Thierry Cayatte

Séance inaugurale du séminaire Patrimoine et patrimonialisation – 22/01/2018

Ce séminaire du Centre d’Histoire Culturel des Sociétés Contemporaines est organisé en collaboration avec la MSH Paris-Saclay et le Comité d’histoire du Ministère de la Culture.

Le séminaire se propose de sonder ainsi les phénomènes de patrimonialisation, passés et présents, leurs ressorts, leur mode opératoire et leurs implications. A la lumière de ces différents déplacements du regard, il invite à interroger les mobilisations de l’histoire, traces du passé et récits collectifs, dans ces processus de valorisation et d’institutionnalisation irréductibles à la seule dimension mémorielle. Il ambitionne pour cela d’accueillir des travaux divers par leurs objets et leurs ancrages disciplinaires afin d’opérer une série de déplacements du regard porté sur les phénomènes patrimoniaux, historiques et contemporains (du XIXe au XXIe siècle) dans leur extrême diversité. L’ambition est de renouveler le regard porté sur ceux-ci en faisant de la mise au jour des ressorts sociaux et économiques du processus de patrimonialisation le levier de leur mise en intelligibilité critique. Il s’agit par conséquent de saisir les objets patrimonialisés comme des «inventions» et d’expliciter les stratégies qui ont porté leurs créateurs, individus ou groupes, à les faire exister et reconnaître comme tels.

Dans le cadre de la séance inaugurale du séminaire Patrimoine & patrimonialisation. Les inventions du capital historique XIXe – XXIe Siècle, nous aurons le plaisir d’accueillir Grégory Quénet pour une conférence intitulée Histoire environnementale et patrimoine le lundi 22 janvier à 16h00 à l’ENS Paris-Saclay (Bâtiment Laplace – Salle Renaudeau)

Plus d’infos sur http://www.chcsc.uvsq.fr/centre-d-histoire-culturelle-des-societes-contemporaines/langue-fr/actualites/seminaires/patrimoines-et-patrimonialisation-les-inventions-de-capital-historique-xixe-xxie-siecles-408138.kjsp?RH=1295348813643

 

Programme 2018 :

Lundi 5 février. LE PATRIMOINE AUDIOVISUEL
Matteo Treleani, Maître de conférences en SIC, Université Lille 3 :
Le patrimoine audiovisuel à l’ère de l’accessibilité immédiate à distance
Thibault Le Hégarat, Post-doctorant en Histoire contemporaine, CHCSC–UVSQ : La télévision : un acteur de la patrimonialisation?

Lundi 5 mars. PATRIMONIALISATION, ENJEUX JURIDIQUES ET SOCIO-ÉCONOMIQUES
Line Touzeau, Maître de conférences en Droit public, Université de Reims :
Le droit, soutien ou frein à la patrimonialisation ?
Stéphane Olivesi, Professeur en SIC, CHCSC–UVSQ :
L’invention des patrimoines vitivinicoles

Lundi 19 mars. PATRIMOINE ET IDENTITÉ
Michel Vergé-Franceschi, Professeur d’histoire moderne, Université François Rabelais -Tours :
Pasquale Paoli. Occultation et renaissance d’une figure patrimoniale
Adama Djigo, Historienne, chercheuse au Centre d’études africaines de Leiden !
Patrimoine national et patrimonialisation au Sénégal

Lundi 14 mai. MUSIQUE ET PATRIMOINE
Philippe Le Guern, Professeur en SIC, Université de Nantes :
La patrimonialisation des musiques actuelles et populaires
Bruno Moysan, Musicologue – CHCSC :
Le rapport de Liszt au passé : le patrimoine à l’œuvre, le patrimoine dans l’œuvre

Mardi 29 mai. PATRIMOINE ET URBANISME
Loïc Vadelorge, Professeur d’histoire contemporaine, Université  Paris-Est  Marne-
la-Vallée -ACP :
Diagnostic historique et histoire urbaine
Emmanuel Amougrou,Sociologue HDR, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture Paris La Villette – LET :
Processus de patrimonialisation et dévoilement des enjeux urbains contemporains

