Un appel d’offre
est ouvert aux jeunes chercheurs
français ou étrangers de moins de 35 ans, effectuant leurs thèses, diplômes
ou post-doctorats.
Il concerne tous les domaines des Sciences Humaines et Sociales.
La
MSH-P veut donner à de jeunes chercheurs l’opportunité d’un séjour en Polynésie
française pour réaliser une étude de cas,
conduire une enquête préliminaire en vue d’un approfondissement
ultérieur, etc.
Sont attribuées 4
bourses, chacune d’un montant maximal
de 5000 €, permettant
de couvrir les frais de transport AR pour la Polynésie française et le séjour. La
somme sera gérée par la MSH-P.
Un
courrier de recommandation du directeur de thèse ou de post-doc est le
bienvenu.
La sélection entre
les candidats sera réalisée par les membres du Conseil Scientifique de la MSH-P
Les candidats
retenus doivent réaliser leurs projets dans les 12 mois à compter de la
notification d’attribution de la bourse.
Ils doivent
remettre un rapport préliminaire au plus tard 1 mois après la fin de leur
travail sur le terrain, et un rapport définitif au plus tard 1 an après,
accompagné d’un projet de publication dans une revue internationale de bon
niveau. Les rapports et les publications mentionneront le nom de la bourse
« MSH-P »
Lorsque la
sélection des candidats aura été effectuée, leurs noms et leurs sujets feront
l’objet d’un communiqué à la presse. La MSH-P pourra, en outre, organiser toute
manifestation médiatique dans le contexte de ces bourses.
Eléments du dossier de candidature
Etat
civil
– NOM :
– Prénom :
– Date
et lieu de naissance :
– Lieu
de résidence :
Cursus
universitaire
– Diplômes :
– Directeur
de thèse/post-doc :
Description
du projet (2 pages maximum)
Calendrier
prévisionnel de réalisation du projet
Eventuels
correspondants scientifiques en Polynésie française
L’objectif des Nocturnes de l’Histoire est de promouvoir une diffusion large du savoir historique en valorisant des manifestations de qualité et en rendant accessibles les résultats de la recherche au public le plus large. Les quatre sociétés d’historiens de l’enseignement supérieur et de la recherche (SoPHAU, SHMESP, AHMUF, AHCESR) souhaitent ainsi favoriser les initiatives locales émanant de laboratoires de recherche, de sociétés savantes, d’institutions culturelles, de réseaux d’étudiants, d’équipes pédagogiques et de particuliers passionnés d’histoire. Elles n’organisent pas ces événements ni les financent mais elles coordonnent les initiatives et la communication nationale et internationale. Elles veillent à garantir la qualité des propositions en accordant le label Nocturnes de l’Histoire aux manifestations conformes à l’esprit du projet par leur intérêt pédagogique et scientifique et respectant l’éthique de la pratique historienne. Pour plus de précision, la charte des Nocturnes de l’Histoire est disponible sur le site respectif des quatre sociétés.
Les manifestations des Nocturnes de l’Histoire auront lieu en fin d’après-midi, le soir ou la nuit, afin de pouvoir accueillir un public varié et elles mettront l’accent sur les aspects insolites voire ludiques de l’histoire, en plein air comme en salle. Cela pourra être une valorisation du patrimoine au sens large (visites de sites historiques et archéologiques, de lieux de mémoire, de musées, de dépôts d’archives, de fonds de manuscrits de bibliothèques, etc.), mais aussi des conférences, des débats, des cafés historiques, des tables rondes, des ateliers, des dégustations, des reconstitutions historiques, des projections-débats de films historiques, etc.
Pour leur
première édition, les Nocturnes de
l’Histoire auront lieu le mercredi 1er avril 2020.
Pour soumettre vos propositions au comité scientifique des Nocturnes de l’Histoire, il suffit de remplir l’appel à propositions avant le 21 octobre 2019. Le comité scientifique fera part de ses décisions courant novembre /
Agro Paris Tech, 16 Rue Claude Bernard, Paris Vème (Métro Censier Daubenton)
Salle Delage
En novembre 2018, le mouvement des « Gilets jaunes », né d’un
ras-le-bol des taxes et d’une demande de pouvoir d’achat, a surgi dans
l’espace public. Au-delà des manifestations et des affrontements rituels
avec les forces de l’ordre, qui ont jalonné leur calendrier, les hommes
et les femmes en jaune se sont approprié les ronds-points péri-urbains.
