Flavie Lavallée

Actes n°8 – Contribution de Guy Meunier & Jean-Pierre Ponssard

L’hydrogène et la transition énergétique dans les transports. Quelques apports de la théorie économique

Par Guy Meunier & Jean-Pierre Ponssard

Dans Énergies « nouvelles » et société. La transition énergétique actuelle à la croisée des chemins et des savoirs, p. 115-132.

DOI : https://doi.org/10.52983/CDBJ6179


Version numérique :


Référence de l’article :

MEUNIER Guy & PONSSARD Jean-Pierre, 2021. « L’hydrogène et la transition énergétique dans les transports. Quelques apports de la théorie économique », in Patrick Schembri & Hynd Remita (dir.), Énergies « nouvelles » et société. La transition énergétique actuelle à la croisée des chemins et des savoirs. Workshop MOMENTOM (MSH Paris-Saclay, 21 novembre 2019), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 115-132. Mis en ligne le 01/09/2021. DOI : https://doi.org/10.52983/CDBJ6179

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Actes n°8 – Contribution de Loïc Assaud

Le stockage de l’énergie électrique dans les batteries à ions lithium. Une histoire d’interfaces

Par Loïc Assaud

Dans Énergies « nouvelles » et société. La transition énergétique actuelle à la croisée des chemins et des savoirs, p. 133-150.

DOI : https://doi.org/10.52983/OHQV8601


Version numérique :


Référence de l’article :

ASSAUD Loïc, 2021. « Le stockage de l’énergie électrique dans les batteries à ions lithium. Une histoire d’interfaces », in Patrick Schembri & Hynd Remita (dir.), Énergies « nouvelles » et société. La transition énergétique actuelle à la croisée des chemins et des savoirs. Workshop MOMENTOM (MSH Paris-Saclay, 21 novembre 2019), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 133-150. Mis en ligne le 01/09/2021. DOI : https://doi.org/10.52983/OHQV8601

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Actes n°8 – Contribution de Penelope Buckley

A Systematic Review of Qualitative Studies on Residential Consumer Experience with Smart Meters and Dynamic Pricing

Par Penelope Buckley

Dans Énergies « nouvelles » et société. La transition énergétique actuelle à la croisée des chemins et des savoirs, p. 151-172.

DOI : https://doi.org/10.52983/YFCZ6955


Version numérique :


Référence de l’article :

BUCKLEY Penelope, 2021. « A Systematic Review of Qualitative Studies on Residential Consumer Experience with Smart Meters and Dynamic Pricing », in Patrick Schembri & Hynd Remita (dir.), Énergies « nouvelles » et société. La transition énergétique actuelle à la croisée des chemins et des savoirs. Workshop MOMENTOM (MSH Paris-Saclay, 21 novembre 2019), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 151-172. Mis en ligne le 01/09/2021. DOI : https://doi.org/10.52983/YFCZ6955

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Numéro 212 de L’Homme et la Société : « Normes du droit du travail en France »

Le numéro 212 (2020/1) de L’Homme & la Société, revue hébergée par la MSH Paris-Saclay, est paru en juillet 2021.

Normes du droit du travail en France

Coordonné par Vincent Bourdeau, Alexis Cukier et Luca Paltrinieri

La contestation des lois Travail en France, entre 2016 et 2020, puis des dispositions concernant le travail dans la Loi du 23 mars 2020 instituant « l’état d’urgence sanitaire », a été l’occasion d’une réactualisation d’un débat théorique et politique au sujet de la question des normes du droit du travail. D’où viennent ces normes spécifiques au droit du travail et au droit social en France, et sur quels diagnostics, conflits et revendications ont-elles été construites ? Suffit-il, pour comprendre les contre-réformes récentes du Code du travail, de les qualifier de « néolibérales » ? Enfin, quelle forme peut prendre aujourd’hui le projet d’un droit du travail émancipateur ?
Ce dossier réunit des contributions de juristes, d’historien·ne·s, de sociologues et de philosophes qui examinent l’émergence et le développement du modèle français du droit du travail – en revenant notamment sur les débats autour de la naissance du droit du travail et du droit social au XIXe siècle, puis en cherchant à interpréter leur évolution aux XXe et début du XXIe siècles. Cette enquête d’ordre socio-historique est cependant indissociable d’une réflexion de nature épistémologico-critique, concernant le rapport entre les diverses formes de normativité du travail : juridiques, mais aussi économiques, sociales et politiques. Ce dossier entend proposer un diagnostic tout en contribuant à un questionnement politique plus général, au sujet du sens du travail, de son rapport à la démocratie et de sa centralité, dans le mode de production capitaliste, mais aussi dans un possible au-delà du capitalisme.