Lundi 11 juin. PATRIMOINE ET CULTURES CONTESTATAIRES
Sophie Leterrier, Professeure d’histoire contemporaine, Université d’Artois :
Les chansons populaires de la métropole lilloise au XIXe  siècle : un angle mort du patrimoine musical?
Anna Trespeuch-Berthelot, Agrégée d’histoire, CHCSC :
La patrimonialisation d’un mouvement subversif : l’Internationale Situationniste

 

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LabexMed recrute un ingénieur de recherche en production, traitement et analyse de données – 5/02/2018

Dans le cadre de la Très Grande Infrastructure de Recherche PROGEDO et de la mise en place de la Plateforme Universitaire de Données d’Aix-Marseille Université, LabexMed recrute un ingénieur de recherche en production, traitement et analyse de données.

 

Poste contractuel sur budget de LabexMed, 1 an renouvelable une fois.

Catégorie A, ingénieur de recherche (BAP D) – doctorat en SHS

Quotité 100%

Localisation du poste : Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme – USR 3125, Aix en Provence

 

Télécharger la fiche de poste : LabexMed_Fiche de poste IGR_PROGEDO

 

CV et lettre de motivation à adresser à Blandine Descamps-Julien, chef de projet LabexMed, blandine.julien@univ-amu.fr

Date limite de dépôt des candidatures : 5 février 2018 – 17h

 

Les candidats retenus pour une audition seront informés par mail dans les plus brefs délais.

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Appel à communications – École d’été « Mass Culture : New Approaches, New Issues » – 23/03/2018

Le Centro interuniversitario di storia culturale (Université de Padoue), le Centre historique des sciences de la culture (Université de Lausanne) et le CHCSC, réunis au sein du réseau metis, organisent leur deuxième école d’été du 3 au 7 septembre prochain à Versailles/Saint-Quentin-en-Yvelines ouverte aux étudiants, du Master au post-doctorat.

 

Culture de masse : nouvelles approches, nouveaux enjeux (XIXe-XXIe siècles)

Après l’édition 2016 de l’école d’été consacrée aux liens entre médias et politique de la Révolution française à nos jours, le thème proposé cette année est “Culture de masse : nouvelles approches, nouveaux enjeux (XIXe-XXIe s.) ». Il s’agit de s’interroger, dans une démarche comparative et transnationale, sur les sources, les archives et les approches innovantes qui peuvent permettre de réinterroger la notion de culture de masse comme objet d’histoire. La dimension internationale de l’école d’été souhaiterait favoriser les discussions entre différentes historiographies sur le sujet et la comparaison entre plusieurs contextes historiques et plusieurs espaces. Les réflexions méthodologiques seront particulièrement appréciées afin de mesurer les apports que peuvent offrir par exemple les humanités numériques ou bien une approche interdisciplinaire de la recherche.

 

Candidatures
L’école d’été est ouverte à un maximum de 15 étudiant/es du M2 au post-doctorat. Une bonne maîtrise de l’anglais et au moins passive du français est demandée. Les personnes intéressées sont invitées à candidater en envoyant un dossier composé des documents suivants:
-un CV académique (1 page)
-une présentation des recherches en cours précisant les sources mobilisées (1 page)
-une lettre de motivation.

Ces documents peuvent être soumis en anglais ou en français. Ils devront être envoyés dans un seul fichier pdf par mail  avant minuit le vendredi 23 mars 2018 à melodie.passemar@uvsq.fr

 

Pour consulter le texte complet de l’appel, cliquez ici

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Nouveau n° de la revue L’Homme & la Société : « L’Homme-Machine 1 »

Vient de paraître ! Le nouveau numéro (205) de la revue L’Homme & la Société

L’Homme-machine I – Le travailleur-machine

Coordonné par Florent LE BOT, Olivier DARD, Claude DIDRY, Camille DUPUY & Cédric PERRIN

