Appel SHS

Appel à projets « ERM – Équipements de Recherche Mutualisés » 2023

Appel à projets "ERM - Équipements de Recherche Mutualisés" 2023

Informations générales

La Commission de la Recherche de l’Université Paris-Saclay a décidé le 11 mai 2022 de lancer l’appel à projets « ERM – Équipements de Recherche Mutualisés » 2023.
Cet appel sera financé au titre du budget de la recherche 2023 de l’Université Paris-Saclay au périmètre « employeur ».
Il a pour objectif de permettre l’acquisition d’équipements de recherche partagés par plusieurs unités de recherche ou de service.
Ces acquisitions peuvent concerner la mise en place de nouveaux équipements ou la jouvence d’équipements déjà existant.

Les demandes devront être portées par une unité de recherche ou de service du périmètre « employeur », donc rattachée à une composante de l’Université Paris-Saclay.
Les autres unités partageant l’équipement pourront être des unités du périmètre « employeur » de l’Université Paris-Saclay et/ou des unités du périmètre global de l’Université Paris-Saclay.

Retrouvez les détails de l’Appel à projets ici.

Modalités de candidature

Chaque demande devra être déposée au plus tard le jeudi 29 septembre 2022 à 12h via le formulaire en ligne disponible sur le site de l’Université Paris-Saclay :
https://www.universite-paris-saclay.fr/AAP-ERM-2023
La demande inclut un descriptif du projet d’acquisition, à déposer sous la forme d’un fichier PDF à renseigner à partir du modèle à télécharger ici.

Les demandes seront évaluées et classées par les composantes de rattachement des unités qui les portent.
Un avis d’opportunité sera demandé aux Graduate Schools concernées.
La décision d’attribution sera prise par la Commission de la Recherche le 14 décembre 2021. Les crédits seront mis à disposition des unités bénéficiaires à l’ouverture de l’exercice financier 2023.

Contact : admin.direv@universite-paris-saclay.fr

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Appel à participation au Congrès Junior Pluridisciplinaire
2 juin 2022

Appel à participation au Congrès Junior Pluridisciplinaire (2 juin 2022)

La Graduate School Métiers de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (GS MRES) prépare un éventail d’actions intitulées « Pousses de chercheur·e·s : cultivez vos méninges ! ».

Il s’agit de proposer aux étudiants (en L3, M1, M2, en cycle ingénieur ou cycle normalien) de valoriser leur(s) expérience(s) recherche (projets, stages…) en participant à des activités qui font partie du quotidien des chercheurs. À terme, parmi cet éventail, nous souhaitons mettre en place un congrès, des labos, un journal, des summer-schools… tous estampillés « Juniors de l’Université Paris-Saclay ».

Nous lançons aujourd’hui le premier Congrès Junior Pluridisciplinaire le jeudi 2 juin 2022 après-midi (et soir) à l’ENS Paris-Saclay, destiné aux étudiants de l’ensemble de l’Université (composantes, établissements-composantes et universités associées), avec des sessions plénières, des sessions parallèles, la possibilité de participer sous la forme d’enregistrement pour ceux qui ne pourront pas être présents… et des remises de prix !
Vous êtes étudiant, venez présenter les objectifs scientifiques et la méthodologie du projet de recherche que vous avez réalisé (en solo ou en équipe) l’année dernière durant votre formation ou que vous êtes en train de réaliser. Toutes les explications sont dans le document d’appel à participation joint à ce message et disponible sur le site du congrès.

Vous êtes chercheur, enseignant, enseignant-chercheur, incitez vos étudiants à participer et tournez-vous vers nous si vous avez des questions sur l’organisation.

Dans tous les cas, nous espérons avoir le plaisir de vous compter parmi nous pour découvrir ce qu’est la recherche dans l’ensemble des formations de l’Université (composantes, établissements-composantes et universités associées), toutes disciplines confondues !

