« Les non-dits de la politique sanitaire sont la conséquence de l’impossible débat collectif sur la valeur de la vie humaine »

TRIBUNE. Les politiques publiques devraient être analysées en fonction de la balance entre coûts et bénéfices, mais l’absence d’une adhésion collective à l’évaluation scientifique de la vie humaine compromet cette approche, déplore, dans une tribune au « Monde », Christian Gollier, professeur à l’Ecole d’économie de Toulouse.

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