Et si la Terre devenait une personnalité juridique, et les écosystèmes, les espèces animales ou végétales qui la constituent des sujets de droits ? Ainsi la nature se verrait reverser une partie de la valeur que l’exploitation humaine lui arrache et la transition écologique trouverait une nouvelle issue. Une proposition originale, qui prend le contre-pied d’une COP26 en échec et promet une nouvelle économie politique, terrestre et juste.