Appel SHS

Appel à projets 2023 de l’Objet Interdisciplinaire SCult

Appel à projets 2023 de l’Objet Interdisciplinaire SCult

Informations

L’Objet Interdisciplinaire SCult (« Science(s) et Culture(s) : Sociétés de la connaissance et médiation des savoirs ») lance son premier appel à projets.

Dans le cadre de sa programmation scientifique 2023, SCult a décidé d’accompagner des projets de recherche pour un montant maximal de 5000 €. L’appel est ouvert à l’ensemble des doctorants, chercheurs et enseignants-chercheurs des laboratoires associés à cet OI.

Conditions d’éligibilité

Le projet devra s’inscrire dans une démarche interdisciplinaire et porter sur au moins l’un des axes problématiques du programme SCult :

  • Culture, vectrice et médiatrice des savoirs
  • Médias comme filtres, relais ou prescripteurs des connaissances scientifiques
  • Étude des rapports entre savoirs et pouvoirs
  • Épistémologie de la connaissance, des enjeux de transmissions scolaires et universitaires des savoirs scientifiques
  • Construction des savoirs, des conditions matérielles et symboliques de production

Calendrier

Les dossiers de candidatures sont à retourner au plus tard le 8 septembre 2023 à l’adresse suivante : oi.scult@universite-paris-saclay.fr 

Une réponse sera adressée aux porteurs de projets au plus tard le 6 octobre 2023.

En guise de complément d’information, vous pouvez consulter :
Le document de l’appel à projets
Le document de stratégie de recherche de l’OI

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Appel à contributions pour terrains & travaux : Rétribuer, inciter, dédommager

Appel à contributions pour terrains & travaux : "Rétribuer, inciter, dédommager : les compensations financières et matérielles dans les enquêtes"

INFORMATIONS

La revue terrains & travaux, accompagnée par la MSH Paris-Saclay, lance un appel à contributions pour son dossier thématique : « Rétribuer, inciter, dédommager : les compensations financières et matérielles dans les enquêtes ».

Date de clôture de l’appel : 16 février 2024

Télécharger ici l’appel au format PDF

Présentation de l'appel

Alors que l’argent a longtemps été un impensé dans la pratique de l’enquête en sciences sociales, de nombreuses recherches questionnent aujourd’hui ses multiples usages, ses significations, ses effets, mais aussi ses frontières avec d’autres formes de rétributions matérielles. Plusieurs expressions existent pour qualifier ces pratiques diversifiées : payer, rétribuer, rémunérer, inciter ou « incentiver », dédommager, compenser, fidéliser, remercier les enquêté·es. On peut aussi penser aux nombreuses pratiques de don ou contre-don engagées à ces mêmes fins et qui ont une dimension matérielle : offrir un café, payer des services (course en taxi, location d’un logement, repas au restaurant…) ou offrir les siens (woofing par exemple). Pourtant, peu de travaux ont été menés à ce jour pour proposer une réflexion collective, systématique et pluridisciplinaire sur ces pratiques.

Au-delà des enquêtes en sciences sociales, la rétribution des enquêté·es est également un enjeu dans d’autres domaines académiques, en sciences du vivant par exemple. Elle l’est aussi dans le cas de la recherche clinique, et c’est par ailleurs une pratique à l’œuvre dans des univers professionnels lucratifs plus éloignés de la production scientifique (enquêtes marketing…). Il semble dès lors intéressant d’examiner aussi la rencontre entre ces différentes pratiques, issues d’univers variés, en étudiant les conditions de circulation ou de cloisonnement des pratiques de rétribution d’un univers à l’autre, ainsi que les modalités et les effets de leur appropriation.

Dans cette perspective, ce numéro de terrains & travaux entend réunir des contributions en sciences sociales consacrées aux incidences de l’argent et des autres rétributions matérielles sur les situations d’enquête. Il rassemblera ainsi non seulement des contributions de nature méthodologique et épistémologique (dans lesquelles les auteurs et autrices mettront au cœur de l’analyse leur propre expérience réflexive de la rétribution des enquêté·es), mais aussi des contributions originales à partir de recherches prenant ces diverses enquêtes pour objet.

Les propositions attendues pour ce dossier présenteront de manière problématisée les circulations d’argent et d’autres biens matériels à destination des personnes participant aux enquêtes quantitatives et qualitatives. Il s’agira, sur la base de matériaux empiriques explicitement présentés et intégrés à la démonstration, d’examiner les implications méthodologiques, analytiques, éthiques, voire sociales de ces rétributions. Ces implications peuvent renvoyer à un ou plusieurs des axes suivants.