La machine, l’automation, l’automatisation, l’ordinateur, le numérique, les nouvelles technologies sont de formidables générateurs à prophéties, annonçant, par exemple, avec l’« usine du futur » et la robotisation de l’industrie, la suppression d’un nombre considérable d’emplois, ou avec le numérique et l’Internet, la multiplication des pépites ou des licornes dans l’Eldorado des start-up. Ce dossier éclaire ces prophéties, leurs déploiements, leurs impasses et leurs contradictions. Mais en adoptant une perspective sociohistorique, la place de la machine dans le construit social (visible dans les sphères économique, politique mais aussi dans le champ du loisir en tant que
prétexte à re-création des forces de production) révèle la platitude idéologique d’une succession de « révolutions », industrielles hier, numériques aujourd’hui, qui font de chaque instant une grande transformation.
Vingt ans après leurs envolées lyriques sur la société numérique, les experts qui avaient chanté les louanges de la Silicon Valley ressortent du placard où les avait envoyés la crise des valeurs technologiques en 2000. Les « révolutions » industrielles s’enchaînent à un rythme toujours plus soutenu, en renvoyant sans cesse le présent dans un passé révolu, le travail et le salariat pouvant être pendant ce temps soumis aux vagues des « réformes structurelles » qui permettront aux entreprises de faire face à l’insoutenable incertitude de la rentabilité. Le progrès technique transforme les sociologues en voyants, penchant vers le pessimisme d’un « travail
en miettes », d’un monde toujours plus « sécuritaire », vers la joie de la libération du travail relayée par une multitude de « mouvements sociaux » promettant autant d’« interventions sociologiques » pour dépasser la grisaille du syndicalisme, ou la sobriété d’un revenu universel préfiurant la décroissance fiale. La presse se fait, quant à elle, régulièrement l’écho d’études sur le rôle présumé des machines en matière de destruction ou de création d’emploi. Les problématiques des conditions de travail, d’organisation du travail, du temps de travail, de la santé au travail entrent immédiatement en résonance avec le sujet. Nous interrogeons ici ces éléments avec une distance critique, distance prise avec la fascination pour l’Internet, le miracle de ces technologies de l’information qui, dès les années 1960, transforment le monde en un « village planétaire », le local en global, le travailleur en maker, etc.
L’Homme et la Société entend, avec «  Le travailleur-machine  », dégager la réflexion sur la technologie et la société de la chape de l’incessante nouveauté qui impose un futur sans avenir. Ce dossier s’inscrit dans la poursuite de deux précédents volumes intitulés « Les mille peaux du capitalisme », qui revendiquaient que le profi, la justifiation, le contrôle, la perpétuation et la prophétie constituaient le moteur du capitalisme.

Sur le site de l’Harmattan : http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=numero&no=58575&no_revue=20&razSqlClone=1

Sur le site de Cairn : https://www.cairn.info/revue-l-homme-et-la-societe.htm

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Workshop “Entre le Summer of Love et le Cordobazo” – 19/01/2018

Entre le Summer of love et le Cordobazo.
Conflits sociaux, jeunesse et défis culturels dans les Amériques : regards croisés et nouvelles approches

L’année 2018 attire l’attention des chercheurs, des anciens militants et, probablement, des jeunes à la recherche d’une source d’inspiration autour des manifestations de nature diverse qui (re)mettront en lumière les jours de mai ’68.
Dans ce contexte, l’importance indéniable de l’expérience parisienne pourrait, cependant, limiter les coordonnées de la réflexion collective, aussi bien dans sa localisation spatiale qu’en ce qui concerne la section chronologique d’un zeitgeist
contestataire à l’échelle globale.

Le but de cet atelier sera d’élargir la réflexion sur le moment historique de ’68, en ciblant les dynamiques sociales et culturelles des Amériques. Une approche plurirégionale et interdisciplinaire examinera l’irruption d’une génération fortement politisée et engagée avec des expériences culturelles contestataires.

