuve en mathématiques ? Pratiques de recherche et de publications au XIXe siècle.

Lundi 23 mars 2020 de 16h à 18h30
Centre Scientifique d’Orsay
Institut de Mathématique – Bât. 307 – rue Michel Magat
Amphi J-C. Yoccoz (RdC)
Entrée Libre
Plan d’accès
Contact et informations


Intervenantes :

Emmylou Haffner
Docteure en histoire des mathématiques de l’Université Paris Diderot, et actuellement post-doctorante au Laboratoire de Mathématiques d’Orsay

Des calculs aux résultats : éléments de genèse des treillis chez Dedekind

Résumé : Lorsque Richard Dedekind introduit les notions de module en théorie des nombres algébriques en 1871, il définit également une notion de divisibilité (un module a est divisible par un module b si a est inclus dans b) et des notions arithmétiques liées, comme le PGCD et le PPCM de modules. Quelques années plus tard, il introduit des notations pour ces notions, ce qui lui permet d’établir de nouveaux théorèmes de l’arithmétique des modules. Plus important encore, ces notations lui permettent d’observer un « dualisme particulier » entre les opérations de PGCD et de PPCM, qu’il décide d’étudier plus en détail. Vingt années de recherches sur ces opérations, largement conservées dans ses archives, ont débouché sur le concept de Dualgruppe, équivalent à notre treillis moderne, dans deux publications de 1897 et 1900. Alors que Dedekind est souvent présenté comme l’un des pères des mathématiques conceptuelles, insistant sur l’importance d’éliminer les calculs en mathématiques, ses archives témoignent que son processus de recherche repose largement sur des calculs. En utilisant les archives de Dedekind, je proposerai de contraster les méthodes et outils utilisés au cours du processus de recherche, qui permettent donc d’obtenir les résultats, et ceux utilisés dans ses publications pour exposer ces résultats.

—–

Caroline Ehrhardt
Maitre de conférences en histoire des sciences à l’Université Paris 8, membre de l’IDHE-S (UMR 8533)

Des calculs impraticables : la résolution des équations dans les travaux d’Evariste Galois

Résumé : Les travaux d’Evariste Galois (1811-1832) fournissent un cas historique célèbre où se pose la question de la validation et de l’accréditation d’un résultat mathématique. En effet, alors qu’ils n’ont pas été approuvés par l’Académie des sciences du vivant de leur auteur, ils ont ensuite bénéficié d’une très importante postérité et sont à l’origine d’une théorie mathématique aujourd’hui bien établie, la théorie de Galois. En mettant en regard les pratiques de recherche et de démonstration de Galois, et notamment le rôle dévolu aux calculs, et les pratiques et attentes du milieu mathématique de son temps, nous nous proposons à travers cet exemple de réfléchir au caractère historiquement et socialement situé de ce qui « fait » preuve en mathématiques.


Organisateur :
Joël Merker, Professeur, Institut de Mathématique, Université Paris-Saclay

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Résultats de l’Appel à Projets Emergence 2020 – Vague 1

Pour cette premièr vague de l’appel à projets Émergence 2020, la MSH Paris-Saclay a retenu un projet qui bénéficiera d’une dotation de 6000 €, dont la gestion sera directement assurée par la MSH Paris-Saclay.

La santé humaine, animale et environnementale face à la maladie de Lyme.
Modélisation des dynamiques épidémiologiques et écologiques, étude des perceptions du
risque d’infection et analyse économique des décisions en contexte d’incertitude.

Responsables scientifiques : Marc Leandri (CEMOTEV / UVSQ) & , Emmanuelle Augeraud-Véron (GRETHA / Université de Bordeaux)


Ce projet propose une approche interdisciplinaire économie-écologie-géographie
pour éclairer les décisions individuelles et collectives de protection lors d’activités en
forêt face à une maladie vectorielle comme la maladie de Lyme et la dynamique des
populations de vecteurs selon différents scenarios de changements globaux. Il vise pour
cela à articuler deux dimensions spécifiques à la maladie de Lyme : son imbrication dans
la santé humaine, animale et environnementale et l’incertitude qui caractérise cette
pathologie.

La première dimension, qui inscrit notre travail dans une approche « One
Health » repose sur la combinaison de modèles épidémiologiques et de dynamique des
populations animales qui permettra d’éclairer les probabilités d’infection selon les
paramètres environnementaux mais aussi d’explorer des scénarios de risque selon
l’évolution de ces paramètres sous l’impact des changements globaux (changement
climatique, usage des sols) et des régulations des populations. La seconde dimension
sera traitée par des modèles de décision en univers incertain ainsi que par des
évaluations empiriques dans les forêts d’Ile de France sur les perceptions de la maladie
tant sur sa sévérité (choice experiment) que sur sa prévalence géographique (cartes
mentales).

