« L’enjeu majeur du “monde d’après” est de donner la parole à ceux qu’on n’entend pas d’habitude »

La crise sanitaire est aussi le révélateur d’un déni démocratique, estime la philosophe, pour qui le processus de décisions politiques doit mieux intégrer l’expertise et les intérêts des citoyens ordinaires, en particulier ceux des travailleurs essentiels.

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