La finance privée globale peut-elle contribuer au développement des pays du Sud ? La question s’inscrit dans un contexte marqué par une surabondance de portefeuille d’actifs financiers et une plus grande prise en compte des enjeux relatifs à la soutenabilité écologique dans l’agenda des différents acteurs de la communauté internationale de développement. C’est sans compter sur le « Consensus de Wall Street » qui impose des politiques de développement en fonction prioritairement des besoins et impératifs de la finance privée globale et non des réalités locales.