L’économiste rappelle à quel point « on est en retard sur la question des risques environnementaux et sociaux, qui ne se voient pas de la même manière qu’une épidémie, mais dont on sait à long terme la gravité ». « Il ne suffit pas de dire “il faut changer le système économique”, il faut décrire quel autre système économique et définir de nouveaux critères de décision en matière de gouvernance économique mondiale.