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WEBINAIRE – Session d’information ERC Starting Grants 2021 – 2-3/11/2020

Dans le cadre de l’accompagnement ERC de l’Université Paris-Saclay, une session d’accompagnement à l’écriture de projet en vue de l’appel ERC Starting Grants 2021  est organisée au mois de novembre:

2 novembre 2020 : session plénière d’information 9h – 11h15 : session plénière14h00 – 16h00 : table-ronde et questions/réponses

3 novembre 2020 : entretiens individuels d’une heure

Lien vers la page de l’événement et inscription (gratuite mais obligatoire) : cliquez ici !

La session plénière (en anglais), ainsi que les entretiens individuels, se tiendront à distance. Les participants recevront par mail le programme consolidé ainsi que le lien pour se connecter à la session en ligne. N’hésitez pas à contacter Marie Raymond (marie.raymond@universite-paris-saclay.fr) pour toute question relative à cette session d’accompagnement.

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Appel à manifestation d’intérêt – Le droit et la justice face aux circonstances sanitaires exceptionnelles liées à la pandémie de COVID-19 – 13/11/2020

La Mission Droit et Justice et l’InSHS s’associent pour lancer cet appel à manifestation d’intérêt sur les thématiques suivantes :

  1. Acceptation des risques et mise en cause de la responsabilité des décideurs : un équilibre à nouveau questionné par la crise sanitaire de la COVID-19  
  2. Restrictions des libertés et acceptabilité sociale 
  3. Les limitations d’accès aux cours et tribunaux en France : une multitude de conséquences 
  4. Sortie de crise et transition écologique et solidaire : quel rôle pour le droit et la justice ? 

Les propositions sont attendues pour le 13 novembre au plus tard.

Les manifestations d’intérêt doivent être envoyées à l’adresse suivante : ami2020.cnrs-mrdj@gip-recherche-justice.fr

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Débat : Le défi de « produire du politique » pour les sciences humaines et sociales au moment de la crise sanitaire – The Conversation

Cet article est paru dans The Conversation le 11 octobre 2020 dans le cadre du colloque « Ruptures des pratiques et dynamique du débat – Les SHS face à la crise Covid-19 » organisé par la MSH Paris-Saclay les 12 et 13 octobre 2020.

Une question hante la recherche en sciences humaines et sociales (SHS) ces derniers temps : à quoi servons-nous ? Elle vient notamment de donner lieu à un livre Covid-19, le regard des sciences sociales. Ce livre développe la réponse suivante : les SHS « produisent de l’orientation ».

En ces temps de crise sanitaire, cette réponse mérite que l’on s’y attarde, y compris pour s’en distancier. Bien évidemment, il est important, d’abord, de resituer la pandémie et les réponses qui lui sont opposées dans leur contexte sociétal, de les mettre en rapport avec les inégalités sociales, avec les récentes transformations des États, ou encore avec les rapports de forces géopolitiques. Une vue d’ensemble sur la réalité sociale affectée par la pandémie ne saurait que bénéficier aux acteurs sociaux de tout ordre.

Ensuite, il importe de construire une notion claire de la place de l’activité scientifique dans ce contexte. Celle-ci, et plus particulièrement la science médicale, est un acteur clé dans le développement des réponses thérapeutiques. Cependant, elle agit en articulation avec des gouvernements, ou encore avec des acteurs économiques. Mieux comprendre dans quels jeux organisationnels l’activité scientifique s’inscrit ne saurait que bénéficier à la recherche, et ce, au-delà des SHS.

« Produire du politique »

Dans un cas comme dans l’autre cependant, si l’on a suivi les récents débats sur la science (penser notamment à ceux qu’avait déjà suscités la publication, sous la direction de Bernard Lahire, de À quoi sert la sociologie ?), on est forcé de ressentir un scrupule à l’idée de revendiquer un rôle d’orientation.

Ne serions-nous pas en train d’adopter cette fameuse position « en surplomb » qu’on a pu reprocher à certains grands noms des sciences sociales ? Une telle posture ne pourrait-elle pas être interprétée comme une volonté d’imposer certaines vues de la réalité sociale aux acteurs sociaux, et à nos collègues d’autres disciplines certaines notions de ce qu’est la science dans la société ?