Le CODIR de la GS MRES
gs.mres@universite-paris-saclay.fr

Appel à participation au Congrès Junior Pluridisciplinaire
2 juin 2022
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Appel à contributions pour la revue Archimède

Appel à contributions pour la revue Archimède

La revue Archimède. Archéologie et histoire ancienne est une revue scientifique spécialisée dans le domaine de la recherche en archéologie et en histoire (de la Préhistoire à Byzance et le monde islamique médiéval, Europe-Méditerranée). Elle a pour objectif de favoriser les interactions disciplinaires, d’encourager les collaborations avec les acteurs de l’archéologie préventive (INRAP, PAIR, ANTEA, etc.), d’accueillir et favoriser les travaux des historiens et des archéologues croisant les thématiques des sciences sociales et de l’anthropologie culturelle et d’approfondir les collaborations entre historiens, archéologues et spécialistes des sciences de la nature. Toutes les contributions sont
évaluées selon une double expertise en aveugle (voir la procédure ici).
Elles disposent d’un identifiant DOI et sont automatiquement déposées sur les archives ouvertes HAL-SHS.

Pour en savoir plus concernant l’appel à contributions

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Appel à contributions – terrains & travaux

Appel à contributions - terrains & travaux

Concurrencer l’école publique.
Entrepreneurs en éducation et formes alternatives d’enseignement

Appel à contributions pour dossier thématique
Date de clôture : 28 février 2022

Les expériences éducatives alternatives au système d’enseignement « classique » sont loin d’être inédites, comme le montre la vitalité des mouvements de l’éducation nouvelle entre le dernier quart du XIXe siècle et l’entre-deux-guerres, parties prenantes de la nébuleuse réformatrice de l’État. Leurs propositions pédagogiques fleurissent alors tant au sein de l’école publique que dans des écoles privées, à l’initiative de philanthropes, pédagogues, administrateurs et enseignant·es. Un mouvement analogue, alimentant des critiques visant l’enseignement scolaire public, ainsi que les appels à un renouvellement des apprentissages et des pratiques pédagogiques connaît depuis quelques années, en France, un certain essor, sous l’effet de la promotion de la liberté des familles et du « choix » parental, de l’aspiration à un traitement plus « personnalisé » des élèves et de l’accroissement de la concurrence entre établissements. En témoignent en France le succès des pédagogies dites «alternatives», l’attrait croissant qu’exercent les établissements privés, l’émergence d’une catégorie «d’entrepreneurs en éducation», et le renouveau de l’enseignement à domicile. L’aspect le plus remarquable de ces offres éducatives, très hétérogènes et animées par des visions du monde et des intérêts parfois contradictoires, réside dans le fait qu’elles se proposent de réformer l’école publique, non pas de l’intérieur, mais de l’extérieur, en entreprenant de développer à la lisière des établissements scolaires publics, ou loin d’eux, des projets jugés plus en phase avec les aspirations des élèves et des familles. Si ces idées réformatrices oscillent entre, d’un côté, la volonté de mieux s’ajuster aux attentes des publics du système d’enseignement traditionnel et, de l’autre, le désir d’en contourner les normes et les modes de sélection, elles tendent à remettre en cause, directement ou indirectement, la légitimité et la capacité de l’État à administrer l’éducation de ses citoyen·nes et enferment, en creux, une critique du «pacte social» que constitue l’institution scolaire dans nos sociétés. Bien que composite, cette offre apparaît moins sous-tendue par une ambition émancipatrice que par la volonté de doter les familles d’un «capital humain» et de faire l’éducation moins un enjeu de société qu’un investissement comme un autre.

Les propositions attendues pour ce dossier de terrains & travaux devront permettre de mieux comprendre les motivations des différents acteurs et actrices contribuant à la mise en place de pédagogies alternatives, de mieux connaître leur contenu ainsi que leurs effets sociaux. Ce dossier vise ainsi in fine à mieux appréhender, à travers des travaux empiriques, les caractéristiques de ces formes alternatives d’éducation, leurs usages par les apprenants, mais aussi, plus généralement, leurs effets sur le système scolaire public et sur les inégalités.

Les articles pourront s’inscrire dans l’un des trois axes présentés ci-dessous ou à leur croisement.

  • I. Entrepreneurs en éducation et entreprises éducatives dans l’espace scolaire. Vers une privatisation de l’offre éducative ?

