Les longues semaines de confinement, la fermeture des écoles, collèges, lycées et universités, les restrictions à la sociabilité juvénile ou encore la fin des activités sportives auraient avant tout pénalisé les plus jeunes, lesquels continueraient ainsi en cet automne d’être sacrifiés au nom de la préservation de la santé et de la vie des plus âgés. La réalité est plus complexe.