1. Rétribuer pour recruter

Un premier axe renvoie à ce que l’annonce d’une rémunération fait au recrutement des enquêté·es. Dès lors que la rémunération des enquêté·es se pratique dans les univers lucratifs (enquêtes de consommation, démarchages commerciaux…) ou dans ceux de recherche appliquée (études cliniques…), une question devient de plus en plus prégnante dans des mondes traditionnellement moins familiers de cette pratique : faut-il dédommager des enquêté·es pour garantir un bon taux de participation à l’enquête ? Est-ce d’autant plus nécessaire qu’on cherche à avoir accès à certains groupes fortement précarisés, à faibles revenus ou difficiles à joindre ? Inversement, dans quelle mesure la rétribution des enquêté·es présente-t-elle le risque d’introduire des biais dans leur recrutement ?

Il pourra s’agir ici de réfléchir également à la question de la rétribution des enquêté·es en la liant étroitement à l’examen des caractéristiques des enquêtes (pourquoi la rémunération paraît-elle plus ajustée à certains types d’enquêtes qu’à d’autres ?). On pourra aussi réfléchir à la façon dont la rétribution est pensée pour résoudre certaines difficultés identifiées par les concepteurs des enquêtes, qu’il s’agisse de difficultés matérielles (comment faire transiter de telles rétributions ?), de difficultés symboliques (comme s’affranchir de la souillure de l’argent ?), ou encore de difficultés légales (comment rétribuer sans salarier ?). C’est ainsi qu’on examinera le marquage social de la rétribution à travers la forme qui lui est donnée (bons cadeaux, chèques, dons en nature…). Enfin, on pourra étudier ici comment les pratiques de rétribution s’articulent avec d’autres leviers incitatifs déjà mobilisés (portée de la recherche sur la situation personnelle de l’enquêté·e, sens de l’intérêt public, intérêt intellectuel, moment d’introspection, etc.).

2.  Les effets sur la relation d’enquête et la qualité des données

Au-delà des effets que la rétribution peut avoir sur la structure de la population enquêtée, en accentuant par exemple la participation de certaines populations, ce deuxième axe propose d’examiner les effets de la rétribution sur la relation d’enquête et sur la « qualité » des données collectées.

Pendant l’enquête, certains échanges matériels peuvent clarifier et fluidifier les relations avec les enquêté·es. Mais ils peuvent également introduire de la gêne, des biais, porter à confusion ou encore donner prise à l’affirmation de rapports de domination entre enquêteur·trices et enquêté·es. Alors que l’effet de ces rétributions dépend des conditions sociales de la population enquêtée (on ne rétribue pas de la même manière les personnes sans domicile et les classes supérieures), comment peut-on déceler ces effets et le cas échéant, comment les enquêteur·trices composent-ils et elles avec eux ?

Ensuite, la rétribution peut modifier le rapport de l’enquêté·e à l’enquête. Les enquêté·es auraient-elles et ils, par exemple, consacré le même temps, la même énergie sans dédommagement prévu ? Se seraient-elles et ils autrement impliqué·es, appliqué·es ? Peut-on constater une accentuation de la désirabilité sociale, poussant l’enquêté·e à la dissimulation ou à la modification des informations fournies ? Il apparaît donc nécessaire de s’interroger aussi sur ce que la rétribution produit sur les motivations et sur le contenu des réponses apportées par les enquêté·es. Peut-on ainsi parler d’un contexte de professionnalisation de la condition de l’enquêté·e ? Si l’on rétribue le temps que ceux-ci consacrent à l’enquête, cette participation ne serait-elle pas assimilée à une relation salariale ou commerciale ? Et dans quelle mesure les rétributions monétaires altèrent-elles le consentement et la libre participation des enquêté·es ?

3. Quelles spécificités du monde académique ?

Le risque de biais de recrutement comme celui de l’altération de la qualité des données concernent a priori toutes les enquêtes, qu’elles émanent du monde académique ou des autres secteurs (sondages, marketing…). À cet égard, les deux premiers axes de l’appel seront déjà l’occasion d’interroger les spécificités du monde académique dans la prise en considération de ces enjeux.

Par ailleurs, le recours aux dédommagements pose de manière impérative la question du financement des enquêtes. On pourrait donc réfléchir, d’abord, en termes de différence de moyens entre ceux dont dispose la recherche publique et ceux dont bénéficient les instituts privés de sondages ou les enquêtes d’opinion financées par certain·es acteur·rices du monde économique. Quel est le modèle économique de ces organismes privés ? La pratique de la rémunération est-elle compatible avec les contraintes financières du monde scientifique ? Est-il à la portée de toutes et tous ou est-il l’apanage de projets de recherche de grande ampleur bénéficiant de financements importants ? Quel serait, si le recours aux rétributions venait à se développer, le devenir des recherches de moindre envergure ou plus faiblement dotées, comme c’est le cas par exemple des thèses ? Quel serait ainsi l’impact plus général de ces pratiques sur la demande et les sources de financement ainsi que sur l’organisation de la recherche ? 

De telles considérations conduisent donc à réfléchir aussi aux effets plus structurels que peut avoir l’essor de ces pratiques sur le champ académique. Dans quelle mesure la rétribution des enquêté.es, jusqu’ici souvent perçue comme contraire aux canons de la recherche en sciences sociales, mais usuelle dans d’autres domaines comme l’épidémiologie, tend-elle à s’imposer comme nouvelle norme dans les pratiques d’enquête ? Et dans ce cas, quelles sont les forces qui œuvrent en sa faveur ou, à l’inverse, les résistances qui peuvent s’exprimer et les arguments qui sont alors mobilisés ?

Ce numéro réunira des articles empiriques originaux de sciences sociales (sociologie, science politique, anthropologie, économie, géographie, histoire, etc.). La mise en regard de plusieurs disciplines y sera particulièrement encouragée afin d’enrichir la réflexion sur ces usages mais aussi sur les normes scientifiques qui les bornent, parfois à des degrés divers. Dans la même perspective, les études de cas internationaux seront aussi les bienvenues.

Consignes de soumission

Les articles, de 50 000 signes maximum (espaces, notes et bibliographie compris), doivent être accompagnés de 5 mots-clés et d’un résumé de 150 mots (en français et en anglais).

Ils devront parvenir aux coordinatrices du numéro avant le 16 février 2024 aux adresses suivantes :

Les consignes relatives à la mise en forme des manuscrits sont consultables sur le site de la revue : http://tt.hypotheses.org/consignes-aux-contributeurs/mise-en-forme

terrains & travaux accueille par ailleurs des articles varia, hors dossier thématique (50 000 signes maximum), qui doivent être envoyés à :

 

[Photo : Towfiqu barbhuiya sur Unsplash]

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Appel à articles de La Nouvelle Revue du Travail : Le travail, espace politique

Appel à articles de La Nouvelle Revue du Travail : Le travail, espace politique

INFORMATIONS

La Nouvelle Revue du Travail (NRT) diffuse un nouvel appel à articles accessible ici.

Le thème donné est :
Le travail, espace politique
, corpus coordonné par Carlotta Benvegnù, Paul Bouffartigue, Saphia Doumenc et Baptiste Giraud.

La limite d’envoi des propositions d’article est fixée au 19 janvier 2024.

Merci d’envoyer vos propositions à cette adresse (uniquement) : nrtravail@gmail.com

Retrouvez l’appel dans sa version PDF.

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Appel à projet amorçage « sciences et/en société » (InSHS)

Appel à projet amorçage « sciences et/en société » (InSHS)

INFORMATIONS

Afin de favoriser ce type de méthodologie, l’InSHS met en place à titre expérimental un appel à projet destiné à faire émerger et à financer environ une demi-douzaine de projets en sciences partagées.

Contact pour toute question et envoi des candidatures : pascale.goetschel[at]cnrs.fr (Directrice adjointe scientifique de la section 33 « Mondes modernes et contemporains / Sciences et sociétés »).

Date limite de dépôt des candidatures : 8 juin 2023.

Fiche de l'appel

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Appel à propositions pour l’accueil de colloques et manifestations scientifiques 2023-2024 (IEA de Paris)

Appel à propositions pour l’accueil de colloques et manifestations scientifiques 2023-2024 (IEA de Paris)

INFORMATIONS

L’Institut d’études avancées de Paris lance un appel dans l’objectif d’accueillir des manifestations scientifiques. Les membres de l’Université Paris-Saclay sont notamment éligibles à ce dispositif pour un total de 3 journées (ou 6 demi-journées) sur l’année.

Les manifestations peuvent prendre la forme de colloques, journées d’étude et séances de séminaire portant sur toutes thématiques au sein des sciences humaines et sociales, ou en lien avec elles. Une préférence sera donnée aux évènements internationaux et interdisciplinaires.