Illustration de couverture : Affiche de la CGT en faveur de l’application de la loi des 8 heures © Doumenq Félix « Collection La contemporaine ».

Sommaire :

  • Éditorial (I)
    • « De la sommation de la cancel culture à la dénonciation de l’islamo-gauchisme » par Bernard Hours
  • Éditorial (II)
    • « Anaturalisme et auto-émancipation » par Michel Kail
  • Dossier
    • « Introduction. Le travail, enjeux normatifs, juridiques et politiques : un état des lieux » par Vincent Bourdeau, Luca Paltrinieri et Alexis Cukier
    • « La législation d’un métier illicite : les premiers statuts des ménestrels parisiens (1321-1407) » par Pierre Pocard
    • « Le rapport de travail en France au XIXe siècle : un rapport marchand ? » par Claire Lemercier
    • « Organiser, réglementer ou démocratiser le travail ? Lectures croisées de Durkheim, Taylor et Friedmann » par Mélanie Plouviez
    • « Du mot à la chose : le travail (dé)construit par le droit ? Du travail normatif à la normativité du travail » par Claude Didry
    • « Le tournant entrepreneurial du droit du travail en France (1982-2017). Politiques néo-libérales, aggiornamento académique et espace de production d’un « sens commun » » par Laurent Willemez
    • « La philosophie juridique des réformes en cours » par Michèle Bonnechère
    • « Les regroupements de livreurs à vélo : une application de L’Idée du Droit social de Georges Gurvitch » par Garance Navarro-Ugé
    • « Le salaire et la propriété de l’outil, droits économiques de la personne » par Bernard Friot
    • « Passé, présent et désir de démocratie dans l’entreprise ». Entretien avec Emmanuel Dockès, réalisé en juin 2020 à Paris, par Vincent Bourdeau et Alexis Cukier
  • Hors-dossier
    • « Statut politique et sujet singulier. Le subjectif de l' »apatrié » » par Saverio Tomasella et Louis Moreau de Bellaing
  • Comptes rendus
    • « P. Biligha Tolane, Les Travailleuses du sexe chinoises..., 2017″ par Louis Moreau de Bellaing
    • « D. Clément, L’Écho des autres…, 2017″ par Louis Moreau de Bellaing
    • « P. Grassi, Terreur à Guatemala-Ville…, 2018″ par Louis Moreau de Bellaing
    • «  »Les entreprises de marchandises morale », Multitudes, 72 (3), 2017″ par Louis Moreau de Bellaing
  • Résumés/Abstracts

Diffusion :

  • Ce numéro est disponible en version papier ou PDF sur le site de L’Harmattan.
  • Il est également disponible en version électronique sur Cairn.info.

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Vient de paraître aux EMSHA : Violence et Société

Violence et Société

Composition sonore et film expérimental

Javier Elipe Gimeno (dir.)

Violence et Société

Miroir de notre société, le film expérimental en reflète aussi les problématiques. Cette mise en lumière du réel s’accompagne d’un travail de composition sonore dont il s’agit d’examiner la place dans la construction du sens et dans l’expression de la violence. Quel rôle joue le son dans la composition audiovisuelle ? Quelles sont les fonctions de la composition musicale ? Quels sont les moyens du traitement sonore ? Comment la composition sonore articule-t-elle la temporalité du film ? Cette publication questionne la relation entre image et son, mêlant les origines, les disciplines et les approches de cinéastes et des œuvres de tous horizons : Aldo Tambellini, Bakary Diallo, Clio Simon, Christoph Girardet, Matthias Müller, Guli Silberstein, Randa Maroufi, Philippe Rouy et Nam June Paik.

EAN électronique : 9791036577604

Pour consulter cet ouvrage et obtenir plus d’informations : cliquez ici.