En quelques mois, à travers toute la France, ils ont fait de ces objets
techniques inhospitaliers des laboratoires in vivo, à la fois cafés
métropolitains, places publiques, ateliers d’éducation populaire, forums
et agoras. Lieu de vie et base arrière du mouvement, symbolique de la
construction du politique, le moderne giratoire s’est mué en «
communauté d’expérience » et « lieu » d’émancipation. Une première
analyse (rythmes, modes de vie, gouvernance…) de cette nouvelle «
géographie en actes », qui dialogue avec d’autres formes de
mobilisations (ZAD, Nuit debout…), sera présentée, à partir de
l’expérience d’une immersion de plusieurs mois sur ces territoires
éphémères.
Retrouvez les enregistrements vidéo du séminaire Conflits et Territoires : Vidéos Conflits
L’objectif du séminaire mensuel Conflits et Territoires
est de permettre d’engager la discussion sur la question des conflits
liés à l’espace, et tout particulièrement sur la place des conflits dans
la construction et la gouvernance des territoires.
Le séminaire a lieu tous les derniers mardi du mois. L’accès est gratuit.
Un nouveau projet de recherche « Américanisation par les arts ? États-Unis, France (1860-2019) » vient d’être labellisé par la MSH Paris-Saclay dans le cadre de son appel à projets Maturation 2019.
Porté par Philippe GUMPLOWICZ & Martin GUERPIN (SLAM / UEVE), et Jean-Claude YON & Anaïs FLECHET (CHCSC / UVSQ), ce projet s’inscrit dans la continuité du programme « Musique et sorties de guerres », financé par la MSH Paris-Saclay (Émergence 2017-2018). Sur la base des résultats de ce programme et du réseau qu’il a permis de développer, ce nouveau projet réunit des historiens, des musicologues, des historiens du cinéma, du design, de la photographie, de la littérature autour d’un programme de recherche sur les processus d’américanisation-européanisation à travers les arts depuis la seconde moitié du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. Sa singularité, dans le champ des études des relations entre les États-Unis et l’Europe, réside non seulement dans le choix des arts plutôt que la diplomatie, l’économie ou la politique, mais aussi dans le regard transversal porté sur les circulations des arts et leurs effets sur l’univers sensible. Comment ont-ils agi sur les corps, la voix, la langue et les formes, des deux côtés de l’Atlantique ? Comment les arts ont-ils interagi entre eux ? Centrée sur les temps forts du processus d’américanisation, de la deuxième révolution industrielle aux plateformes numériques du XXIe siècle, l’analyse portera sur les adaptations et les résistances dans les transferts culturels, via les caractéristiques formelles des œuvres. Le projet se concentrera sur les États-Unis et la France afin de dégager des perspectives d’analyse qui pourront ensuite être élargis à d’autres pays européens et américains.
La MSH Paris-Saclay a le plaisir de vous annoncer un nouveau partenariat avec le Prix Design & Science 2020 organisé par le Design Spot de l’université Paris-Saclay.
Ce partenariat se traduira par la remise d’un prix spécial de la MSH Paris-Saclay à l’un des lauréats le 27 février 2020, avec une dotation de 3000 euros.
Le Prix Design & Science a cette année pour thématique Agriculture & Mégapoles, une thématique qui fait largement écho à l’axe de recherche « Environnement, territoires, santé, alimentation » de la MSH.
Soutenue par le Conseil économique de Singapour et la région Île-de-France, l’édition 2020 du Prix Design & Science de l’Université Paris-Saclay propose à des étudiants en design et en sciences d’unir leurs forces pour répondre aux défis de l’agriculture urbaine en Europe et en Asie.
Produire, distribuer, revaloriser : le défi de l’autonomie
La moitié de la population mondiale vit en zone urbaine.
