Économiques ou sanitaires, les crises frappent d’abord, et plus durement, les milieux les moins fortunés et les plus précaires. Le confinement est un « luxe » que ceux-ci ne peuvent pas s’offrir, rappelle l’économiste Thomas Piketty.
Économiques ou sanitaires, les crises frappent d’abord, et plus durement, les milieux les moins fortunés et les plus précaires. Le confinement est un « luxe » que ceux-ci ne peuvent pas s’offrir, rappelle l’économiste Thomas Piketty.