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Appel à contributions – terrains & travaux

Les sciences sociales de la sexualité :
classement, socialisation, politisation

Appel à contributions pour dossier thématique
Date de clôture : 1er octobre 2021

Depuis la fin des années 1990, le développement des travaux en sciences sociales sur la sexualité dans l’espace francophone s’est accéléré, comme en témoigne la parution régulière de numéros de revue sur le sujet(1) — sans commune mesure néanmoins avec ce qu’il se passe outre-Atlantique, où l’institutionnalisation des « sexualities studies » demeure bien plus importante. En 2001, terrains & travaux consacrait ainsi son deuxième numéro aux « Sexualités déviantes / sexualités militantes ». Les coordinateurs du numéro notaient que la thématique du numéro s’était « naturellement imposée », et que la légitimité de l’enquête en sciences sociales sur la sexualité n’était plus à discuter. Ces dernières années, les travaux en sciences sociales portant sur la sexualité se sont multipliés et le milieu académique leur est de plus en plus favorable, notamment à travers la place croissante faite à cet objet par les laboratoires de sciences sociales, l’augmentation du nombre d’articles, de numéros spéciaux de revues et de livres, mais aussi les nombreuses conférences qui y sont consacrées.

En s’intéressant aux « perversions », à l’homosexualité ou à la prostitution, les recherches sur la sexualité ont très tôt placé les normes et les déviances au cœur de leurs questionnements. Peu à peu – notamment en raison d’impératifs de santé publique nécessitant de mieux connaître les comportements sexuels – ces études se sont institutionnalisées, et ont progressivement intégré une perspective de genre. Ce contexte d’émergence des travaux sur la sexualité façonne la manière dont elle est appréhendée. C’est en effet bien plus récemment que des pratiques « ordinaires » (par exemple l’hétérosexualité) ont été reconnues comme des objets scientifiques légitimes et saisis par des méthodes qualitatives et ethnographiques. De nouvelles perspectives de recherche sont apparues, portant par exemple sur le désir et le plaisir, en particulier des femmes, ou encore sur les modalités de la sexualité « en ligne ». Pour le dire autrement, la recherche ne s’intéresse plus uniquement aux « risques » de la sexualité.

Étudier la sexualité en sciences sociales passe aujourd’hui par le terrain, bien loin d’un ensemble de recherches – par exemple certains travaux sur la prostitution ou la pornographie – qui s’en abstenaient sous des prétextes de scientificité et veillaient bien plus à moraliser qu’à observer.

L’objectif de ce dossier thématique de terrains & travaux est de réunir des articles permettant de rendre compte des développements actuels du champ. Il s’agit de montrer comment les sciences sociales se saisissent de la sexualité et de quelles manières elles contribuent au développement du savoir sur les sexualités, mais aussi ce que les travaux sur la sexualité font aux sciences sociales – en d’autres termes : de quelles manières les travaux sur la sexualité réinterrogent-ils des concepts, des raisonnements et des sujets phares de ces disciplines ?

Le numéro réunira des articles empiriques de sciences sociales s’appuyant sur des méthodes tant quantitatives que qualitatives, sans limitation d’aires géographiques ou de périodes historiques. Les articles proposés devront s’inscrire dans au moins l’un des trois axes suivants :

  • Classement

Ce premier axe vise à interroger les classements scientifiques, professionnels, militants ou profanes dont la sexualité fait l’objet. Si au XIXe siècle les « perversions » sexuelles, par exemple, ont fait l’objet de classements médicaux qui, pour certains, perdurent, à l’époque contemporaine prolifèrent sur la sexualité des discours et des catégories parfois contradictoires. Les articles pourront s’intéresser, sans restriction, aux orientations, identités, émotions, représentations ou pratiques sexuelles, tant celles considérées comme ordinaires, voire « banales » que celles qui sont minoritaires et parfois qualifiées de « déviantes ». Il s’agit d’examiner comment les catégories portant sur la sexualité circulent entre les différents espaces sociaux et nationaux, ainsi que les rapports de pouvoir – en particulier, mais pas uniquement, de genre – qui président à ces circulations. Quelles sont les logiques et les limites de ces classements ? Comment expliquer leur succès plus ou moins important ? Comment rendre compte de l’émergence de nouvelles catégories sexuelles (asexualité, polyamour, etc.) ? Comment se fait le passage de la description d’une pratique sexuelle à sa catégorisation scientifique (construction des notions de « première fois », de « violence sexuelle », etc.) ?