Dans un contexte d’individualisation des politiques éducatives et d’intériorisation de l’impératif scolaire, l’offre privée d’éducation semble s’être développée en adoptant des formes renouvelées. On peut y voir l’effet d’une «numérisation» de l’offre (écoles en ligne, plateformes de cours particuliers, applications de soutien scolaire), de l’émergence de certaines professions (le coaching scolaire), du développement du tiers-secteur (la philanthropie éducative, les think tanks en éducation) ou de modèles lucratifs d’entreprises (comme pour certaines écoles hors-contrat ou les start-up de «l’edtech»). L’intervention, à différents niveaux, des acteurs privés en éducation n’est pas nouvelle, comme en témoignent la régulation de l’enseignement professionnel par les branches professionnelles, l’influence des milieux patronaux sur les cursus, ou plus récemment la formation des élèves et des étudiant·es à l’entrepreneuriat. Néanmoins, l’intérêt spécifique de certains acteurs privés à l’égard de l’offre éducative, leurs caractéristiques et leurs modes d’action restent encore largement méconnus, notamment dans le contexte français. Ce premier axe visera donc à mieux caractériser le champ des «entrepreneurs de l’éducation» et à interroger la spécificité de cette offre éducative. Ces pratiques éducatives hors de l’école s’inscrivent, en effet, dans des dynamiques longues de privatisation et d’hybridation des rapports public-privé, qui remettent en cause tout autant la place de l’offre publique, sa légitimité que le principe de la régulation, par les pouvoirs publics, de l’offre scolaire. Aussi, les recherches explorant les processus de privatisation et de mise en marché de l’éducation seront-elles bienvenues : développement d’une offre éducative peu ou pas régulée par les autorités publiques, ouverture des services publics éducatifs à des financements privés, ou encore sous-traitance de services éducatifs à des opérateurs extérieurs.

Le profil et les trajectoires des promoteurs et acteurs de ces entreprises éducatives pourront, en premier lieu, être étudiés, en réservant une place à la manière dont ils s’appuient paradoxalement sur les pouvoirs publics (via des subventions, défiscalisation, autorisations, agréments, etc.) pour développer une offre concurrente à celle de l’enseignement public. La façon dont ces acteurs défendent, en second lieu, la légitimité de leurs conceptions éducatives et de leurs manières d’agir auprès d’interlocuteurs et de publics divers (patronaux, pouvoirs publics, Éducation nationale) pourra être questionnée. La question du financement des entreprises éducatives, des pratiques et des modèles économiques qui les sous-tendent, méritera aussi examen. Car si certaines bénéficient du soutien des pouvoirs publics ou escomptent leur aide, d’autres parient plutôt sur leur capacité à développer une offre marchande autonome, et entendent attirer des investisseurs intéressés par les perspectives de profit qu’offre un marché semble-t-il prometteur. En troisième lieu, le travail concrètement engagé dans ces formes alternatives d’enseignement, et les types de pratiques éducatives mises en place, retiendront l’attention, qu’il s’agisse de pratiques renouant avec des formes scolaires traditionnelles ou déjà éprouvées (préceptorat, enseignements d’inspiration plus libertaire) ou de celles insistant plutôt sur leur caractère innovant (apprentissage en ligne, e-learning) afin d’attirer des familles séduites par une prise en charge plus individualisée de leurs enfants. Les contributions seront invitées à analyser la manière dont ces pratiques hétérogènes sont régulées par les pouvoirs publics ou au contraire échappent à leur contrôle.

  • II. Un autre rapport à l’éducation ? Choix éducatifs et apprentissages « alternatifs »

