Sur le papier, le soutien de l’Etat a évité un assèchement de liquidité sans précédent et les défaillances en chaîne à laquelle la crise sanitaire condamnait inexorablement les entreprises. Compte tenu de l’effondrement des chiffres d’affaires, qui dans certains secteurs se solde par une perte sèche de plus de deux mois de recettes, l’appréciation que portent les entreprises sur leur situation de trésorerie en juillet tient du miracle.