 

Télécharger le programme : programme Workshop

 

Inscription gratuite et obligatoire sur : https://msh-paris-saclay.fr/event/workshop-summer-of-love-cordobazo/

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Appel à communications « Question(s) de méthode – La pluralité méthodologique dans les sciences sociales de l’Asie du Sud » – 9/04/2018

Dans le cadre du workshop qui se déroulera à l’ENS Paris-Saclay le 28 mai prochain, un appel à communications est lancé :

 

Question(s) de méthode – La pluralité méthodologique dans les sciences sociales de l’Asie du Sud

Ce workshop est consacré à la réflexivité des méthodes employées dans l’étude des sociétés sud-asiatiques. Nous appelons les jeunes chercheurs en sciences sociales engagés
dans des terrains en Asie du Sud à questionner la pertinence des méthodologies employées dans leurs recherches. Les interventions auront pour objet d’interroger avant tout la
spécificité des méthodes mobilisées par rapport à leur appartenance disciplinaire, de tester l’intérêt des approches mixtes et d’examiner les apports et les limites de méthodes
innovantes, comme celles apportées par le « Big Data ». Si ces questions sont régulièrement discutées au sein des sciences sociales, elles sont rarement directement associées à une
zone géographique en particulier, qui fait pourtant émerger des difficultés propres dans la collecte et le traitement des données, et qui seront abordées au cours de cette journée. Ce
workshop sera organisé par la Maison des Sciences de l’Homme Paris-Saclay en collaboration avec le GREThA et s’inscrit dans les réunions annuelles de l’Association
Jeunes Études Indiennes (AJEI).

Consulter le texte complet de l’appel : AJEI – MSH Paris Saclay workshop FINAL

Calendrier :
– 9 Avril 2018 : date limite de soumission du titre et du résumé de la communication
(3000 signes maximum, espaces compris)
– 23 Avril  : retour des organisateurs
– 14 Mai 2018 : date limite de l’envoi de la communication rédigée

Toutes les soumissions sont à envoyer à : ateliers.ajei@gmail.com

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Appel à contribution « Déployer les études de genre en économie politique ? » – 16/05/2018

La Revue de la régulation. Capitalisme, institutions, pouvoirs, créée à l’initiative de l’association Recherche & Régulation, est soutenue par la Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord, par l’Institut des Sciences humaines et sociales du CNRS, ainsi qu’un réseau de centres de recherche.  Elle vise à fournir un lieu d’expression pour les analyses qui s’inscrivent dans la filiation des recherches régulationnistes, et plus largement institutionnalistes, ainsi que pour les chercheurs qui souhaitent en débattre, en économie et au-delà. Elle a pour vocation d’alimenter une discussion large avec les autres sciences sociales : sociologie économique, histoire, sciences politiques, gestion etc.

Appel à contribution de la Revue de la régulation. Capitalisme, Institutions, Pouvoirs

La Revue de la Régulation souhaite stimuler de nouvelles réflexions sur l’apport de la notion de genre en économie politique. Les contributions pourront s’inscrire dans les 4 axes suivants.

1-Investiguer au prisme du genre de nouveaux champs de la discipline économique

2- Proposer de nouveaux regards sur des champs ayant déjà et souvent donné lieu à publications

3-Contribuer aux développements de l’économie politique et des approches hétérodoxes, en particulier régulationnistes, à partir de la notion de genre

4-Last but not least, étudier la fabrique (genrée) des économistes et de leur attention (ou non) aux études de genre

 

Consulter le texte complet de l’appel : http://journals.openedition.org/regulation/12343

 

Contact :

Cécile Lefèvre, Cerlis, Université Paris Descartes et Ined, cecile.lefevre@parisdescartes.fr

Thomas Lamarche, Ladyss, Université Paris Diderot thomas.lamarche@univ-paris-diderot.fr

 

Soumissions :

Les personnes intéressées devront envoyer un résumé (entre 1 000 et 2 000 mots) + principales références bibliographiques pour le 16 mai 2018 aux adresses suivantes cecile.lefevre@parisdescartes.fr thomas.lamarche@univ-paris-diderot.fr Regulation@revues.org.

Les résumés retenus par le comité de rédaction donneront lieu à des articles qui pourront être rédigés en français ou en anglais et ne devront pas dépasser 10 000 mots/60 000 caractères.

Ils devront être remis au plus tard le 31 août 2018.

Les normes de publication sont consultables sur le site de la revue.