Période d’accueil :

  • Du 7 septembre au 15 décembre 2023
  • Du 9 janvier au 26 avril 2023

Date limite d’envoi des propositions : 23 mai 2023.

NB : Les membres de l’UPSaclay doivent informer Delphine Placidi-Frot et Carelle Malung de leur candidature.

Lien vers les photos des salles

EN SAVOIR PLUS

Modalités d’accès

Lien vers le site

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Appel à projets Prématuration : « Poc in labs » (Université Paris-Saclay)

Appel à projets Prématuration : « Poc in labs » (Université Paris-Saclay)

INFORMATIONS

L’Université Paris-Saclay lance la 10ème édition de l’appel à projets Prématuration « Poc in labs ».
Pour cette 10ème année, Poc in labs sera associé aux Graduates Schools.
L’AAP se déroulera selon le calendrier suivant :
– Ouverture : lundi 6 mars 2023.
– Date limite de soumission : jeudi 13 avril 2023 à 17 heures.

Adressé aux porteurs de résultats de recherche issus des laboratoires du périmètre de l’Université Paris-Saclay, Poc in labs vise à :

  • Développer de la preuve de concept des projets (POC) ;
  • Produire une stratégie de valorisation ;
  • Proposer une équipe pour la maturation du projet.

Les lauréats bénéficient notamment d’un soutien au transfert, opéré par les partenaires : prestations études marché/juridique-PI via la SATT Paris-Saclay, accompagnement au Design avec le Design Spot de l’Université Paris-Saclay, formation à la création d’entreprise proposée par IncubAlliance.

Les projets lauréats seront financés sur une durée de 6 à 12 mois, amenés à entrer en phase de prématuration dès septembre 2023.

Pour rappel, tout porteur de projet souhaitant candidater doit prendre contact avec la structure de valorisation de son établissement.

L’ensemble des informations nécessaires à la candidature sont disponibles sur la page dédiée de l’Université Paris-Saclay.

Documents

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PEPR « Sous-sol, bien commun »

PEPR « Sous-sol, bien commun »

INFORMATIONS

Ce PEPR (programme et équipement prioritaire de recherche) exploratoire, piloté par le CNRS et le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières), a été lancé en juillet 2022 pour une durée de 7 ans (budget global : 71,4 M €).

Il est co-dirigé par Olivier Vidal (CNRS/INSU), Pierre Nehlig (BRGM) et Xavier Arnauld de Sartre (CNRS/INSHS).

En sont membres le CNRS et le BRGM, l’IFPEN, les Mines Paris, Sciences Po Bordeaux, et les Universités de Lorraine, Paris-Saclay, Pau et Pays de l’Adour, Savoie-Mont-Blanc, Strasbourg et Toulouse.

Thierry Doré, Vice Président Recherche de l’Université Paris-Saclay, est membre du Comité de Pilotage (COPIL), et Michel Guidal, Vice-Président adjoint pour les Sciences et l’Ingénierie, membre supplément au titre de l’Université Paris-Saclay.

Les ambitions scientifiques du projet sont les suivantes :

  1. La définition des conditions d’utilisation responsable et durable du sous-sol en fonction des différents scénarios d’évolution économique, énergétique et technologique et en prenant en compte les trajectoires socio-techniques ;
  2. La mise en place d’un cadre visant à limiter les conflits et les impacts, à définir les stratégies d’étude et de conservation des archives contenues dans le sous-sol, à créer les conditions d’un dialogue et d’arbitrage autour des activités du sous-sol et à développer-dynamiser les actions de protection-valorisation du sous-sol comme patrimoine commun ;
  3. La structuration d’une large communauté existante de chercheurs en sciences de la Terre et de l’environnement, en sciences sociales, environnementales, économiques et juridiques ;
  4. Et d’une communauté encore plus large impliquant les citoyens, les décideurs et les industriels autour de ces enjeux.

Les « projets ciblés » (qui représentent plus de la moitié du budget global) sont actuellement ouverts à des équipes qui n’auraient pas été recensées dans la phase de montage du projet, durant laquelle les différentes communautés universitaires n’avaient pas eu le temps d’être consultées/informées. Dans un second temps, des projets ouverts seront financés (via des appels à projets (AAP) et des appels à manifestation d’intérêt (AMI)) sur des thématiques transversales, une fois que les « projets ciblés » auront démarrés (démarrage à partir de juillet 2023).