  • Socialisation 

L’apport des sciences sociales aux études sur la sexualité inclut la compréhension de la manière dont sont transmises les normes, les valeurs, les représentations et les pratiques qui l’entourent. Cela s’accompagne d’une mise en évidence des instances de socialisation avec lesquelles les individus interagissent et qui sont donc susceptibles de transmettre des dispositions et des capitaux (l’école, la famille, les pairs, les médias, les partenaires, etc.). Qui sont les personnes, les groupes et les sources qui permettent de comprendre ce qui est autorisé, ce qui est interdit ou ce qui procure du plaisir ? Quelle est la place du corps dans ces processus, et quelles modalités concrètes d’incorporation donnent-ils à voir ? Comment se sont-ils modifiés dans le temps ? Et quelles variations peut-on mettre en évidence d’une aire géographique à l’autre ? Il serait intéressant alors de se focaliser sur les temps et les occasions de socialisation et, plus généralement, sur les conditions de socialisation et sur la manière dont est contrôlée l’acquisition de dispositions, en examinant notamment les différentes instances de socialisation (primaire ou secondaire) et les moments de socialisation à la sexualité, qu’ils soient formels ou informels, en face à-face ou en ligne. Une attention toute particulière pourra être portée au genre de la socialisation à la sexualité, mais également aux socialisations secondaires, notamment à l’âge adulte (par exemple après une rupture), ainsi qu’à leurs agents (partenaires, pairs ou encore produits culturels, comme la pornographie).

  • Politisation

Depuis les années 1970, la contestation, notamment politique, des normes en matière de sexualité (par certaines militantes féministes, les gays, les lesbiennes, les personnes trans, les personnes handicapées, etc.) est un fait marquant de l’histoire de la sexualité. Elle s’est traduite par des changements juridiques, mais aussi des évolutions dans les attitudes et les valeurs en matière de sexualité, qui coïncident avec le développement des travaux en sciences sociales sur la sexualité. Comment les luttes liées à la sexualité s’articulent-elles avec – ou accompagnent-elles – le développement des recherches menées en sciences sociales sur la sexualité ? De quelles manières la recherche, en dénaturalisant la sexualité et le genre et en dévoilant les normes qui l’entourent, a-t-elle contribué et contribue-t-elle encore aux mobilisations politiques autour de la sexualité ? Quelle est la portée des luttes pour les droits sexuels et pour les droits des « minorités sexuelles » ? Qui sont les acteurs/actrices de ces luttes ? Comment en décrire les dynamiques et stratégies politiques ? Peuvent-elles être conçues dans le strict cadre de la sexualité ou ont-elles forcément des portées politiques plus générales ?


Les contributions s’appuieront sur des enquêtes empiriques soigneusement documentées, précisant les terrains investigués et les méthodes adoptées (archives, documents, entretiens, observations ethnographiques, questionnaires…). Les articles, de 50 000 signes maximum (espaces, notes et bibliographie compris), accompagnés d’un résumé de 150 mots et de 5 mots-clés en français et en anglais, devront parvenir sous forme électronique (format Word, cf. indications ci-dessous pour la mise en forme des textes) aux coordinateur·trice·s du numéro avant le 1er octobre 2021 aux adresses suivantes :

  • Pierre Brasseur : brasseurph [at] gmail.com
  • Milena Jakšić : milenajaksi [at] gmail.com
  • Cécile Thomé : thome.cecile [at] gmail.com

Les consignes relatives à la mise en forme des manuscrits sont consultables sur le site de la revue : http://tt.hypotheses.org/consignes-aux-contributeurs/mise-en-forme

terrains & travaux accueille par ailleurs des articles hors dossier thématique (50 000 signes maximum), qui doivent être envoyés à :

  • Vincent-Arnaud Chappe : vincent-arnaud.chappe [at] ehess.fr
  • Élise Palomares : elise.palomares [at] univ-rouen.fr
  • Milena Jakšić : milenajaksic [at]gmail.com

Pour plus de détails, merci de consulter le site de la revue : http://tt.hypotheses.org


