Bénédicte Chéron : « A trop mobiliser le registre militaire face à toute crise, les mots perdent leur sens »

TRIBUNE. Face à l’épidémie liée au coronavirus comme auparavant concernant d’autres situations d’urgence, le recours systématique à la rhétorique guerrière finit par brouiller les rôles et gêner la perception des réalités, estime l’historienne dans une tribune au « Monde ».

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