Les « sentinelles des pandémies », entre concurrence et solidarité

Le débat sur le niveau de préparation des États face aux pandémies fait rage, opposant notamment les pays occidentaux mauvais élèves aux pays asiatiques premiers de classe. Depuis la crise du SRAS en 2003, cette mise en concurrence est encouragée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les « sentinelles » comme Hong Kong, Singapour, Taïwan et Wuhan, rivalisent pour détecter le plus rapidement possible les signaux précoces des pandémies. Un mélange de concurrence et de collaboration scientifique qui n’exclut toutefois pas la solidarité.

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