(1) Outre un numéro de terrains & travaux (« Sexualités déviantes / sexualités militantes », n° 2, 2001/1), on peut citer, de façon non exhaustive et au cours des vingt dernières années, différents numéros de revues consacrés à des aspects variés de la thématique : Actes de la recherche en sciences sociales (« Sur la sexualité », vol. 128, 1999) ; Ethnologie française (« Sexualités négociées », vol. 43, 2013/3) ; Clio. Femmes, Genre, Histoire (« ProstituéEs », n° 17, 2003 ; « Utopies sexuelles », n° 22, 2005 ; « Érotiques », n° 31, 2010 ; « Âge et sexualité », n° 42, 2015) ; Nouvelles questions féministes (« La sexualité des femmes : le plaisir contraint », vol. 29, n° 3, 2010 ; « Morales sexuelles », vol. 35, n° 1, 2016), Politix (« Politiques sexuelles », n° 107, 2014/3) ou encore, plus récemment, la Revue française de socio-économie (« Les économies de la sexualité », n° 25, 2020). La création en 2009 de la revue interdisciplinaire Genre, sexualité & société témoigne également de la vivacité de ce champ.

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Actes n° 6 – Contribution de Coline Cardi

Le gouvernement de la maternité en prison. Le cas des quartiers mères-enfants

Par Coline Cardi

Dans Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques, p. 105-120.

DOI : https://doi.org/10.52983/GIDD5376


Version numérique :


Référence de l’article :

CARDI Coline, 2020. « Le gouvernement de la maternité en prison. Le cas des quartiers mères-enfants », in Natacha Chetcuti-Osorovitz & Patricia Paperman (dir.), Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques. Séminaire (ENS Paris-Saclay, du 16 octobre 2017 au 14 mai 2018), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 105-120. Mis en ligne le 24/11/2020. DOI : https://doi.org/10.52983/GIDD5376

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Actes n° 6 – Contribution de Camille Lancelevée

Hommes dangereux, femmes vulnérables ? Stéréotypes de genre et santé mentale en milieu carcéral

Par Camille Lancelevée

Dans Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques, p. 85-103.

DOI : https://doi.org/10.52983/TXPY1305


Version numérique :


Référence de l’article :

LANCELEVÉE Camille, 2020. « Hommes dangereux, femmes vulnérables ? Stéréotypes de genre et santé mentale en milieu carcéral », in Natacha Chetcuti-Osorovitz & Patricia Paperman (dir.), Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques. Séminaire (ENS Paris-Saclay, du 16 octobre 2017 au 14 mai 2018), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 85-103. Mis en ligne le 24/11/2020. DOI : https://doi.org/10.52983/TXPY1305

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Actes n° 6 – Contribution de Myriam Joël

Les femmes impliquées dans des violences sexuelles sur mineur·e·s : un terrain hors-norme, indicible et troublant

Par Myriam Joël

Dans Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques, p. 67-83.

DOI : https://doi.org/10.52983/HSAH7158


Version numérique :


Référence de l’article :

JOËL Myriam, 2020. « Les femmes impliquées dans des violences sexuelles sur mineur·e·s : un terrain hors-norme, indicible et troublant », in Natacha Chetcuti-Osorovitz & Patricia Paperman (dir.), Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques. Séminaire (ENS Paris-Saclay, du 16 octobre 2017 au 14 mai 2018), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 67-83. Mis en ligne le 24/11/2020. DOI : https://doi.org/10.52983/HSAH7158

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Actes n° 6 – Contribution de Philippe Artières

Les biftons. L’incroyable corpus des prisonnières

Par Philippe Artières

Dans Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques, p. 49-65.

DOI : https://doi.org/10.52983/TQZA6278


Version numérique :


Référence de l’article :

ARTIÈRES Philippe, 2020. « Les biftons. L’incroyable corpus des prisonnières », in Natacha Chetcuti-Osorovitz & Patricia Paperman (dir.), Genre et monde carcéral. Perspectives éthiques et politiques. Séminaire (ENS Paris-Saclay, du 16 octobre 2017 au 14 mai 2018), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 49-65. Mis en ligne le 24/11/2020. DOI : https://doi.org/10.52983/TQZA6278

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