TRIBUNE. On ne peut plus compter sur le seul consentement présumé pour imposer des mesures qui pourraient s’avérer demain encore plus difficiles à admettre, estime Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale.

TRIBUNE. On ne peut plus compter sur le seul consentement présumé pour imposer des mesures qui pourraient s’avérer demain encore plus difficiles à admettre, estime Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale.