Appel à communication

Appel à contribution Revue Française de Gestion : Les nouveaux enjeux de la souveraineté – 30/05/2021

La Revue Française de Gestion vous propose un appel à contributions sur le thème : Les nouveaux enjeux de la souveraineté : entreprises, société, académiques

Rédacteurs invités :

  • Yoann Bazin, EM Normandie
  • Julienne Brabet, Université Paris Est Créteil, IRG
  • Rémi Jardat, Université Evry-Val d’Essonne, LITEM 

Contributions attendues pour le 30 mai 2021.

Consulter l’appel : https://rfg.revuesonline.com/actualites/310-appel-a-contribution-2021-les-nouveaux-enjeux-de-la-souverainete

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Appels à articles – La Nouvelle Revue du Travail (NRT)

La NRT propose deux nouveaux appels à articles :

Professionnel.le.s non enseignant.e.s et division du travail éducatif

Date limite : 30 juin 2021

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Transformations du capitalisme et recompositions du système des relations professionnelles depuis un quart de siècle

Date limite : 30 octobre 2021

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Appel à communications pour Science&You – 30/03/2021

L’appel à communications pour Science&You 2021 est prolongé jusqu’au 19 février !

Science&You vise à faire se rencontrer chercheurs et praticiens de la médiation, communication et vulgarisation scientifiques, pour partager ensemble pratiques et recherches innovantes, échanger des expériences, et pourquoi pas créer de nouveaux projets et collaborations !

C’est pourquoi, pour tous les formats listés ci-dessous, des communications de toutes perspectives sont attendues. Que vous soyez un chercheur en communication scientifique, un chercheur ou professionnel de toute discipline souhaitant partager votre expérience en vulgarisation, un médiateur en musée ou en centre de science, un animateur en association organisant des ateliers scientifiques pour enfants, un journaliste traitant de sujets scientifiques, un chargé de communication dans une université ou un organisme de recherche… Vous êtes le.la bienvenu.e à participer à la conversation !

Les deux langues officielles du colloque sont le français et l’anglais : vous pouvez déposer votre communication, et intervenir lors du colloque, indifféremment dans l’une ou l’autre de ces deux langues. 

L’appel à communication est ouvert jusqu’au 19 février 2021, minuit (GMT +1). Les communications reçues seront ensuite étudiées par le comité scientifique de Science&You, composé d’experts internationaux de la culture et de la communication scientifiques.

Note : en prévision de l’évolution de la situation sanitaire, l’équipe travaille à une solution alternative pour la tenue de Science&You en novembre. En présentiel ou en distanciel, l’Université de Lorraine maintiendra l’événement : plus d’informations à venir au printemps. 

LA COMMUNICATION SCIENTIFIQUE : UN TEMPS DE RÉFLEXION POUR AVANCER :

Les communications devront répondre à l’un des thèmes suivants :

1. Problématiques continues et émergentes associées aux développements scientifiques et technologiques

Problématiques liées à des enjeux science/société historiques et actuels. Exemples : l’approvisionnement énergétique, l’intelligence artificielle, le réchauffement climatique, les questions de santé dans les situations de crise… ou tout autre sujet science/technologie posant débat dans la société.

2. Concepts d’« effondrement » et vision globale

La communication scientifique dans le contexte informationnel et sociétal actuel et ses transformations rapides. Exemples : fake news, conspirationnisme, développement des pseudosciences, etc.

3. Nécessité d’une pratique réflexive de la communication scientifique

Dialogue transdisciplinaire pour faire émerger des pistes de solutions. Comment transmettre les savoirs aujourd’hui ? Quelles pratiques mettre en oeuvre ? Comment réinstaurer un dialogue serein sciences/société ?

Les thèmes ci-dessus sont développés ici : www.science-and-you.com/fr/thematique.

LES FORMATS :

  • Communication simple : une communication liée à l’un des thèmes définis dans l’appel à communications, pour une intervention en solo ou avec un.e collègue/partenaire. Le comité scientifique combinera 3 à 4 communications simples de thématiques similaires pour former un symposium et remplir une session. Le comité scientifique désignera aussi un.e animateur.trice*. (durée : 15 minutes),
     
  • Symposium : une session groupant 3 à 4 communications liées à l’un des thèmes définis dans l’appel à communications, comprenant plusieurs intervenant.e.s, chacun.e devant créer son compte personnel. Les propositions de symposium doivent inclure un.e animateur.trice* (durée : 75 minutes),
     
  • Présentation de poster : un espace sera dédié à la présentation de posters. Une session sera réservée dans le programme, durant laquelle les chercheurs seront invités à répondre aux questions de l’audience (durée : 75 minutes),
     
  • Panel de discussion : les panels de discussion réunissent jusqu’à 4 intervenants sur un sujet spécifique. Un seul résumé décrit le sujet qui sera discuté pendant le panel. Contrairement au symposium, le panel de discussion n’est pas une collection de résumés : les intervenants ne déposent pas chacun un résumé. La discussion a pour objectif d’être interactive avec l’audience, et chacun est invité à prendre part à la conversation et à apporter ses idées, bonnes pratiques, et opinions. Les propositions de panels de discussions doivent inclure un.e animateur.trice*. (durée : 75 minutes).

* L’animateur.trice prépare le sujet du symposium ou du panel de discussion avec les intervenant.e.s, et s’assure que leurs présentations soient cohérentes et complémentaires. Il.elle est en charge de renseigner le résumé du symposium ou du panel de discussion, de renseigner les informations des intervenant.e.s, afin que ceux.celles-ci créent leur profil personnel sur la plateforme et déposent leurs résumés (dans le cadre d’un symposium). L’animateur.trice anime également la discussion lors du symposium ou du panel de discussion, et s’assure de l’interaction avec l’audience.

RECOMMANDATIONS POUR UN DEPOT DE COMMUNICATION :

1. Créez votre compte personnel sur la plateforme. Chaque intervenant.e et animateur.trice doit avoir son propre compte.

2. Dépôt de communication :

Sélectionnez :

  • Un thème principal (obligatoire, 1 choix maximum),
  • Une problématique (obligatoire, 3 choix maximum),
  • Un champ de pratique (obligatoire, 3 choix maximum),
  • Une dynamique (optionnel, 3 choix maximum),
  • Et un pays concerné par le sujet développé dans votre communication (optionnel, 3 choix maximum).

3. Choisissez un format entre « communication simple », « symposium », « présentation de poster » et « panel de discussion ».

4. Renseignez les champs animateur et intervenant.s de votre communication.

5. Renseignez le titre, le.s résumé.s et les mots-clés de votre communication.

6. Attachez des pièces jointes si nécessaire (jpg, pdf, word).

Et voilà !

CRITERES DE SELECTION :

Les communications devront :

  • être en lien avec les thématiques de Science&You
  • traiter de problématiques d’actualité
  • présenter des arguments pertinents et rigoureux
  • inclure un.e animateur.trice (pour les symposiums et les panels de discussion)
  • inclure une liste complète d’intervenants ayant créé leur compte personnel sur la plateforme (pour les symposiums et les panels de discussion)
  • inclure 4 intervenants maximum (pour les symposiums et les panels de discussion)
     

Les propositions de symposiums et de panels de discussions auront plus de chances d’être acceptées si elles :

  • Incluent des intervenants de pays différents,
  • Privilégient la parité hommes/femmes parmi les intervenants,
  • Mêlent recherche et pratiques professionnelles.

CALENDRIER :

Clôture de l’appel à communications : 19 février 2021
Notification d’acceptation, de refus ou d’acceptation sous réserve de modification des communications : 16 mars 2021
Date limite de dépôt des communications révisées : 30 mars 2021
Notification d’acceptation ou de refus des communications révisées : 12 avril 2021
Conférence : 16-19 Novembre 2021

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Appel à contributions : 29e Colloque international du GERPISA – 29/03/2021

29th GERPISA International Colloquium

Date:  15 June, 2021 – 09:00 – 18 June, 2021 – 17:00

Online

Deadline for sending the proposals:  29 March, 2021 – 23:59

Deadline for submitting the papers:  15 May, 2021 – 23:59

GERPISA’s sixth international programme, on the New Frontiers of the Automobile Industry, considered the transition between the old and new paradigm of the automobile and mobility as a long and complex phenomenon, occurring despite the « disruptive » rhetoric that accompanies it. The electrification of the fleet, the development of the connected and autonomous vehicle, and the rise of shared mobility will take at best more than a decade to assert themselves and to sustainably transform transport and automobile production/sales systems.

Looking at the future implies a reflection on the long-term coexistence of the two paradigms and on the complex interactions between technological, economic, political and social conditions that could advance, delay or even partly reverse the transition between the two. The inherent tensions between the increasing restructuring of a capital-intensive auto industry and the expected demands on labour reorganisation on a global scale further compound the transition process. Within this complex scenario, there is also the substantial uncertainty caused by the ongoing Covid-19 crisis, which will undoubtedly have a significant impact on all these developments. 

The new international programme aims to study these transformations, as well as the forms of coexistence between the old and new paradigms, through the prism of digitalisation, which is asserting itself as the main accelerator in the transitions underway. Launching this new programme, the 29th International Colloquium of Gerpisa focuses on “the transformations of the Global Auto Industry: Digitalisation, Ecological Transition and the impact of the COVID-19 Crisis”. 

The 2021 Colloquium will build on our previous research streams, namely the changes occurred in the global auto industry in terms of product architecture, value chains and labour relations, and the wider industry eco-systems, and will continue to investigate key transformations like the electrification, the broader ecological transition, the digitalisation of the sector and the future of work in the industry. In addition, this year’s Colloquium will also aim to analyse whether and to what extent the COVID-19 crisis has accelerated or halted such changes. We thus welcome proposals on policy measures designed to contain the crisis in the industry, and on the social and political impact of the pandemic, with special reference to increasing inequalities and the changing labour scenario. 

This call is organized in three sub-themes of research. 

1.    New product architectures: electrification, digitalisation and the impact of COVID-19Key topics: EVs, AVs, connected cars and their related technologies and innovations; their conception, production and distribution; alternatives technologies (biofuel, NGV, etc.); country strategies (e.g. China, USA); company trajectories (OEMS, global and national suppliers, new entrants etc.); profit strategies and product policies; productive organizations; integral vs modular product architectures; global platforms organization and governance; platform economy and related product-services; COVID-19 and its impact on digital transformation and ecological transition of the industry. 

2.    New value chains architectures and labour relations: digitalisation, globalisation, de-globalisation and the future of workKey topics: the transformation of global value chains; the impact of new technologies on transnational manufacturers; industrial and innovation policies; economic, functional and social upgrading (downgrading); trade policies, FTAs and neo-protectionism; the future of work and the impact of digital technologies on work and employment; working conditions; upskilling – deskilling; training; organizing labour; restructuring; autonomy and control at work; decent work; impact of COVID-19 on global supply chains, employment structures and labour relations; labour responses to the COVID-19 crisis 

3.    New eco-system architectures: transitioning to a ‘green’ industry and embedding the automobile in societal and political contextsKey topics: new mobility models and their implications for the automotive eco-system; new business models for mobility providers; endorsement, acceptance or resistance towards new mobilities by users and workers; the role of old and new actors; public policies and regulations (local, national, and global) and their impact on the industry at the national and global level; work and labour in platform economies; ecological transition and environmental policies; ecological transition and changing mobility patterns. We are also interested in papers that try to combine perspectives on different analytical levels, linking for instance transformations in product architectures with the reconfiguration of existing value chains and the creation of new ones, and the emergence of new eco-system architectures.We welcome both empirical and theoretical studies, but this year particular space will be given to recent and applied works analysing the actual impact of the COVID-19 crisis and related challenges. Along with varying levels of geographic focus, we are interested in studies analysing the many levels of players in the industry: OEMs, global and local suppliers, distributors, retailers and aftermarket providers, new digital entrants, battery makers, transport, energy and service companies, trade unions and ‘new’ categories of workers. Similarly, we are interested in how the the industry is structured and being re-structured, in the light of the current crisis:from global value chains to regional and national industries, with regards to evolving regulatory frameworks and changing labour relations. The effects of possible re-organisations of the industry, from increasing inequalities between competing regions to the re-composition of the employed workforce and its social impact, will be of particular interest. This could include the roles of workers and trade unions in response to the COVID-19 crisis, as well as the impact on product purchasers and end users. In addition, coverage could focus on the intervention of governments and other public authorities to confront the crisis, including new legislation, and legal, regulatory frameworks, and specific regulations. 

Papers providing recent perspectives on these issues are welcome. In particular, 1) works analysing challenges related to digitalisation processes and the ecological transition of the industry, 2) papers trying to assess how changes in products, value chains, eco-systems, and labour relations have been affected by the COVID crisis.  How has the debate on the “future of automobile industry” and the “future of work” been influenced by the COVID-19 crisis? Have economic, social, technological changes related to the automotive industry been accelerated or halted? To what extent? What will be the ‘new normal’ in the industry, following the COVID-19 crisis?  

A selection of the best papers presented during the colloquium, including the winner of the young author’s prize (see below) will be included in a special issue of the International Journal of Automotive Technology and Management (IJATM).

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Appel à contribution « Applications mobiles et enjeux sociétaux. Une approche pluridisciplinaire » – 15/12/2020

Coordonnateurs :

Hanitra Randrianasolo-Rakotobe et Jean-Michel Ledjou, IDEST, Université Paris-Saclay

Membres du comité scientifique de départ (par ordre alphabétique) :

Tsiry Andrianampiarivo (Université de Grenoble) ; Jean-Philippe Berrou (Sciences Po Bordeaux) ; Yannick Francillette (Université du Québec à Chicoutimi) ; Alain Kiyindou (Université Bordeaux Montaigne) ; Kevin Mellet (Orange Labs, Université Paris-Ouest Nanterre) ; Bob Jerry Menelas (Université du Québec à Chicoutimi) 

Argumentaire général

D’ici 2023, les technologies et les services mobiles devraient générer 4,8% du Produit intérieur brut (PIB) mondial (GSMA, 2019). Cette croissance record est également soutenue par un taux d’adoption du smartphone en nette augmentation sur le plan mondial. L’accroissement est en effet estimé à plus de 20% entre 2017 et 2025. En 2023, au moins trois téléphones mobiles sur quatre seront des smartphones (GSMA, 2018).

C’est dans ce contexte que les applications mobiles continuent leur progression. En 2018, quelque 194 milliards de téléchargements ont été effectués de par le monde, tandis que les applications ont généré un revenu évalué à 101 milliards $ (App Annie, 2019).

Historiquement, les jeux dominent largement le secteur des applications. Cependant, depuis 2016, les questions sociétales se révèlent de plus en plus présentes. Annie App (ibid.) le confirme : « En 2018, les applications autres que les jeux représentaient 65% du nombre total de téléchargements dans le monde ». De son côté, le rapport Adjust (2019) montre la croissance rapide des applications mobiles en lien avec la santé, l’alimentation, les transports, l’organisation du travail en tâches, la communication, la gestion de risques, le développement, l’éducation… Par ailleurs, les récentes crises sanitaire, économique et sociale liées à la Covid-19 ont vu naître tous azimuts pléthore d’applications mobiles.

« Notre quotidien envahi par les applications mobiles » est un phénomène en cours de réalisation. Cet appel encourage une réflexion pluridisciplinaire sur la relation entre les applications mobiles, leurs utilisateurs et la société.

Consulter le texte complet de l’appel :

Calendrier prévisionnel 

Lancement de l’appel à contribution : 1 octobre 

Soumission des articles complets : 15 décembre

Retour aux auteurs : 15 janvier

Renvoi des révisions par les auteurs : 15 février

Publication de l’ouvrage : 4e trimestre 2021 

Pour soumettre une proposition d’article

jean-michel.ledjou@universite-paris-saclay.fr

hanitra.randrianasolo@universite-paris-saclay.fr

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Appel à manifestation d’intérêt – Le droit et la justice face aux circonstances sanitaires exceptionnelles liées à la pandémie de COVID-19 – 13/11/2020

La Mission Droit et Justice et l’InSHS s’associent pour lancer cet appel à manifestation d’intérêt sur les thématiques suivantes :

  1. Acceptation des risques et mise en cause de la responsabilité des décideurs : un équilibre à nouveau questionné par la crise sanitaire de la COVID-19  
  2. Restrictions des libertés et acceptabilité sociale 
  3. Les limitations d’accès aux cours et tribunaux en France : une multitude de conséquences 
  4. Sortie de crise et transition écologique et solidaire : quel rôle pour le droit et la justice ? 

Les propositions sont attendues pour le 13 novembre au plus tard.

Les manifestations d’intérêt doivent être envoyées à l’adresse suivante : ami2020.cnrs-mrdj@gip-recherche-justice.fr

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Appel à contribution Revue Française de Gestion – 15/12/2020

La Revue Française de Gestion lance un nouvel appel à contribution sur le thème :

Problématisation et pensée complexe en sciences de gestion

Rédacteurs invités :

Régis Meissonier, MRM, Université de Montpellier

Florence Rodhain, MRM, Université de Montpellier

Jérémi Sauvage, LHUMAIN, Université Paul Valéry

Ousama Bouiss, Université Paris-Dauphine

Date limite de soumission : 15 décembre 2020

Alors que depuis des décennies, les futurologies projetaient des catastrophes mondiales à partir des dégradations climatologiques et écologiques présentes, le Covid-19 a démontré une fois de plus la difficulté pour la plupart des décideurs à envisager et accepter l’imprévisible et la complexité. En ce qui concerne les sciences de gestion, force est de constater que les chercheurs ont fait partie des grands absents au sein des commissions scientifiques, des instances en charge de gérer la crise sociale et économique, ou encore des plateaux TV et des radios qui ont alimenté les débats aux heures de grande écoute. Ce n’est pas la première fois qu’un constat du genre peut être établi et questionne le rôle effectif de notre discipline alors que la pérennité des entreprises et des organisations est en jeu. Notre responsabilité éthique et sociale nous invite – encore et toujours – à une réflexion quant à la manière avec laquelle la discipline s’empare des grands problèmes de sociétés, cherche à les comprendre, puis crée des connaissances considérées comme valides afin d’aider à la prise de décision. Pour ce faire, il nous revient d’être attentif aux conditions de production de ces connaissances, en particulier à l’illusoire neutralité axiologique du chercheur : la connaissance ne peut être aveugle à ses conditions de production et d’énonciation.

Consulter l’appel :

Cliquer pour accéder à Appel_Problematisation_et_pensee_complexe.pdf

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Appel à communications – colloque « Des sources aux SIG : des outils pour la cartographie dans les humanités numériques » – 30/09/2020

« Des sources aux systèmes d’information géographique : des outils pour la cartographie dans les humanités numériques »

Organisation

MSH Paris Saclay

Laboratoire DYPAC UVSQ Paris-Saclay

Laboratoire DAVID UVSQ Paris-Saclay

Plateforme Géomatique de EHESS


Depuis plusieurs années, différentes disciplines des sciences humaines et sociales comme l’histoire, la littérature, l’anthropologie sociale, la sociologie, l’archéologie ont renouvelé l’usage de la cartographie, utilisant des nouvelles approches tant théoriques, que méthodologiques et techniques.

Sources anciennes et moderne, archives, cartes et plans, iconographie, photos de terrains et satellites,  etc. sont le matériel de base utilisés pour appréhender une compréhension de phénomènes et de systèmes complexes que sont des comportements humains variés : interactions entre acteur sur le territoire, migrations et regroupements, choix d’implantation et évolution de villes, influences entre l’homme et son milieu, etc.). 

Aujourd’hui, la masse de données devient telle qu’il devient difficile de filtrer ce qui est utile pour une recherche de ce qui ne l’est pas. Outre qu’elles soient souvent spatiales et/ou temporelles, leur particularité repose sur leur non-homogénéité, leurs lacunes, leurs sources multiples et mutlilangues, à la fois qualitatives et quantitatives, non structurées. On parle de big data dans le champ particulier que sont les humanités numériques.

Lors de ces deux jours de colloque, nous souhaitons interroger les différentes manières d’utiliser la cartographie, les SIG, l’analyse spatiale, le web sémantique dans les sciences humaines et sociales, en partant de l’exploitation et l’extraction des sources, l’intégration en bases, l’analyse de ces données et enfin leur valorisation.

Le colloque s’organisera selon quatre thématiques principales :

AXE 1 Gérer, collecter et stocker les données géographiques

AXE 2 Création et utilisation d’outils pour la géomatique et l’analyse spatiale

AXE 3 Cas d’études de la cartographie et des SIG dans les SHS

AXE 4 Nouvelles données, nouvelles pratiques, nouveaux outils ?

Pour plus d’information http://psig.huma-num.fr/colloque-sources-aux-sig/

Modalités de contribution

Les propositions de communications de 3000 signes maximum sont à envoyer à avant le 18 septembre 2020 à l’adresse : 

colloquesourcesig2020@uvsq.fr

Mise en ligne : 18 juin 2020

Deadline auteurs : 30 septembre 2020

Retour aux auteurs : 15 octobre 2020

Dates de la conférence : 14 & 15 décembre 2020

Les participations en visio sont envisagées pour les participants et pour le communicants.

Un appel à publication sera mis en place à la suite du colloque

Programme prévisionnel :

1 journée – Ouverture à la MSH Saclay

1 journée à la FMSH Paris Raspail

Comité d’organisation

Citlalli Dominguez (DYPAC UVSQ)

Davide Gherdevich (DYPAC UVSQ)

Eric Mermet (EHESS)

Comité scientifique

Citlalli Dominguez (DYPAC UVSQ)

Davide Gherdevich (DYPAC UVSQ)

Eric Mermet (EHESS)

Anne Rochebouet (DYPAC UVSQ)

Zoubida Kedad(DAVID UVSQ)

Laurent Costa (CNRS-MAE Nanterre)

Carmen Brando (EHESS)

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Appel à contributions – Revue Terrains & Travaux – 15/11/2020

LA RAISON MODÉLISATRICE

Appel à contributions pour dossier thématique
Date de clôture (étendue) de l’appel : 15 novembre 2020
Télécharger l’appel au format PDF

Ce dossier thématique ambitionne d’étudier une forme de technologie ayant connu un essor majeur à partir du début du XXe siècle : la modélisation. Pensée au XIXe siècle comme une « mathématisation du réel », elle consistait à formaliser des phénomènes physiques ou sociaux afin de les rendre lisibles et prévisibles. Au croisement des savoirs et des sciences les plus pointus, du social, de l’économique et du politique, la modélisation a connu une expansion considérable depuis la Seconde Guerre mondiale et encore davantage à partir des années 1970. Elle se développe alors dans une grande diversité de secteurs : l’astrophysique, l’environnement, la guerre, la finance, la santé, la chimie, la démographie, la justice. Elle est la marque d’un régime de connaissance singulier et technicisé dépassant les seuls processus de quantification ou de catégorisation, car elle permet de traiter un grand nombre de données qu’elle organise selon un jeu d’hypothèses lui-même inscrit dans des théories pré-établies. Son pouvoir de simplification et sa capacité à mettre en scène des futurs possibles ont permis à la modélisation de devenir un instrument d’action publique, par exemple dans le domaine des politiques économiques, climatiques ou agricoles. En intégrant des objectifs à atteindre (croissance, limitation du réchauffement, production agricole) dans des scénarios qui préjugent de leur caractère réalisable et des chemins (pathways) pour y arriver, les modèles sont devenus des supports incontournables de la fabrique des politiques publiques. Ils sont particulièrement mobilisés comme des outils d’anticipation des futurs entre lesquels il s’agit alors d’arbitrer dans des contextes caractérisés par une forte incertitude – comme l’illustre la crise sanitaire du coronavirus. Les nouvelles capacités calculatoires et les « big data » viennent encore renforcer les possibilités de la modélisation, qui gagne de nouveaux objets et de nouveaux mondes sociaux, y compris les sciences sociales elles-mêmes.

Ce numéro propose de regrouper des travaux issus de différentes disciplines (sociologie, philosophie, histoire, démographie, géographie, anthropologie, humanités numériques, etc.) étudiant le développement de la modélisation dans une diversité de domaines et permettant de documenter les conditions (économiques, épistémiques, politiques) de son efficacité (coordination, gouvernementalité, performativité), mais aussi ses effets de cadrage et de sélection des problèmes. La modélisation a été étudiée comme un outil de « médiation » entre les données et la théorie scientifique, comme un intermédiaire entre la décision politique présente et les futurs qualifiés de souhaitables, et possède à ce titre une efficacité qu’il convient de continuer à explorer. Mais elle repose sur une forme de confinement, voire d’opacité, qui rend le plus souvent les savoirs qu’elle cristallise hermétiques à la controverse – même si certains modèles visent précisément la transparence, offrant des prises à la vérification, voire au débat. En effet modéliser n’est pas seulement calculer, c’est aussi définir les paramètres d’un problème, impliquer un cours des choses, des questionnements, des possibles et, a contrario, en invisibiliser d’autres. Sorte de « boîte noire », les modèles nécessitent des professionnel·le·s spécialisé·e·s pour les développer et les faire fonctionner ou organiser un débat autour des prospectives modélisées, autant de « mondes sociaux » qui restent encore à étudier dans bien des domaines. La modélisation a aussi son économie imbriquée, entre autres, dans celle des données.