Les équipes de recherche en SHS sont particulièrement recherchées, pas simplement comme force d’appoint, comme c’est parfois le cas dans les appels interdisciplinaires, mais véritablement comme piliers des axes identifiés :

  • Gouvernance des controverses
  • Dimensions juridiques, socio-économiques et écologiques
  • Implication citoyenne, acceptabilité sociale et débats sur les usages du sous-sol (gaz de schistes, stockages des déchets radioactifs ou de CO2, géothermie profonde, etc.)
  • Usage des archives géologiques et archéologiques comme patrimoine commun

Les unités de recherche ou chercheurs intéressés à participer à ce PEPR sont invités à prendre d’urgence contact avec la Vice Présidence Recherche SHS, ou avec la MSH Paris-Saclay, qui fera suivre.

*Texte sourcé du communiqué de Delphine Placidi-Frot, Vice Présidente Adjointe Recherche SHS de l’Université Paris-Saclay, du 20 janvier 2023.

Documentation du PEPR

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Appel à projets 2023 thèses AID

Appel à projets 2023 thèses AID

INFORMATIONS

L’appel à projets 2023 thèses de l’AID est sorti (thèses cofinancées par l’Agence de l’Innovation de Défense placée sous la responsabilité du Délégué général pour l’armement du ministère des Armées).

Vous trouverez les informations sur les domaines scientifiques en suivant ce lien.

Chaque année l’AID met à jour sa liste des thématiques prioritaires. Les thématiques sont réparties en 14 domaines chacun donnant lieu à une fiche disponible en téléchargement.

Les sous-thématiques identifiées pour le volet SHS sont :

  • l’enrichissement des approches théoriques et conceptuelles pour l’ingénierie de l’information,
  • le management de l’innovation.

La date limite de demande de numéro de dossier au responsable AID est le 28/02/2023. La date limite de dépôt des dossiers finalisés est le 21/04/2023.

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Appel à communications : Nouveaux enjeux liés aux usages des applications et des services mobiles : Quelles opportunités et quels risques ? (ACFAS)

Appel à communications : Nouveaux enjeux liés aux usages des applications et des services mobiles : Quelles opportunités et quels risques ? (ACFAS)

INFORMATIONS

Dans le contexte actuel de transformation numérique de notre société où les usages quotidiens des applications mobiles (tant par les individus que par les entreprises ou les États/Gouvernements) ont dépassé les prévisions les plus optimistes, il importe d’interroger les nouveaux enjeux et questionnements politiques, économiques, technologiques, éthiques, juridiques et culturels que soulève le recours massif à ces applications mobiles, tout en évaluant et en anticipant leurs impacts actuels et futurs sur la société, notamment en termes d’opportunités et de risques.

Au regard de tous ces enjeux, les conférences/communications qui seront présentées dans le cadre du colloque tenteront d’apporter des éléments de réponses aux questions suivantes :

1) En quoi, les applications mobiles (servicielles) reflètent-elles ou impactent-elles (positivement/négativement et durablement) nos modes de vie ainsi que l’évolution de nos sociétés ?

2) Dans quelle mesure peuvent-elles constituer un appui à un changement comportemental dans nos rapports (individuel et collectif) à la technologie et dans notre manière de concevoir le progrès technologique et ses impacts potentiels sur notre société et sur le développement, dans une perspective durable ?

3) Enfin, qu’en est-il du rôle des pouvoirs publics face aux défis de régulation que posent ces dispositifs (sociotechniques) mobiles (qui ne sont pas neutres) et leurs développeurs ou fabricants par rapport à l’intérêt public, à l’épanouissement des citoyens qui les utilisent et à un développement numérique généralisé de la société qui soit plus inclusif, durable et équitable pour tous ?

Cet appel est lancé conjointement par des chercheurs de l’Université du Québec à Montréal et de l’Université Paris-Saclay.

Date limite de proposition : 20 février 2023.

L’adresse à laquelle envoyer vos propositions se trouve dans le document d’appel ci-dessous.

Appel à communications

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Appel à articles de La Nouvelle Revue du Travail : L’individualisation de la formation professionnelle

Appel à articles de La Nouvelle Revue du Travail : L’individualisation de la formation professionnelle

INFORMATIONS

La Nouvelle Revue du Travail (NRT) diffuse un nouvel appel à articles accessible ici.

Le thème donné est :
L’individualisation de la formation professionnelle
, corpus coordonné par Aurélie Gonnet, Prisca Kergoat et Emmanuel Quenson.

La limite d’envoi des propositions d’article est fixée au 1er septembre 2023.

Merci d’envoyer vos propositions à cette adresse (uniquement) : nrtravail@gmail.com

Retrouvez l’appel dans sa version PDF.

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