Ce scrupule nous porte à défendre la réponse suivante : il ne s’agit pas tant d’orienter, il s’agit de produire du politique. C’est-à-dire du débat sur des enjeux collectifs, sur des propositions de connaissance et sur leurs conséquences en termes d’action ; et ce dans le domaine scientifique comme dans le domaine public.

« Produire du politique » veut donc dire participer à des débats desquels est susceptible de surgir, à partir de contributions individuelles multiples et par hypothèse souvent contradictoires, des projets de connaissance et d’action collective. De l’orientation donc, mais pas par le discours scientifique lui-même, plutôt par le fait que les scientifiques invitent à débattre, tout en participant eux-mêmes à alimenter ces débats. Lesquels pourront avoir lieu dans le domaine scientifique lui-même, mais aussi dans ce qu’on a pu appeler l’espace public, ou encore dans le cadre du système politique, et enfin dans les multiples arènes qui s’emboîtent en marge de cet espace public et de ce système politique.

Activité de débat dans la science

Rappelons encore ceci : l’activité scientifique est pour une part importante une activité de débat. Surtout de débats sur la pertinence d’observations ou d’interprétations. Mais aussi, et c’est principalement ce sur quoi nous voulons ici attirer l’attention, des débats sur la manière d’agir ensemble comme scientifiques : à la fois pour recueillir ces observations, pour discuter ces interprétations, mais aussi pour les faire circuler au-delà des limites du domaine scientifique, ou encore, enfin, pour prendre en compte les réactions nous parvenant de la part de non-spécialistes.

De tels débats doivent concerner toutes les disciplines, les SHS étant toutefois bien placées pour mettre en évidence leur dimension à la fois réflexive et politique ; pour contribuer à les organiser, sur la base de leur analyse de l’état actuel du politique, en associant des disciplines scientifiques très diverses.

Le pari est donc qu’il y a un rôle à jouer par la recherche en SHS de contribuer à revitaliser ou à recréer des débats de ce type et donc, du politique, dans le contexte actuel.

Analyse, réflexion, retour

Trois considérations nous amènent à défendre ce rôle pour les SHS.

1. L’analyse de la conjoncture actuelle, où l’on peut constater une coïncidence entre la pandémie et des indices d’érosion du modèle démocratique.

Érosion qui s’alimente, d’une part, d’une prise de distance excessive entre monde scientifique et monde social ; mais aussi, d’autre part, d’une remise en cause du savoir des experts, en lien avec le phénomène politique qu’on a pu qualifier de populisme.

Ces dynamiques en apparence contradictoires se sont d’ailleurs conjointement alimentées de la crise sanitaire, les réponses de certains gouvernements et les avis d’experts les ayant inspirées étant présentés soit comme des solutions attendues, soit comme des exemples de mesures technocratiques méritant d’être rejetées par « le peuple ».

Dans ces conditions, il apparaît difficile de s’interroger sur le rôle de la recherche scientifique face à la pandémie sans s’interroger aussi sur les problèmes d’acceptabilité auquels la science faisait face déjà avant la pandémie. Or un des raisonnements développés face à ces problèmes est qu’il faut, non abolir la distinction de ces deux mondes, mais améliorer leur connaissance réciproque.

Cela exige, non seulement de vulgariser et disséminer des résultats du travail scientifique, mais surtout de faciliter une réappropriation active de la science par les non scientifiques (d’où la promotion de la science ouverte, de la science citoyenne ; d’où les visées fondatrices, par exemple, de The Conversation). Ce qui suppose une bonne connaissance de la nature et de l’état actuel de la distance entre science et société, et des possibles moyens d’établir des relations, connaissances que, précisément, les SHS ont la responsabilité de développer.

2. Une réflexion, à approfondir, sur la genèse de la démocratie, et le rôle des sciences dans cette genèse. Réflexion qui mérite de prendre appui sur l’histoire des sciences modernes. En effet, celles-ci ont pris leur essor avant le développement des régimes politiques démocratiques et elles ont fourni à ceux-ci, notamment par les académies, des modèles d’organisation de l’action collective par la concertation, et de débats d’idées et d’arguments.

C’est par ailleurs dans le domaine scientifique, à côté des domaines des arts et du droit, que s’est forgée la notion de subjectivité moderne, avec son potentiel d’innovation ou de créativité susceptible de bénéficier à la collectivité. Notion qui prépare le terrain à celle de citoyenneté au sens de participation individuelle au devenir collectif, institutionnalisée par des droits et des obligations.