Les contributions attendues devront documenter empiriquement les activités de modélisation et leurs effets sociaux : il s’agit à la fois de comprendre la prolifération d’une rationalité modélisatrice dans différents espaces, mais également d’en souligner les fragilités, et d’étudier les conflits qu’elle suscite et les usages différenciés qu’en font les acteur·rice·s. Les articles proposés pourront s’attacher à explorer particulièrement, mais non exclusivement, les axes de problématisation suivants, allant des espaces technoscientifiques de la confection des modèles aux espaces de controverses, en passant par les champs de la maintenance et des usages :

  1. La fabrique des modèles. Si les modèles eux-mêmes, ou certains de leurs résultats, ont vocation à circuler, il importe d’identifier les lieux où ils sont élaborés et les acteurs s’engageant dans leur production. Du champ académique à celui des entreprises et des cabinets de conseil en passant par des agences parapubliques et l’administration centrale, l’étude de la genèse des modèles permet de documenter les savoirs à partir desquels ils sont élaborés, les dynamiques professionnelles à l’œuvre dans leur confection, les motifs qui président à leur diffusion ou à leur confinement. On pourra ainsi notamment se demander dans quelle période, et quel contexte, émerge la nécessité de modéliser (et de prévoir par la modélisation), et documenter l’histoire de la modélisation pour un objet d’étude donné. Qui sont les modélisateur·rice·s, à quelles communautés professionnelles appartiennent-ils·elles, quelles tensions leurs interventions peuvent-elles engendrer dans les espaces au sein desquels ils·elles interviennent ?
  2. Définir les futurs et leurs valeurs. Supports de scénarios prospectifs, les modèles peuvent donner à voir, à « imaginer », ce qui est à venir, et proposent d’arbitrer entre ces différents futurs. Ils associent des considérations ontologiques (quelles entités et quelles dimensions d’un problème doivent être prises en compte ?), des hypothèses scientifiques chargées d’assurer la légitimité du résultat, un ensemble de paramètres et de données empiriques, et des projections normatives (quelles sont les actions à mettre en œuvre ?). En ouvrant la boîte noire de la modélisation, il est possible de comprendre comment les conventions opèrent, mais aussi comment certains modèles intègrent dans leurs calculs des visions du futur (scénarisation épidémiologique ou des catastrophes, etc.), et enfin les manières dont les savoirs économiques et financiers s’y greffent (calcul coûts-bénéfices, hypothèses sur l’offre et la demande). Une attention aux savoirs et au « design » technologique de ces modèles permettrait d’éclairer ces dynamiques de formation des futurs au présent, c’est-à-dire non en tant qu’ils seraient mécaniquement performatifs, mais en tant qu’ils donnent à voir un état actuel des savoirs et des cadrages dominants pour un problème donné.
  3. Un marché des modèles ? Les articles pourront également explorer les enjeux marchands liés aux modèles et aux infrastructures qui les soutiennent, au croisement des infrastructure studies, de la sociologie économique et des science and technology studies (STS). On pense ici aux questions liées aux big data et aux marchés de la production mais aussi du stockage, et aux questions de traitement et de circulation des données qui alimentent et rendent possibles les pratiques de modélisation. Comment les modèles fonctionnent-ils, sont-ils alimentés et entretenus ? Infrastructures plus ou moins complexes, ils nécessitent l’intervention de travailleur·euse·s souvent peu visibles qui peuvent aussi bien s’occuper de modifier certains paramètres de calcul, que nettoyer les bases de données qui leur permettent de tourner, ou encore entretenir les ordinateurs qui calculent. On pourra se demander ce que ce travail de maintenance révèle de la fragilité des modèles, et ce que les investissements que leur entretien suppose disent de la nature de ces outils. Les articles pourront aussi documenter ces questions sous l’angle de la sociologie du travail, entre hiérarchies professionnelles et « petites mains » des modèles. Enfin, les relations de concurrence entre modèles ou équipes modélisatrices, et leurs enjeux marchands et scientifiques, pourront être investigués dans cet axe.
  4. La critique des modèles. Enfin, nous invitons les contributions à développer une perspective qui nous semble sous-analysée, à savoir la manière dont la modélisation peut constituer un « piège », soit pour les professionnels qui les élaborent, soit pour ceux·celles qui les utilisent. Comme les modèles ont pour objet l’aide à la décision, leurs résultats circulent entre différentes arènes, ouvrant ainsi la possibilité de leur questionnement voire leur critique. Cet axe invite à interroger la spécificité des épreuves rencontrées par ces instruments : quelles sont les critiques dont les modèles font l’objet, et qu’est-ce que la modélisation fait à la critique ? Réclame-t-elle des registres, des preuves ou des arguments spécifiques des acteur·rice·s qui cherchent à la contester ? Nous faisons l’hypothèse que les épreuves rencontrées par les modèles engagent des disputes portant à la fois sur les savoirs et les formes de régulation politique de ce qui est modélisé. Nous encourageons enfin les contributions à documenter ce que le « big data» – qui permet une forme de « dé-théorisation » des modèles – implique en termes de possibilités de critique et de résistance.