Cet axe invite à interroger les stratégies et les choix faits par les familles, et les apprentissages chez les élèves, en vue de mieux saisir les effets du recours à des formes alternatives d’enseignement sur le système public d’éducation. Les contributions pourront ainsi aborder les déterminants sociaux de la « demande » d’éducation privée alternative et comment les familles, sur la base de relations affinitaires, ou de positionnements socio-économiques ou culturels, en viennent à recourir à ces nouvelles manières d’éduquer et d’instruire. Au sein d’une offre très hétérogène, il apparaît important de regarder finement les appartenances sociales des familles et leurs rapports à l’école, et d’examiner comment elles s’investissent scolairement et pédagogiquement « à côté de » l’école publique, dans différents segments de l’offre privée. S’agit-il plutôt de familles appartenant à des groupes socialement dominés qui ne trouveraient pas, dans le système existant, une offre adaptée à leurs besoins et à leurs aspirations ? Si c’est le cas, doit-on y voir l’effet d’un amoindrissement de la croyance des milieux populaires dans les capacités émancipatrices de l’école ? Est-on plutôt face à des familles issues des classes moyennes et supérieures souhaitant échapper aux écueils d’une école massifiée, voire de familles fortement dotées préférant scolariser leurs enfants dans des établissements jugés plus en phase avec les exigences d’un monde globalisé ? Entre souci d’ajustement aux attentes scolaires (le recours au soutien scolaire, au coaching, etc.) et défection du système scolaire (le choix du hors contrat, de l’école à domicile) s’expriment différents usages de ces entreprises éducatives et différents rapports à l’école. On pourra se demander en quoi l’offre privée « alternative » témoigne de transformations des rapports des familles à l’école (voire de prises de distance avec le système scolaire), notamment liées aux transformations du système éducatif et aux attentes générées par l’allongement des études. Les contributions pourront venir alimenter les travaux sur les rapports à l’école et à l’État des familles et des élèves, et sur les effets de la crise sanitaire du Covid-19. On pourra également questionner le renouvellement de la place des parents à l’œuvre dans l’offre privée éducative, se demander comment les familles contribuent éventuellement à définir les contours de cette offre : dans l’enseignement à domicile, dans certaines écoles privées réservant une place spécifique aux parents, ou dans certaines aventures entrepreneuriales mettant en avant l’« expérience parentale » des créateurs d’entreprise. Les profits que les bénéficiaires retirent de ces expériences singulières (et d’une socialisation aux marges ou extérieure au système scolaire) mériteront également examen. Les parcours des élèves ayant bénéficié d’une éducation hors contrat, à domicile ou de formes de scolarisation en marge de l’école, restent en effet largement méconnus. Les effets socialisateurs durables de ces expériences et leurs incidences sur les trajectoires individuelles – que les élèves demeurent aux marges de l’école publique ou la réintègrent – pourront être explorés.

  • III. Les effets des entreprises éducatives sur le système public d’éducation

Enfin, un troisième axe invite à discuter les effets des entreprises éducatives et du recours par les familles à une offre privée «alternative», sur le système public d’éducation, et in fine sur les inégalités scolaires. Le fait que le centre de gravité de la régulation de l’offre d’éducation se déplace des autorités publiques vers les familles, érigées tacitement, par les prescripteurs de ces services éducatifs, en arbitres de la concurrence entre les différents fournisseurs de biens éducatifs (publics, privés à but non lucratif, privés à but lucratif) méritera attention. L’ampleur que revêt ce phénomène multiforme de remise en cause du système public d’enseignement, en France et dans d’autres pays, pourra être questionnée. L’impact de ces transformations sur les inégalités scolaires pourra aussi être interrogé. Les contributions pourront analyser la façon dont les institutions scolaires publiques composent avec le développement d’un secteur éducatif privé à leurs marges, en tentant d’en enrayer la croissance, en encourageant son développement ou en empruntant certains de ses registres d’action. Les travaux (s’appuyant sur des données statistiques ou des analyses comparatives) qui permettent, dans cette perspective, d’appréhender la manière dont cette recomposition de l’offre éducative affecte les trajectoires scolaires individuelles et l’évolution de la stratification sociale, seront bienvenus. L’importance éventuelle que revêt, aux yeux de ces acteurs réformateurs, l’objectif de réduction des inégalités scolaires, ou au contraire l’impensé qu’il constitue pour ces derniers, constitueront aussi des pistes de réflexion.


Les articles, de 50 000 signes maximum (espaces, notes et bibliographie compris), accompagnés d’un résumé de 150 mots et de 5 mots-clés en français et en anglais, devront parvenir sous forme électronique (format Word, cf. indications ci-dessous pour la mise en forme des textes) aux coordinateur·trice·s du numéro avant le 28 février 2022 aux adresses suivantes :

  • Caroline Bertron : carolinehs.bertron[at]gmail.com
  • Samuel Bouron : samuel.bouron[at]dauphine.psl.eu
  • Marie Carcassonne : marie.carcassonne[at]dauphine.psl.eu
  • Sabine Rozier : sabine.rozier[at]dauphine.psl.eu
  • Elise Tenret : elise.tenret[at]dauphine.psl.eu
  • Marie Trespeuch : marie.trespeuch[at]sorbonne-universite.fr