C’est enfin autour de ces domaines que s’est formé un public critique, qui a pu devenir l’espace public nécessaire à l’institutionnalisation du politique. Si la science a joué un rôle dans la formation des démocraties modernes, son rôle pourrait bien être essentiel dans les efforts actuels de réhabilitation de la démocratie. Réhabilitation qui est aussi en jeu dans les réponses qui se construisent face à la pandémie.

3. Un retour sur nos expériences individuelles de travail ces derniers mois, comme auteur·e·s et chercheur·e·s. Si un certain nombre d’entre nous ont voulu prendre la parole dans l’espace public, ce n’est pas seulement pour défendre certains acquis de nos recherches, mais aussi mus par la perception que les collectifs auxquelles nous appartenons (familles, communautés professionnelles, de voisinage, etc.) se trouvaient remis en cause dans leur nature et dans leurs modalités, que ce que « nous » était en train de changer de sens, et qu’il était urgent de « nous » engager dans ces changements, en « nous » associant aux débats déclenchés par la crise.

Les SHS nous sont d’un précieux secours pour prendre du recul par rapport à cette expérience. Au moment où des scientifiques de nombreuses disciplines, et non seulement des SHS, interviennent dans ces débats, les SHS peuvent mettre en valeur cette dimension essentiellement citoyenne de la parole scientifique.

Débat sur le débat

Les SHS mènent des recherches concernant l’ensemble des réalités affectées par la crise sanitaire ; elles auront à les poursuivre, les mettre en rapport entre elles et les mettre en rapport avec les travaux menés par d’autres disciplines scientifiques.

Mais elles ont aussi cette responsabilité : s’interroger sur ce que la crise sanitaire fait à la démocratie ; à laquelle la science participe par essence – et dont la science a vitalement besoin – et participer, par un travail par le débat et sur le débat, à la production du politique, dimension indispensable de la recherche, base indispensable de la démocratie.

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Appel à contribution « Soulèvements sociaux : destructions et expérience sensible de la violence » – 26/10/2020

La revue Socio lance un appel à contribution sur le thème « Soulèvements sociaux : destructions et expérience sensible de la violence ».

Le dossier est coordonné par Pauline Hachette (université Paris 8) et Romain Huët (université Rennes 2).

Les intentions de contributions (titre, résumé de deux pages et bibliographie) doivent être envoyées à Socio avant le 26 octobre 2020.

Les articles devront être remis pour le 15 mars 2021 .

Consulter le texte complet de l’appel :


Soulèvements sociaux : destructions et expérience sensible de la violence

Problématisation générale : soulèvements sociaux et recrudescence des violences

Depuis 2010, des contestations d’ampleur ont agité bon nombre de contextes nationaux. Si elles renvoient à des situations et des enjeux politiques à chaque fois spécifiques, il existe des expériences partagées et des récits concordants entre eux. Aux ressources argumentatives classiques (lutte contre la précarité, l’injustice, les inégalités économiques, etc.), s’ajoute une revendication à l’élargissement des orientations du vivre, des formes de vie (Macé, 2016), en somme à une transformation existentielle des manières d’être (Didi-Huberman, 2016). Ce retour du registre culturel, éventuellement romantique, dans la scène politique interroge tant du point de vue de ce qu’il dit de notre époque que dans sa capacité à tracer un avenir, des perspectives dans l’organisation du monde et dans le dépassement des contingences capitalistiques.
Les soulèvements contemporains se singularisent également en tant qu’ils ont tendance à s’accompagner à un moment ou à un autre de violences plus ou moins grandes. En France, les émeutes, manifestations sauvages et débordements s’observent dans de nombreuses manifestations (ZAD, contre la « loi Travail » ou Parcoursup, mouvement des gilets jaunes, etc.).
À l’échelle internationale, l’année 2019 a également été marquée par une recrudescence des pratiques émeutières (Chili, Liban, Bolivie, Irak, Hong Kong, etc.). Durant cette année particulièrement agitée, l’Algérie fait exception. Cette recrudescence de la violence, généralement de faible intensité inquiète en particulier devant le constat d’une rupture des pratiques de délibération et d’une incapacité du système démocratique à faire face à la montée des postures radicales, à l’impatience populaire, et aux accès de colère voire de rage. L’expérience américaine de mai-juin 2020, dans le contexte des protestations contre la violence et le racisme policiers montre que l’intensité de la violence peut s’élever considérablement .
Deux questions centrales guident alors ce dossier : pourquoi le recours à la violence et à la destruction matérielle attire-t-il au point que nombreux sont ceux qui y prennent aisément une part active ? Et, seconde question, politique : que dit la généralisation des pratiques de violence et de l’agir destructif de notre époque et des attentes existentielles qui se nichent en leur creux ? En d’autres termes, que disent ces phénomènes sur notre époque, sur les attitudes qui se développent face au monde et sur la façon dont les révoltés s’y prennent pour le domestiquer ?