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Résultats de l’Appel à Séminaires 2020 – Vague 1

Pour cette première vague de l’appel à séminaires 2020, la MSH Paris-Saclay a retenu 3 projets.

Chacun bénéficiera d’une dotation pouvant aller jusqu’à 4000 €, dont la gestion sera directement assurée par la MSH Paris-Saclay.

Les 3 projets retenus sont les suivants :

Perception du changement climatique dans les régions polaires

Responsables scientifiques : Jan Borm (CEARC / UVSQ) & Christophe Grenier (LSCE / CEA)


La série de séminaires vise à animer sur 2020-21 une collectivité Paris Saclay tournée vers les
milieux hautes latitudes. Cette communauté interdisciplinaire (SHS et Géosciences) d’enseignants,
chercheurs, étudiants compte une centaine de personnes. Elle possède un niveau de publications
qui la place dans le groupe de tête à l’échelle internationale mais est seulement en train de se constituer (voir son site dédié http://hauteslatitudespsaclay.cnrs.fr). Il s’agit pour cette année
d’organiser une série de séminaires autour des sites principaux sur lesquels des dynamiques de
travail importantes sont attendues. Ces rencontres sont à nos yeux indispensables pour que les
intervenants de provenances diverses puissent se rencontrer et envisager des dynamiques
communes.

PéLiAS. Les périodiques comme médiateurs culturels (Littérature, arts, sciences)

Responsables scientifiques : Norbert Verdier (EST / UPsaclay), Alexia Kalantzis (CHCSC / UVSQ) & Hélène Védrine (CELLF / Sorbonne université)

Le séminaire PéLiAS (périodiques littéraires, artistiques et scientifiques) aborde la
thématique des périodiques comme médiateurs culturels (XVIIIe siècle-XXe siècle) à partir
d’une double approche littéraire et scientifique. Il est co-organisé par trois laboratoires : le
Groupe d’Histoire et de la Diffusion des Sciences d’Orsay (GHDSO) de Paris-Sud, le
Centre d’Histoire Culturelle des Sociétés Contemporaines (CHCSC) de Versailles-SaintQuentin, et le Centre d’Etude de la Langue et des Littératures Françaises, Littérature
française XIXe-XXIe siècles (CELLF 19-21) de Paris-Sorbonne. Chaque séance est organisée
autour d’un thème spécifique et propose une double intervention : l’une d’un chercheur
issu du domaine des humanités et l’autre du domaine scientifique. L’approche est à la fois
pluridisciplinaire et internationale.
Le séminaire a obtenu l’an passé le label de la MSH pour sa première année.

Séminaire de l’atelier des Communs :

Responsables scientifiques : Jeanne Gherardi-Scao (LSCE / CEA), Steve Hagimont (CHCSC / UVSQ) & Pablo Castro De Oliveira (Li-Parad / UVSQ)

L’objectif de ce séminaire d’écologie politique est de faire dialoguer et de créer du lien entre les
chercheur.es intéressé.es par la question écologique, de mettre en commun nos savoirs
scientifiques et nos approches, de s’adresser au « grand » public et d’imaginer avec lui des
solutions et les fonctions futures de la recherche publique. Ces séminaires seront organisés hors
des universités, grandes écoles et centres de recherche pour capter le public non universitaire.
Les séminaires seront construits autour d’interventions pluridisciplinaires sur un même thème,
avec, dans l’idéal, un équilibre entre sciences « dures » et sciences humaines. Ils proposent
d’étudier les bouleversements écologiques dans toute leur complexité, de saisir leurs implications
pour les mondes sociaux et de déconstruire les discours qui leur sont associés.

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Reporté / Petits Déjeuners Durkheim – Le piège de l’employabilité – 20/03/2020

Nouvelle séance avec Dominique Glaymann, Guillaume Tiffon, Frédéric Moatti et Jean-Pierre Durand qui viennent nous présenter leur ouvrage :
Le piège de l’employabilité. Critique d’une notion au regard de ses usages sociaux
(Presses Universitaires de Rennes, 2017 : http://www.pur-editions.fr/detail.php?idOuv=4451)

Cet ouvrage interroge les usages sociaux de l’employabilité en montrant comment elle affecte les politiques publiques, le recrutement, la formation et l’insertion dans l’emploi. Les auteurs interrogent également la portée symbolique et la pertinence scientifique de cette notion qui risque d’enfermer dans un double piège : stigmatiser les chômeurs et persister dans les politiques d’emploi sans résultat face au chômage.