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Appels à communications « La défaillance d’entreprise : vers une approche multidimensionnelle » – 15/04/2018

La défaillance d’entreprise : vers une approche multidimensionnelle – 15 juin 2018 à la MRSH (Caen)

(…) Au-delà des causes (pour quelles raisons certaines entreprises échouent-elles et d’autres non ?) ou encore des conséquences (quelles sont les conséquences que peut avoir l’échec de l’entreprise sur les entrepreneurs ?), toutes les contributions à dimension empirique ou théorique, quantitatives ou qualitatives, sur le thème de la défaillance des entreprises (petites, moyennes ou grandes) et des entrepreneurs peuvent être proposées telles que celles liées aux thèmes suivants (liste non-exhaustive) :

• Identification des déterminants de la faillite/des difficultés des entreprises,
• Défaillance et structure financière,
• Relation entre gestion (gouvernance, gestion des ressources humaines, …) et défaillance,
• Survie et accompagnement,
• Mécanismes et instruments de prévention des difficultés des entreprises,
• Transmission d’entreprise et défaillance,
• Coûts et conséquences de la défaillance,
• Politiques de ressources humaines et risque d’entreprise,
• Relation entre les caractéristiques du dirigeant et la défaillance des PME,
• études de cas de faillite (points de vue économique et/ou juridique),
• Souffrance de l’entrepreneur en situation de liquidation.

Calendrier :

  • 15 avril 2018 : envoi des propositions de communication sous la forme d’un résumé (rédigés en français ou en anglais) d’environ 500 mots accompagné de trois à cinq mots clés et de(s) code(s) JEL à l’adresse électronique suivante : nabil.khelil@unicaen.fr en copie à xavier.bredart@umons.ac.be
  • 15 mai 2018 : décision d’acceptation ou de refus.
  • 01 juin 2018 : date limite des inscriptions

Plus d’informations : https://businfailure.sciencesconf.org/

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Revue Terrains & Travaux n°31 « Consommer autrement »

Le n°31 de la revue Terrains & Travaux vient de paraitre.

« Consommer autrement »

Un numéro coordonné par Jean-Samuel Beuscart, Frédérique Giraud et Marie Trespeuch

 

Au sommaire :

Jean-Samuel Beuscart, Frédérique Giraud, Marie Trespeuch,
Consommer autrement
Thomas Depecker, Marc-Olivier Déplaude, Information et désinformation des
consommateurs. La constitution d’un répertoire d’action consumériste dans
les années 1960
Jeanne Guien, Violeta Ramirez, Travailler à consommer. Expérimentation et
émancipation dans les pratiques de consommation alternative
Arnaud Mège, « Faire autrement ». Tensions entre idéaux et contraintes
pratiques de militants pour la décroissance
Fanny Rassat, Consommer local et s’inscrire dans un territoire.
Les pratiques de réemploi et d’achat en ressourcerie
Elisabetta Bucolo, Les gratiferias, des initiatives de réemploi et de consommation alternatives
Gilles Lazuech, Gervaise Debucquet, Culture alimentaire et accord marchand
local. Une enquête au sein de l’AMAP « Poisson » Yeu-Continent
Yuna Chiffleau, Grégori Akermann, Arielle Canard, Les circuits courts
alimentaires, un levier pour une consommation plus durable ? Le cas d’un
marché de plein vent
hors dossier
Isabelle Clair, S’insulter entre files. Ethnographie d’une pratique
polysémique en milieu populaire et rural
Clémence Coconnier, Samuel Julhe, L’accompagnement des danseurs
en transition professionnelle. Un dispositif révélateur des décalages entre
une institution et ses usagers
Clément Combes, Figures de la sériphilie. Des traits signifints de la pratique
des séries télévisées contemporaine à une typologie des amateurs

 

Consultation et abonnement sur Cairn

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Call for proposals – 26th International Colloquium of Gerpisa – 31/01/2018

Call for Proposals – Who drives the change? New and traditional players in the global automotive sector

 

GERPISA’s 26th international colloquium
June 11th-14th, 2018 at FEA/University of Sao Paolo, Brasil