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APPEL A PROPOSITIONS « Manifestations scientifiques à l’IEA de Paris – 27/10/2020


DATE LIMITE DE DÉPÔT DES CANDIDATURES : LE 27 OCTOBRE 2020

L’Institut d’études avancées (IEA) de Paris est un institut de recherche qui accueille des chercheurs internationaux en SHS de haut niveau pour des séjours de recherche semestriels ou annuels, et expérimente des formats de recherche collaborative innovants associant le monde non-académique. Il favorise les échanges interdisciplinaires et le développement de liens entre ses résidents et la communauté scientifique parisienne et francilienne, contribuant ainsi au rayonnement des sciences humaines et sociales françaises à l’international.

Plusieurs institutions de recherche franciliennes sont membres et partenaires de l’IEA de Paris. L’institut entretient avec elles des relations privilégiées en vue de favoriser des interactions scientifiques dans le domaine des SHS et au-delà.

A cette fin, l’IEA accueille chaque année des manifestations scientifiques organisées à l’initiative de ses partenaires dans ses locaux de l’Hôtel de Lauzun, sur l’île Saint-Louis, un site patrimonial remarquable du 17e siècle mis à sa disposition par la Ville de Paris.

Le présent appel à propositions offre la possibilité aux chercheurs et enseignants-chercheurs des institutions partenaires de l’IEA de soumettre un projet de manifestation scientifique qu’ils souhaitent voir accueillie à l’Institut.

Chaque institution partenaire dispose d’un total de trois jours par année universitaire. L’IEA mettra ses salles de réunion et leurs équipements à disposition des organisateurs des événements retenus. Il n’apportera pas de financement.

Eligibilité

Sont concernés par cet appel tous les chercheurs et enseignants-chercheurs membres d’une institution partenaire de l’IEA ou d’un de ses laboratoires :

  • Sorbonne Université
  • Université de Paris
  • Université Paris Nanterre
  • Université Paris-Saclay
  • EHESS
  • EPHE-PSL
  • ENS
  • FMSH
  • Inalco

Les manifestations éligibles sont les colloques, journées d’étude et séances de séminaire portant sur toutes thématiques au sein des sciences humaines et sociales, ou en lien avec elles. Une préférence sera donnée aux événements internationaux et interdisciplinaires.

Période d’accueil

En raison de la situation exceptionnelle liée à la Covid-19, la période d’accueil de l’année universitaire 2020-2021 a été réduite du 4 janvier au 30 avril 2021.

Aucune manifestation ne pourra être accueillie les samedis, dimanches et jours fériés ainsi que les lundis matins.

Il est vivement recommandé aux organisateurs des manifestations de proposer plusieurs possibilités de dates pour faciliter la coordination entre les différentes demandes.

Le formulaire Word de proposition ainsi que le tableau Excel récapitulatif sont téléchargeables ci-dessous. Ils doivent être envoyés par courrier électronique à colloques@paris-iea.fr le 27 octobre 2020 au plus tard.

Télécharger le formulaire .DOC

Télécharger le tableau .XLS

Calendrier

  • Date limite d’envoi des propositions : 27 octobre 2020
  • Etablissement des listes de priorités par l’IEA : 10 novembre 2020
  • Décision finale des établissements partenaires : 30 novembre 2020
  • Notifications des résultats : 1ère semaine de décembre
  • Période possible pour l’accueil des manifestations scientifiques : du 4 janvier au 30 avril 2021

Toute question sur l’appel à propositions peut être adressée à colloques@paris-iea.fr.