Les consignes relatives à la mise en forme des manuscrits sont consultables sur le site de la revue : http://tt.hypotheses.org/consignes-aux-contributeurs/mise-en-forme

terrains & travaux accueille par ailleurs des articles hors dossier thématique (50 000 signes maximum), qui doivent être envoyés à :

  • Vincent-Arnaud Chappe : vincent-arnaud.chappe[at]ehess.fr
  • Élise Palomares : elise.palomares[at]univ-rouen.fr
  • Milena Jakšić : milenajaksic[at]gmail.com

Pour plus de détails, merci de consulter le site de la revue : http://tt.hypotheses.org

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Appels à projets de l’Université franco-allemande – UFA

L’Université franco-allemande – UFA ouvre des appels à projets à l’attention des étudiants de master 2, doctorants ou post-docs.

1- Aide au financement d’un projet d´école d´été ou d´atelier de recherche

2 – Programme de soutien à l´organisation de manifestations scientifiques franco-allemandes

Ce programme de soutien se décline sous la forme d´un appel à projet blanc et de deux appels à projets ciblés :

  1. consacré au changement climatique et au développement durable ;
  2. consacré à l´intelligence artificielle et ses enjeux en Europe.

Montant : de 2 000 € à 15 000 €.

Modalités:
Pour pouvoir bénéficier du soutien de l´UFA, le projet doit être monté au minimum par 2 partenaires, l´un français et l’autre allemand et s´adresser à de jeunes chercheurs (étudiants de master 2, doctorants ou post-docs).
Programme de soutien léger et souple, ouvert à toutes les disciplines.

Pour tout complément d´information :  Madame Maria Leprévost +49 681 938 12 105, leprevost [a] dfh-ufa.org

Appel à projets climat
Formulaire de demande_Climat

Appel à projets Intelligence artificielle
Formulaire de demande IA

Appel à projets Manifestation scientifique
Formulaire de demande Intelligence artificielle

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Participez à une courte enquête en ligne sur votre usage de la forêt et vos perceptions des tiques !

Dans le cadre d’un projet de recherche scientifique du laboratoire CEMOTEV de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines sur les usages des forêts en France et la maladie de Lyme, nous proposons de participer à une enquête en ligne qui dure environ 15 minutes (pour les personnes majeures en France Métropolitaine). Cette enquête nous permettra d’en savoir davantage sur votre usage de la forêt, sur votre perception de la présence de tiques et de la maladie de Lyme ainsi que les comportements que vous adoptez face à ces risques.

Les résultats de cette enquête seront utilisés pour améliorer notre compréhension des comportements en forêt et pour proposer des instruments efficaces de sensibilisation et de lutte contre ces risques. Les données sont anonymes et protégées.

Votre participation est très précieuse pour notre étude, et nous vous serions également très reconnaissants si vous pouviez la diffuser autour de vous via le lien ci-dessous ou le QR code. 

Participez à notre enquête sur vos sorties en forêt et votre perception du risque des tiques et diffusez la pour nous aider dans notre projet de recherche !

L’équipe de recherche “Environnement & Santé” du laboratoire CEMOTEV

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appel à candidatures pour le Salon « Innovatives SHS » organisé en mai 2022

Le salon Innovatives SHS promeut l’innovation et la valorisation des résultats issus des laboratoires de sciences humaines et sociales revient en 2022, du mercredi 18 au jeudi 19 mai sur le thème « SHS et IA ». A cette occasion, un appel à candidatures est lancé pour permettre aux scientifiques de témoigner de l’extrême diversité des savoir-faire des unités SHS en matière de valorisation : Outils logiciels ou multimédia, innovation de transfert, de rupture ou d’usage, de connaissances.
Date limite de candidatures : 30 septembre 2021

Pour en savoir plus

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APPEL À MANIFESTATION D’INTÉRÊT RnMSH – HS3PE-CriSE

Appel à manifestation d’intérêt (AMI) proposé par le Réseau national des MSH dans le cadre du dispositif HS3PE-CriSE- Crises sanitaires et environnementales – Humanités, sciences sociales, santé publique.

Le Réseau national des Maisons des Sciences de l’Homme (RnMSH) lance un appel à manifestation d’intérêt (AMI) dans le cadre de l’accompagnement de la coordination nationale sur les crises sanitaires et environnementales initiée par le CNRS et l’Inserm HS3PE-CriSE.