La séance aurai lieu à la Bibiliothèque Durkheim de l’ENS Paris-Saclay et sera animée par Florent Le Bot (IDHES / UEVE).

nscription conseillée : bib.durkheim@ens-paris-saclay.fr

Pour rappel : les Petits déjeuners sont inscrits au programme de l’École doctorale SHS de l’Université Paris-Saclay.

Les doctorants venus assister aux présentations peuvent ainsi créditer 22,5 heures de crédit parmi les 100 heures de formation qui doivent être validées dans le cadre de l’École doctorale.

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Annulé / Colloque international « Atlantique Argentique Circulations photographiques, XIXe-XXe siècles » – 19-20/03/2020

Colloque international organisé par la Maison des Sciences de l’Homme Paris Saclay, l’UMR Théorie et histoire des arts et des littératures de la modernité (THALIM), l’école doctorale Translitterae, le Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines (CHCSC), le laboratoire Synergies Langues Arts Musique (SLAM) et le Jeu de Paume dans le cadre du programme ANR Transatlantic Cultures

On le sait, la question des origines de la photographie a donné lieu à des hypothèses concurrentes, ancrées dans les particularismes et les revendications nationales. La photographie a été imaginée, esquissée, voire inventée avant Daguerre, par des Anglais (au premier rang desquels Henry Talbot), par un Espagnol de Saragosse (Ramos Zapetti) et peut-être même par un autre Français exilé au Brésil (Hercules Florence). Ce que François Brunet appelait « l’idée de photographie » semble avoir surgi presque en même temps sur toutes les rives de l’Atlantique. Depuis, les photographies et les photographes ont contribué de façon décisive aux cultures transatlantiques et aux échanges entre l’Europe, l’Afrique et les Amériques.

Le colloque « Atlantique argentique » ambitionne précisément d’esquisser une cartographie de ces « zigzags » dans l’ensemble de la région, avant que la culture visuelle de la fin du XXe siècle ne soit profondément transformée et mondialisée par la technologie numérique et l’apparente dématérialisation des images. La construction de cultures atlantiques s’est jouée en partie dans la manière dont ce « désir de photographier » a traversé l’océan. La circulation matérielle des images et des publications, des praticiens professionnels et amateurs, le marché des matériels et l’organisation d’expositions ont été des vecteurs importants d’échanges commerciaux et culturels.

Ces traversées ont d’abord touché les grandes capitales de l’Atlantique et les ports. Elles ont relié les patries d’origine des migrants et les frontières de l’exil, les champs de missions et les champs de bataille, les hauts-lieux du tourisme et les horizons inconnus. Pour ce faire, les photographies ont voyagé par bateau, par câble, par avion, et même dans une célèbre valise mexicaine. Ce sont les voyages et les correspondances, les échanges institutionnels, les circuits de l’art et de la culture qui ont ainsi contribué à fabriquer ou à maintenir des liens familiaux, amicaux, politiques ou religieux dans l’ensemble de la région, nourrissant les histoires communes d’un rivage à l’autre.

Cet Atlantique des images matérialise à la fois le lien et l’éloignement, la communauté et la séparation. Il a façonné des empires, nourri la propagande et le commerce, élaboré l’utopie d’une « famille humaine » commune au lendemain de la Seconde guerre mondiale.

Les interventions s’attacheront donc à dessiner la contribution des images photographiques au paysage visuel atlantique, ce « monde image » (image world) évoqué par Deborah Poole pour décrire l’économie visuelle liant les Andes, l’Afrique, l’Europe et les Etats-Unis.

Ce colloque s’inscrit dans le cadre du programme de recherche international “Transatlantic Cultures” mené par le Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines (Paris-Saclay), l’Université Sorbonne-Nouvelle Paris 3 et l’Université de São Paulo avec le soutien de l’ANR et de l’agence brésilienne FAPESP. Pour en savoir plus: https://tracs.hypotheses.org/

Comité scientifique :

Alexander Alberro, Columbia University, Etats-Unis

Jennifer Bajorek, Hampshire College, Etats-Unis

Alberto del Castillo Troncoso, Instituto Mora, Mexique

Paul-Henri Giraud, Université de Lille, France

Patricia Hayes, Université du Cap-Occidental, Afrique du Sud

Jean Kempf, Université Lyon 2 Louis Lumière, France

Boris Kossoy, Université de São Paulo, Brésil

Olivier Lugon, Université de Lausanne, Suisse

Rebeca Monroy Nasr, Instituto Nacional de Antropología e Historia, Mexique

Maureen Murphy, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Membre de l’Institut Universitaire de France

Michel Poivert, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, France

Shelley Rice, New York University, Etats-Unis

Pia Viewing, Jeu de Paume, France

Laura Wexler, Yale University, Etats-Unis

Kelley Wilder, De Montfort University, Royaume-Uni

Comité d’organisation :