La multiplication et la croissance des mégapoles, agglomérations
tentaculaires de plusieurs millions d’habitants, s’intensifie depuis les
années 2000 : aujourd’hui, 33 aires urbaines concentrent à elles seules
un demi-milliard de personnes.
De Paris à Singapour, ce phénomène d’urbanisation intense
donne lieu à des transformations majeures de la société, notamment en
matière d’alimentation. La quasi-totalité des ressources alimentaires
des mégapoles sont produites à l’extérieur et exigent de gigantesques
flux logistiques pour assurer leur distribution, entrainant
d’importantes nuisances environnementales. Il est donc nécessaire de
réinventer l’organisation alimentaire des grandes villes pour accroître
leur autonomie, faire face aux risques de pénurie et réduire l’empreinte
écologique.
L’édition 2020 du Prix Design & Science de
l’Université Paris-Saclay propose à de futurs designers, chercheurs et
ingénieurs de s’emparer de cette problématique et de devenir ainsi
acteurs du changement. Réunis en équipes pluridisciplinaires, les
étudiants devront imaginer de nouvelles formes d’agriculture, plus
locales et plus durables, à intégrer au cœur des mégapoles de demain.
Ils s’inspireront du contexte de Singapour, petite
île-état densément urbanisée où 90% de l’alimentation est importée par
manque de surfaces agricoles disponibles. Pour réduire sa dépendance,
Singapour encourage le développement d’initiatives innovantes en matière
d’agriculture urbaine : fermes verticales, jardins sur les toits,
système de captage des eaux de pluie…
L’équipe qui aura développé le projet le plus convaincant remportera un voyage d’une semaine à Singapour, une bourse de 3000 € ainsi qu’un accompagnement sur mesure par Incuballiance, l’incubateur de Paris-Saclay.
Le Carnet du programme de recherche de l’Économie des conventions vient de publier un compte-rendu des Journées organisées en l’honneur de Robert Salais par l’IDHES et le CMH avec le soutien de la MSH Paris-Saclay les 19 et 20 septembre dernier.
La MSH Paris-Saclay a le plaisir de vous annoncer le lancement du projet TerriBio Saclay le lundi 14 octobre prochain !
Lauréat de l’appel à projets Excellence
MSH Paris-Saclay / département SHS de l’université Paris-Saclay, le
projet TerriBio Saclay (Territoires d’interface et biodiversité urbaine
sur le plateau de Saclay) porté par Romain Melot (UMR SAD-APT / INRA –
AgroParisTech) et Emmanuelle Baudry (ESE / UPSud- CNRS – AgroParisTech)
est centré sur l’analyse de la biodiversité urbaine et cultivée comme
vecteur de représentations sociales et comme objet pour l’action
publique locale. Les recherches seront menées sur le plateau de Saclay,
un territoire marqué par une forte dynamique d’artificialisation et qui
présente des enjeux importants en termes de coexistence et d’utilisation
des espaces urbains et des espaces ouverts, agricoles ou semi-naturels,
et de la biodiversité.
Le projet associe une équipe pluridisciplinaire en SHS (sociologie,
géographie) avec un collectif de chercheurs travaillant en écologie et à
l’interface entre les SHS et les sciences de la vie (ethnoécologie,
psychologie de l’environnement).
Rendez-vous à 10h00 à l’ENS Paris-Saclay (Salle Renaudeau – Bâtiment Laplace) pour la réunion de lancement du projet.
Un nouveau séminaire labellisé par la MSH Paris-Saclay!
Porté par Arnaud Latil (CERDI UPSud) et Gilles Dowek (LSV ENS Paris-Saclay), ce séminaire débutera le 10 octobre prochain.
Open data, transparence des algorithmes, éthique by design, droit à l’oubli numérique, autodétermination informationnelle, reconnaissance faciale, neutralité du net, souveraineté numérique, justice prédictive, etc. autant de sujets qui animent ces dernières années le débat public concernant l’environnement juridique du numérique.