GERPISA website : http://gerpisa.org/node/3893

Date limite pour l’envoi des propositions: 

31 Jan 2018 (Journée entière)

Date limite pour la soumission des papiers:

15 Avr 2018 (Journée entière)

The current international programme of research of Gerpisa focuses on the new frontiers of the automotive sector intended, literally, as new emerging markets and industries, but also as new technologies, new innovation fields, new applications and regulations. In the last international colloquium in Paris we asked whether the transformations taking place in these new spaces and fields were disruptive or evolutionary as far as their nature and pace were concerned. This year in Sao Paulo, we would like to focus on the players who are involved in these transformations and their capacity to shape different types of futures and to drive the direction of change.
The complexity of the automotive sector has grown dramatically in the last years. Two worlds are colliding: on the one hand, the traditional world of carmakers, OEMs and car related distribution and services, which is dealing with the electrification and digitalization of cars, the digitalization of production and value chains, the transformations of mobility systems and more constraining environmental and transport regulations; on the other hand, the world of ICT, which is entering the automotive sector in many different ways (Tesla, Uber, Google, Amazon, Cisco, Huawei, etc.) and could change its structure and the very nature of its business. In addition, due to the electrification of cars, battery producers, as well as other companies in the battery and electric engine value chain, are becoming very significant players in the automotive sector.
Between them, local, regional, national and supranational governments are rapidly reshaping mobility systems, innovation systems, environmental and industrial policies in ways that could affect all these players. But the direction of change is also shaped by the roadmaps and technology expectations that shape the actions of many of these actors. Such visions are embodied in artefacts – consultants’ reports and analyses, industry advisory reports, technology roadmaps, patents pools, research papers and books, public policies and reports – that are produced by different types of actors who also require our attention.
What are the strategies and business models that these players deploy in order to transform or disrupt the automotive sector? How do they interact with each other through competition, but also through alliances, consortiums, mergers and acquisitions, lobbying and political work and action? Who is driving the change in these fields of innovation: global or local players? Mature or emerging countries? Automotive or ICT companies? Products and technologies or policies and regulations?
We are aware that answers to those issues are not unique and during the São Paulo conference special attention will be devoted to better understand what would be the case of countries like Brazil (where no indigenous OEM exists) that seem to be losing the race to develop new competencies when compared with the situation of, let say, some years ago. Is there any space or opportunity for country strategies like Brazil’s in developing new products and services for the electrification and digitalization of vehicles? For instance, does the strong interconnection between these new technologies and the emergence of new mobility paradigms pave the way for more local solutions and innovations pushed by specific public policies? Do local players have an advantage in dealing with such transformations?
We are calling for empirical and/or conceptual studies focusing on these as well as other questions raised by the current reconfiguration of the automotive sector triggered by the entry of new actors, the emergence of new mobility systems, and fast and cumulative changes in public policies and regulations. We still also keep a special focus on the impact of all these changes on work and employment either in the recent past or in the foreseeable future.
Papers developing historical perspectives on all these issues are also welcome.
This call for papers is organized in five major themes of research that structure our on-going international programme on “The new frontiers of the global automotive industry”.
We also draw your attention to the special issue of the international journal IJATM that will be based on a selection of the best papers presented during the colloquium, including the winner of the young author’s prize, and to the special sub-theme on the future of work in collaboration with the International Labour Organization.
1.    Embedding the automobile in societal contexts: new services, new uses, new integrated mobility systems, new business models (Bruce Belzowski, Alex Covarrubias, Bertha Vallejo)
2.    New technologies: electrification, digitalization and beyond (Giuseppe Giulio Calabrese, Roberto Marx)
3.    Production models and strategies, new and traditional players: between incremental and disruptive innovation (Thomas Klier, Tommaso Pardi)
4.    Employment and labour relations: between segmentation and convergence (Tommaso Pardi, Martin Krzywdzinski, Jorge Carrillo-Viveros)
5.    Public policies – national and regional clusters: between path dependency/inertia and structural change (Sigfrido Ramirez, Bruno Jetin)

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