Ada Ackerman, THALIM, Centre National de la Recherche Scientifique

Didier Aubert, THALIM, Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle

Clara Bouveresse, SLAM, Université d’Evry-Val d’Essonne

Anaïs Fléchet, CHCSC, Université de Versailles Saint-Quentin

Eduardo Morettin, Université de São Paulo

Priscilla Pilatowsky, Institut des Hautes Etudes de l’Amérique Latine, Colegio de México

INSCRIPTION : http://www.jeudepaume.org/index.php?page=article&idArt=3559

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Séminaire Les libertés numériques – 5/03/2020

Jeudi 5 mars 2020 – Les atteintes aux libertés numériques – Amphi Guizot

A l’exception de certains droits cardinaux, comme le droit à la dignité, les droits fondamentaux tolèrent des restrictions. Quels sont les motifs d’atteintes aux droits fondamentaux du numérique ? De la protection de l’ordre public et de la sécurité publique, jusqu’à la surveillance des salariés par leur employeur, il est nécessaire d’interroger ces limites.

  • Félix Tréguer, chercheur associé au Centre Internet et Société du CNRS et post-doctorant au CERI-Sciences Po : Généalogie de la censure : le contrôle d’Internet au prisme de la raison d’Etat.

Inscription ici.

A propos du séminaire :

Open data, transparence des algorithmes, éthique by design, droit à l’oubli numérique, autodétermination informationnelle, reconnaissance faciale, neutralité du net, souveraineté numérique, justice prédictive, etc. autant de sujets qui animent ces dernières années le débat public concernant l’environnement juridique du numérique.

Ces sujets soulèvent une question commune : quels seront demain les droits et libertés fondamentales reconnus à chacun dans l’univers numérique? La réponse à cette question impose un examen transversal de ces différents sujets : notre intuition est qu’une approche globale des libertés numériques est aujourd’hui impérative.

A l’heure où se multiplient les projets de reconnaissance constitutionnelle et européenne des droits fondamentaux du numérique, et où le Conseil de l’Europe élabore des instruments juridiques relatifs à la gouvernance de l’Internet, ce cycle de conférences propose un échange interdisciplinaire autour de l’étude de leurs fondements, leurs enjeux, leur nature et leur mise en oeuvre.

En savoir plus : https://libertes-numeriques.com/

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Séminaire du Centre d’Alembert – 3/03/2020

Séminaire itinérant du Centre d’Alembert
Qu’est-ce qu’un fait établi ? Comment se trompe-t-on ?

Séance n°3 : L’observation permet-elle des découvertes fiables ?
l’exemple de l’astrophysique
.

Mardi 3 mars 2020 de 13h30 à 15h30
Centre Scientifique d’Orsay
Institut de Physique Nucléaire (IPN) – Bâtiment 100A
Auditorium Joliot Curie – RdC (voir plan)
Entrée libre
Intervenants :
Marc Ollivier
Astronome, directeur de l’Institut d’Astrophysique Spatiale d’Orsay, Université Paris-Saclay
La découverte de 51 Pegase B.Florent Robinet
Chercheur au CNRS, IJCLab (Laboratoire de Physique des 2 Infinis Irène Joliot-Curie),
Université Paris-Saclay
Première détection des ondes gravitationnelles : validation expérimentale d’une découverte historique.
Organisateurs :
Jean-Claude Vial, Chercheur CNRS émérite en astrophysique, Institut d’Astrophysique Spatiale d’Orsay, Université Paris-Saclay et Julien Gargani, Directeur du Centre d’Alembert

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Invisibles – Les travailleurs du clic

Dans la continuité du projet maturation DipLab mené avec la MSH Paris-Saclay  (https://msh-paris-saclay.fr/le-micro-travail-en-france-rapport-final-du-projet-diplab/), Antonio Casilli (sociologue à l’UMR i3) a participé à la réalisation d’une série documentaire qui vient d’être diffusée sur France Télévisions :  « Invisibles – Les travailleurs du clic ».

Invisibles – Les travailleurs du clic est un documentaire qui part à la rencontre de ceux qu’on ne voit plus ou dont on ignore même souvent l’existence. Auto-entrepreneurs, précarisés, mal payés, producteurs et productrices permanents de données – cet or numérique – accaparées par les plateformes, réduits au silence par des contrats absurdes, leurs histoires et leurs quotidiens parlent de notre réalité, de sa face cachée. Ils vivent et travaillent à Lyon, Barcelone, Dublin, Antananarivo… Ils s’appellent Bilel, Zlat, Nathalie, Nomena, Ny Kanto, Amélie, Chris,Édouard…

Pour voir les 4 épisodes en replay : https://www.france.tv/slash/invisibles/

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