Ces sujets soulèvent une question commune : quels seront demain les droits et libertés fondamentales reconnus à chacun dans l’univers numérique? La réponse à cette question impose un examen transversal de ces différents sujets : notre intuition est qu’une approche globale des libertés numériques est aujourd’hui impérative.
A l’heure où se multiplient les projets de reconnaissance constitutionnelle et européenne des droits fondamentaux du numérique, et où le Conseil de l’Europeélabore des instruments juridiques relatifs à la gouvernance de l’Internet, ce cycle de conférences propose un échange interdisciplinaire autour de l’étude de leurs fondements, leurs enjeux, leur nature et leur mise en oeuvre.
Jeudi 10 octobre 2019 / 18h – 20h – Aux origines des libertés numériques
De l’utopie libertaire des débuts aux dystopies sécuritaires mises en scène dans la série Black Mirror, les droits et libertés se sont profondément transformés à l’épreuve du numérique. Quelles en sont cependant les sources politiques et juridiques ? Et comment l’histoire intellectuelle des réseaux informatiques, autant que leurs spécificités techniques et les pratiques sociales qui s’y sont déployées, ont-elles conduit à repenser certaines catégories clés telles que la propriété ou encore la vie privée ?
Une grande variété de techniques juridiques se trouvent mobilisées pour bâtir le droit des libertés numériques. L’éthique, la soft law et l’expérimentation sont privilégiées par le législateur. Mais la jurisprudence doit déjà trancher des litiges bien concrets, quitte à reconnaitre de nouveaux droits fondamentaux, à l’instar du droit à l’oubli numérique.
Xavier Dupré de Boulois, Université Paris 1-Panthéon Sorbonne : La fabrique des libertés numériques
Benjamin Loveluck, Telecom Paris : Les libertés numériques, de l’autonomie au contrôle
Inscription gratuite mais obligatoire sur Evenium.
Dans le cadre du projet « Communautés et pratiques communautaires » porté par Mélanie Clément-Fontaine (UVSQ – D@NTE) et Gaële Gidrol-Mistral (UQAM – GRDP) et à la suite du premier colloque
organisé le 11 juin 2019 au Musée du Quai Branly, un second colloque se
tient le vendredi 11 octobre à l’Université du Québec à Montréal, avec
le soutien de la MSH Paris-Saclay.
Ces deux événements donneront lieu à la publication d’un ouvrage
collectif en français et en anglais sur les questions abordées par les
chercheurs de disciplines diverses sur le thèmes des communautés et des
pratiques communautaires.
Le projet Communautés et Pratiques Communautaires est porté par
Mélanie Clément-Fontaine (UVSQ, D@NTE – France) et Gaële Gidrol-Mistral
(UQAM, GRDP – Canada).
L’étude suit une approche comparatiste et interdisciplinaire. La
démarche qui préside cette réflexion collective est prospective,
empirique et théorique. Elle vise à dégager une définition de la «
communauté » commune à l’ensemble des sociétés en partant du constat
suivant :
En marge des organisations sociales, encadrées expressément par le
droit, émergent des communautés. Si le phénomène n’est pas nouveau (cf.
les communautés paysannes, familiales, d’artistes…), il a pris un essor
particulier dans nos sociétés et s’inscrit dans le sillage d’un
renouveau de la pensée du rapport des personnes et des biens. Ce
phénomène, certes lié aux outils de communication en réseau ainsi qu’à
la dématérialisation des choses, gagne également des domaines comme
celui de l’habitation ou encore de l’environnement.
Pour l’heure, les réflexions des civilistes visent essentiellement
l’étude des biens communs et des communs dont la polysémie et la
polyphonie soulèvent la difficulté d’en déterminer les contours. À la
faveur d’une mise en perspective des différentes cultures juridiques, ce
projet consiste à renverser le point d’entrée de l’observation de
l’accès, du partage et de la production commune de certaines richesses
en s’attachant en priorité à la notion de communauté plutôt qu’à celle
de biens communs ou de communs.