Plus d’infos sur : https://www.paris-iea.fr/fr/evenements/accueil-de-manifestations-scientifiques-a-l-iea-de-paris-2020-2021

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Appel à projets Interdisciplinaires CNRS / Défi Changement Climatique 2020

Date limite de dépôt des candidatures : mercredi 30 septembre 2020 à midi (heure de Paris)

Le CNRS, à travers la Mission pour les initiatives transverses et interdisciplinaires, lance un appel à projets dans le cadre du défi Changement Climatique qui s’inscrit pleinement dans son contrat d’objectifs et de performance 2019-2023.

L’objectif de cet AAP est de soutenir des recherches interdisciplinaires et innovantes visant à étudier des trajectoires climatiques et la dynamique des (socio-)écosystèmes et des sociétés humaines, la proposition de mécanismes d’atténuation voire de résilience, les nécessaires changements de pratiques et d’usages, permettant l’adaptation et la transition, ainsi que l’incertitude, les perceptions et les multiples formes de co-construction de solutions pour faire face aux différentes trajectoires. Le rôle des sociétés humaines sera un élément-clé.

Les travaux menés devront poser clairement la question des moyens et des outils d’action sur le changement climatique, tant d’un point de vue conceptuel qu’opérationnel. Les axes prioritaires de recherche visent :
- une approche systémique et multi-échelles en considérant le passage des modèles aux petites échelles plus adaptées à l’étude des impacts du changement climatique sur les territoires et les sociétés ;
- la confrontation des modélisations avec des résultats issus des observations ou des expériences pour valider et optimiser les approches et les jeux de paramètres associés, avec en particulier le défi du « quasi » temps réel et des prédictions quantitatives ;
- la manipulation de volumes gigantesques de données hétérogènes (y compris leurs traitement, partage et diffusion) et les nouvelles architectures de calcul au plus près des sources de données ;
- les capteurs et les réseaux de capteurs intelligents de mesures environnementales ou socio-environnementales ainsi que leur exploitation, y compris le déploiement d’actions de sciences participatives ;
- les découvertes et innovations socio-techniques réduisant sensiblement les phénomènes à l’origine du changement climatique et minimisant son impact à court terme ;
- la quantification de l’altération des environnements naturels, des écosystèmes et des sociétés et la proposition de mécanismes de remédiation ;
- la préservation des ressources naturelles et l’optimisation de leurs usages ;
- la sensibilité aux conditions extrêmes ou aux changements très rapides des géo-éco-systèmes et des sociétés humaines ;
- les pratiques professionnelles, sociales, récréatives, associatives, les mobilisations politiques, les comportements individuels et collectifs, l’ensemble des formes de perceptions, de prises en compte, d’analyses, de réflexions repérables dans les sociétés au sujet du changement climatique, de ses effets, de ses causes et des scénarios associés ;
- l’intelligence collective et la construction de consensus, l’élaboration d’actions et de politiques publiques aussi bien locales que transnationales et les modalités de leur évaluation ; l’analyse des conflits suscités par les solutions envisagées.

Cet AAP exclut tout projet se focalisant sur la transition énergétique.

L’interdisciplinarité, la prise de risque, la rupture et le caractère exploratoire sont les critères clefs pris en compte dans la sélection des projets.

Pour consulter le texte complet de l’AAP :

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Appel Horizon 2020 « Green Deal » – Réunion de mise en relations – 27/10/2019

Le réseau européen des PCN SHS organise une réunion virtuelle de mise en relation entre partenaires et consortiums intéressés par les appels Green Deal.

Cette réunion aura lieu le 27 octobre, et les places sont très limitées : seuls les 250 premiers inscrits pourront y participer !

Que vous souhaitiez candidater en tant que partenaire ou leader, inscrivez-vous au plus vite !

Pour rappel, les PCN français ont organisé en juillet une série de webinaires sur les appels Green Deal, que vous pouvez retrouver ici.