Voir l’information sur le site internet du RnMSH

La coordination nationale HS3PE-CriSE (Crises sanitaires  et  environnementales – Humanités, sciences sociales, santé publique) vise à faire émerger des initiatives structurantes dans le domaine en SHS et en santé publique autour de la recherche sur la Covid-19 mais aussi sur les thématiques plus larges des crises sanitaires et environnementales, avec pour objectif de favoriser les collaborations intra SHS mais également entre le domaine SHS et les autres sciences.

Périmètre de l’appel à manifestation d’intérêt

Le RnMSH lance un appel à manifestation d’intérêt dont l’objectif est d’apporter un soutien à des projets émergents ou structurants en relation avec les thématiques « crises  sanitaires  et  environnementales« , englobant des recherches allant donc potentiellement au-delà de la crise liée au Covid-19 et incluant éventuellement des disciplines hors SHS.
Le financement apporté par le RnMSH doit permettre d’impulser une dynamique aboutissant, dans la mesure du possible, à une réponse à un AAP de plus grande envergure.

Candidature à l’appel à manifestation d’intérêt : critères d’éligibilité, modalités, calendrier

Porteur

Le projet, porté par un personnel scientifique permanent du domaine des SHS rattaché à une institution publique française, doit être validé par la direction de la MSH du site à laquelle le porteur ou la porteuse du projet est rattaché.e.

Critères privilégiés par le Comité d’évaluation

Seront privilégiés les projets pluri et interdisciplinaires, impliquant des chercheurs rattachés à plusieurs MSH, innovants et/ou structurants d’un point de vue thématique et/ou méthodologique, avec une ouverture internationale. Seront privilégiés également les projets « incubés » au sein des MSH, s’appuyant sur les plateformes et ressources des MSH (dispositifs d’appui et d’accompagnement, plateformes technologiques, d’expertise de données…).

Le projet ne doit pas forcément répondre à l’ensemble des critères mais au minimum à un ou deux de ces éléments.

Enfin, les projets souhaitant postuler doivent s’engager à respecter les principes de la science ouverte (plan de données de la recherche CNRS 2020).

Les porteurs des projets doivent prendre contact dès que possible avec les directions des MSH concernées pour les informer de leur projet et obtenir leur validation pour le dépôt de celui-ci.

Les projets sélectionnés recevront un financement de 18 mois (10/2021 – 03/2023) d’un maximum de 20 000€.
Les dépenses financées ne peuvent concerner que des missions, du fonctionnement, de l’équipement et des prestations de services/CDD courts en lien avec le projet. Aucune indemnisation de stagiaire de Master ne pourra être financée. Aucun frais de gestion ne pourra être prélevé.

Calendrier

Lundi 7 juin : lancement de l’AMI.
Lundi 9 juillet à minuit : date limite de dépôt des projets avec validation de la MSH, via la signature du formulaire de dépôt de soumission (cf le texte de l’appel disponible au télechargement).
13 juillet : retour aux porteuses et porteurs.
Octobre 2021 : transfert des moyens financiers.

Appel complet & formulaire de soumission

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Appel à contribution Revue Française de Gestion : Les nouveaux enjeux de la souveraineté – 30/05/2021

La Revue Française de Gestion vous propose un appel à contributions sur le thème : Les nouveaux enjeux de la souveraineté : entreprises, société, académiques

Rédacteurs invités :

  • Yoann Bazin, EM Normandie
  • Julienne Brabet, Université Paris Est Créteil, IRG
  • Rémi Jardat, Université Evry-Val d’Essonne, LITEM 

Contributions attendues pour le 30 mai 2021.

Consulter l’appel : https://rfg.revuesonline.com/actualites/310-appel-a-contribution-2021-les-nouveaux-enjeux-de-la-souverainete

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Appels à articles – La Nouvelle Revue du Travail (NRT)

La NRT propose deux nouveaux appels à articles :

Professionnel.le.s non enseignant.e.s et division du travail éducatif

Date limite : 30 juin 2021

Télécharger l’appel :


Transformations du capitalisme et recompositions du système des relations professionnelles depuis un quart de siècle

Date limite : 30 octobre 2021

Télécharger l’appel :

Appels à articles – La Nouvelle Revue du Travail (NRT) Lire la suite »

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