Nous partons de la supposition selon laquelle là où apparait un bien
commun ou des communs, apparait également une communauté dont la
construction et la gestion sont des éléments déterminants à l’élection
des communs. Aussi, nous distinguons deux catégories de communautés,
celles qui se construisent autour d’un intérêt commun et celles qui
s’organisent pour gérer et/ou produire un objet commun (bien, chose,
territoire physique). Étant entendu que si dans le premier cas, les
communautés peuvent avoir recours à des outils communs ou les produire
et dans le second cas, les membres de la communauté peuvent partager un
intérêt commun, pour autant, il ne s’agit pas d’une caractéristique
essentielle de la communauté. Partant de cette distinction, l’étude des «
communautés d’intérêts » nécessite de préciser la notion d’intérêt
commun qui les définit. Quant à l’analyse des « communautés de choses »,
elle permet de définir la chose partagée qui correspondrait à la notion
de commun.
Les communautés jouent un rôle appelé à se développer dans et hors
l’économie de marché et construisent de nouveaux rapports sociaux
marqués par le partage des jouissances et la solidarité
intergénérationnelle, mais pas seulement. La communauté, telle que nous
l’entendons, est constituée d’un groupe de personnes qui partagent un
but, un intérêt ou un bien commun et qui établissent des relations
sociales privilégiées entre elles. Bien que non nécessairement
structurées juridiquement, ces communautés savent imaginer des règles
pour gérer, conserver, exploiter ces biens communs ou encore réaliser le
but fixé.
L’étude des critères des communautés et l’observation des pratiques communautaires permettront de s’interroger sur le concept de « communauté », notamment en ce qu’il remet en cause le modèle propriétaire dominant et dévoile une nouvelle relation aux biens, voire des nouveaux modèles. Pour parvenir à appréhender pleinement ce phénomène, la démarche se veut empirique et théorique. L’observation attentive des hypothèses a pour objectif d’appréhender les différentes manifestations communautaires ou supposer l’être afin, ensuite, de circonscrire les expériences qui correspondent à ce que nous nommons communautés. Cette méthode, pour être complète, doit être menée à la fois d’une manière comparative et dans tous les champs disciplinaires complémentaires. En effet, la réflexion juridique ne peut être isolée des enjeux sociologiques, économiques et techniques découlant du concept de communauté.
La School Humanités de l’Université Paris-Saclay lance un nouvel appel à projet pour l’année universitaire 2019-2020. Il
s’agit de soutenir financièrement des étudiant-e-s de master (M1 et M2)
dont les recherches ou travaux justifieraient un déplacement en région
ou à l’étranger (pour consultations d’archives, pratiques de terrain ou
entretiens oraux…). Chaque projet retenu pourra bénéficier d’un financement pouvant aller jusqu’à 500 €. Sont concernés par l’appel :
– les étudiants des mentions Musicologie, Histoire et Design de la School Humanités
–
les étudiants des établissements impliqués dans les formations de la
School Humanités menant une recherche dans un domaine associé aux
Humanités (arts, communication, design, histoire, langues, lettres,
musicologie…).
Dates limites de réponse
1ère session Les dossiers sont à retourner au plus tard le 14 octobre 2019. Une réponse sera adressée aux étudiants porteurs d’un projet au plus tard le 12 novembre 2019.
2ème session Les dossiers sont à retourner au plus tard le 13 décembre 2019. Une réponse sera adressée aux étudiants porteurs d’un projet au plus tard le 10 janvier 2020.
Conditions de candidature
–
Travailler et mener des travaux de recherches en Humanités en master au
sein de la School humanités de l’Université Paris-Saclay ou d’un des
établissements du périmètre Saclay.
– Justifier précisément de la nécessité ou de la pertinence d’un déplacement ou d’un séjour en région ou à l’étranger.
– Présenter un budget prévisionnel des dépenses à engager. – Les déplacements devront être réalisés au plus tard le 15/07/2020.
–
Les projets de M2 sélectionnés et financés devront faire l’objet d’une
candidature à la 4ème Journée des masters de la School Humanités le 23
janvier 2020.
Pièces à adresser pour candidater – CV – Présentation du sujet de recherche ou du projet – Cadre, pertinence et enjeux du déplacement en région ou à l’étranger – Budget provisoire du déplacement avec devis – Lettre de recommandation du directeur de recherche