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BnF- Recrutement de 3 CHARGÉ.e.S de collections numeriques

Le dépôt légal de la BnF a pour mission d’archiver le web français pour le patrimoine et la recherche depuis 2006. Ses collections remontent à 1996 avec un volume de plus d’1 Po de données collectées. Aujourd’hui l’équipe du dépôt légal de la BnF recrute 3 chargé·e de collections numériques :

  1. Le poste de chargé·e de collections numériques responsable de l’accès aux Archives de l’internet et de la préservation https://t.co/Y13gTJnZ9T doit garantir la préservation des données pour l’éternité et l’accès aux contenus collectés https://t.co/eXMerlgUy9 #digitalpreservation
  2. Le poste de chargé·e de collections numériques responsable de la coopération https://t.co/Gk0OhfV3Xy consiste à animer le réseau des correspondants à la BnF et dans 26 bibliothèques territoriales et services d’archives grâce à l’outil de sélection https://t.co/x1jPEnCMSq
  3. Le poste de chargé·e de collections numériques responsable de l’accès aux Archives de l’internet et de la préservation https://t.co/Y13gTJnZ9T doit garantir la préservation des données pour l’éternité et l’accès aux contenus collectés https://t.co/eXMerlgUy9 #digitalpreservation

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Atelier-concept L’industrie – en l’honneur de Serge Benoit – 05/10/2020

Pour son lancement, le Groupement de recherche 2092 « Techniques et production dans l’histoire » (GDR TPH) organise en collaboration avec l’IDHE.S-Evry l’atelier-concept « L’industrie » en l’honneur de Serge Benoit.

La manifestation aura lieu dans les locaux de la Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale (4 Place Saint Germain des Prés, 75006 Paris), le lundi 5 octobre 2020, de 9h30 à 18h30, et pourra également être suivie en visioconférence (réalisation par la MSH Paris-Saclay) via ce lien :

https://primetime.bluejeans.com/a2m/live-event/pjtsgpyh

Le programme détaillé est à retrouver ci-dessous :

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Programme « Paris Region Fellowship » pour des post-doctorants – 21/10/2020

Soutenu dans le cadre du programme européen Horizon 2020, actions Marie-Sklodowska-Curie (n°945298), le projet « Paris Region Fellowship » prévoit le recrutement de 52 post-doctorants résidant hors de France pour participer à des projets de recherche durant 24 mois.

Grâce à son potentiel scientifique, la Région Île-de-France a remporté cette année, pour la première fois, un projet européen dans le cadre du programme Marie-Sklodowska-Curie/COFUND/Horizon 2020. Résultat : elle peut favoriser la mobilité des chercheurs en bénéficiant du soutien financier de l’Union européenne.

La Région a ainsi développé le programme « Paris Region Fellowship » pour des post-doctorants.

Le projet  « Paris Region Fellowship » va permettre de recruter 52 chercheurs sur des contrats de 24 mois, en 2 vagues successives, l’une en 2020 et l’autre 2021, en partenariat avec les 13 Domaines d’intérêt majeur (DIM) de recherche régionaux, les universités de recherche franciliennes et des organismes de recherche.

Cette action s’inscrit dans la Stratégie régionale d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation et dans la Stratégie #Leader.

Elle a pour objectif de conforter l’Île-de-France en tant que 1re région scientifique européenne, de  soutenir l’emploi scientifique, et plus globalement la recherche et l’innovation, tout en renforçant l’attractivité internationale des établissements d’enseignement supérieur et de recherche de la région.

Ce programme s’adresse aux scientifiques souhaitant réaliser un post-doctorat sur un projet de recherche dans des laboratoires franciliens notamment parmi ceux des Domaines d’intérêt majeur (DIM).

Consulter l’appel ICI

Candidature :

Ce 1er appel à candidatures concerne 26 contrats.

Les candidats doivent remplir certaines conditions : 

  • Ne pas avoir résidé ou travaillé en France plus de 12 mois au cours des 3 dernières années précédant la date de clôture de l’appel à candidatures,
  • Être titulaire d’un doctorat ou d’une expérience de recherche d’au moins 4 ans conformément aux règles d’éligibilité des actions Marie-Curie,
  • Avoir choisi un laboratoire d’accueil francilien parmi les laboratoires proposées sur le site de candidature pour y développer le projet de recherche de leur choix : des laboratoires des DIM (environ 450 unités de recherche) ou d’autres laboratoires franciliens.

Dossiers à déposer sur la plateforme parisregionfp.sciencescall.org avant le 21 octobre 2020.

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