« C’est l’état de démolition générale qui a installé depuis longtemps les conditions du krach général. On attendait juste la secousse, la voilà . Sans doute, comme à son habitude, la finance se distinguera-t-elle dans l’ampleur des destructions. Mais cette fois elle pourrait ne pas tomber seule, et l’ensemble fera alors un joli spectacle. Entre le scandale des candidats à la réa recalés faute de respirateur, et celui d’un nouveau sauvetage des banques à douze ans d’intervalle, la population ne manquera pas d’occasions de méditer sur les bienfaits de quatre décennies néolibérales. Et sur ses bienfaiteurs aussi »