Les articles, de 50 000 signes maximum (espaces, notes et bibliographie compris) et les notes critiques, de 30 000 signes maximum, doivent être accompagnés de 5 mots-clés et d’un résumé de 150 mots (en français et en anglais). Ils devront parvenir sous forme électronique aux coordinateur·rice·s du numéro avant le 15 octobre 2020 aux adresses suivantes :

  • Henri Boullier : h.boullier@gmail.com
  • Lise Cornilleau : lise.cornilleau@sciencespo.fr
  • Jean-Noël Jouzel : jeannoel.jouzel@sciencespo.fr
  • Pierre-André Juven : pierre-andre.juven@cnrs.fr

Les consignes relatives à la mise en forme des manuscrits sont consultables sur le site de la revue : http://tt.hypotheses.org/consignes-aux-contributeurs/mise-en-forme

terrains & travaux accueille par ailleurs des articles hors dossier thématique (50 000 signes maximum), qui doivent être envoyés à :

  • Vincent Arnaud-Chappe : vincent-arnaud.chappe@ehess.fr
  • Milena Jaksic : milena.jaksic@gmail.com
  • Élise Palomares : elise.palomares@univ-rouen.fr

Pour plus de détails, merci de consulter le site de la revue : http://tt.hypotheses.org

Appel à contributions – Revue Terrains & Travaux – 15/11/2020 Lire la suite »

Appel à communication Congrès ARAMOS 2020 – 15/06/2020

Cet appel est lancé dans le cadre du 8e congrès de l’Association de Recherche Appliquée au Management des Organisations de Santé (ARAMOS), qui se tiendra les 13 et 14 octobre 2020 au MESRI.

L’innovation organisationnelle et managériale en santé : Cadre théorique, analyse d’impact sur les pratiques professionnelles et l’organisation des soins.
Attentes particulières sur les retours d’expérience de la gestion de crise Covid 19

Innovation managériale, innovation organisationnelle, les termes ne manquent pas en appui de cette nouvelle tendance qui s’affirme dans le secteur de la santé. L’article 51 constitue une illustration de la mobilisation des pouvoirs publics dans le domaine.

Du point de vue de la recherche en management, ce sujet offre de nombreuses opportunités comme :

  • la définition conceptuelle de l’innovation managériale ou organisationnelle dans le champ de la santé
  • une analyse visant à préciser le contenu de ces innovations
  • l’apport d’éléments de preuve de leur valeur-ajoutée sur la qualité des soins, le contrôle des coûts, l’expérience des patients, ou la satisfaction des professionnels…

Télécharger l’appel à communication

Dépôt des communications et Inscriptions sur https://aramos.sciencesconf.org

Appel à communication Congrès ARAMOS 2020 – 15/06/2020 Lire la suite »

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